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Le Blog du MoDem de Colombes

Corinne Lepage : sa vision de l'écologie politique

30 Septembre 2009, 22:36pm

Publié par MoDem-Colombes



developpementdurable.com
: Quels ont été les grands sujets de discussion avec les Amis d’Europe Ecologie (*) ?

Corinne Lepage : J’ai participé à une table-ronde avec Daniel Cohn-Bendit, Martin Hirsch et Philippe Meirieu, entre autres, sur l’aspect social du développement durable. Puis je me suis greffée sur le débat du changement climatique. J’ai enfin eu l’occasion de m’entretenir en aparté avec Noël Mamère, avec Dany,… Mais j’y étais surtout parce que c’était une rencontre ouverte : je plaide en effet depuis longtemps pour un rapprochement entre les personnes du mouvement démocrate et celles d’Europe-Ecologie. Pour moi, cela fait sens. Ce n’est pas une histoire d’alliance politicienne. Je pense que le centrisme sous sa forme traditionnelle, ni droite, ni gauche, a été explosé par la politique de Nicolas Sarkozy et on aura beaucoup de mal à le reconstituer. Les raisons : il y a le Nouveau Centre, et l’on oblige les électeurs à choisir entre la droite ou la gauche. La seule alternative : l’écologie politique ouverte à la démocratie sociale et au radicalisme.

dd.com : Justement, où en êtes-vous de votre rapprochement avec les Verts ?

C. L. : Personnellement, je suis vice-présidente du MoDem. Donc pour le moment, je suis au MoDem et j’y reste. Il n’empêche que j’encourage par exemple Eric Delhaye, qui est membre du bureau national du MoDem et président délégué de CAP21, à trouver une alliance avec Europe Ecologie en Picardie. Et je pense que c’est assez bien parti. En Haute-Normandie, le parti est sur la même lignée. J’ai par ailleurs soutenu Anny Poursinoff dans les Yvelines (législatives partielles, ndlr) parce que je la connais bien et que je l’estime. On a mené beaucoup de combats communs. François Bayrou a ensuite suivi.
Y aura-t-il beaucoup d’autres alliances vertes-oranges ? Pour le moment, je ne sais pas, mais je le souhaite parce qu’il y a une vraie logique à cela. Je suis absolument opposée à un système qui, selon les régions, choisira l’alliance tantôt à droite, tantôt à gauche. On l’a fait pour les élections municipales, et les gens n’ont rien compris. Cette stratégie du papillon ne me parait donc pas être la bonne. Il faut de la cohérence en politique. Parier sur le fait que chaque électeur s’y retrouvera n’est pas viable.
Il y a cependant une grande réticence des Verts à l’égard du MoDem, que je peux comprendre. Certains démocrates ont en effet des comportements qui n’ont rien à voir avec l’écologie. Le vote de certains de nos sénateurs sur les OGM, par exemple, m’a beaucoup dérangée. Il ne suffit pas de mettre le mot « durable » au bout de chaque phrase pour transformer un projet politique.

dd.com : Pensez-vous que l’écologie politique puisse transcender le clivage gauche-droite ?

C. L. : Je voudrais d’abord préciser que je ne me suis jamais sentie une femme de droite, contrairement à ce que l’on me reproche souvent pour avoir participé à un gouvernement de droite. J’ai d’ailleurs sur ce point une grande différence à souligner entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy : le premier, que je respecte beaucoup, est profondément républicain, attaché aux libertés publiques, à la justice, et n’a jamais été « bling-bling ». En participant à son gouvernement, avec François Bayrou, j’ai en fait plutôt eu le sentiment de faire une politique centriste : il a été très courageux sur les décisions concernant la Sécurité sociale, par exemple. Ce qui lui a valu le soutien de la gauche à l’époque. La reprise des essais nucléaires, bien sûr, m’a dérangé. Mais je suis globalement satisfaite du travail accompli, indépendamment de mon secteur.
M. Juppé n’est pas un néoconservateur autoritaire, même s’il a donné l’impression, à titre personnel, d’être un homme droit dans ses bottes. Ce n’est pas du tout la même configuration politique que le pouvoir actuel. Voilà pourquoi j’ai refusé la proposition de M. Sarkozy d’entrer au gouvernement. Citez-moi une personnalité du PS qui ait fait de même. De la même manière, j’avais refusé d’aller sur la liste de Jean-François Copé aux élections régionales de 2004.
Pour répondre à la question, je dirais finalement que je ne veux pas être le supplétif du PS qui est en train d’exploser en vol, qui n’a plus rien à nous dire. En revanche, autour de l’écologie entendue au sens d’une évolution soutenable, qui respecte les libertés publiques, la démocratie et la justice, il y a un vrai projet politique dynamique et d’avenir.

dd.com : Avez-vous vécu le succès d’Europe Ecologie aux élections européennes comme une défaite de votre parti ou plutôt comme une victoire de l’écologie politique ?

C. L. : L’un et l’autre : dès l’annonce des résultats, sur le plateau de France 2, face à Daniel Cohn-Bendit, j’ai avoué que nous avions subi un revers. Mais je me suis également dite heureuse pour Europe Ecologie. Quand vous défendez, comme je le fais depuis plusieurs décennies, la cause de l’environnement, c’est-à-dire la cause de la vie humaine, et que celle-ci l’emporte, vous ne pouvez que vous réjouir, même s’il ne s’agit pas directement de votre succès.
Un regret, en revanche : que le MoDem n’est pas été capable de porter ces idées, malgré les efforts réalisés par CAP21.

dd.com : Après avoir obtenu de la Commission européenne l’établissement d’une capacité de réaction en cas de catastrophes naturelles, quel sera votre prochain combat d’eurodéputée ?

C. L. : Il y a tant de choses à faire pour Copenhague. Je vais faire partie de la délégation parlementaire qui s’y rendra en décembre, et je vais soutenir de toutes mes forces les résolutions. Je voudrais en outre travailler sur la mer. Je viens d’écrire à tous les députés en ce sens, à la suite d’une demande de l’association des régions côtières, qui m’a proposé de prendre la tête de ce cheval de bataille.
Je voudrais aussi m’intéresser aux questions de comitologie d’expertises. C’est un point essentiel pour la bonne prise des décisions et la participation du public. Ce qui existe pour le changement climatique avec le GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), il faudrait arriver à le mettre en place pour la biodiversité, les OGM, les nanotechnologies,… sur tous les sujets où il n’existe encore pas l’ombre du début du commencement d’un consensus scientifique.

dd.com : Pour protester contre le projet de loi Hadopi, vous avez décidé de publier votre ouvrage « Entre colère et espoirs » gratuitement sur Internet. Pourquoi défendez-vous tant la liberté de diffusion sur la Toile ?

C. L. : C’est le dernier espace qu’il nous reste. Je suis tétanisée par la réduction des libertés publiques : je vois un « système Big Brother » puissance mille se mettre en place. C’est une menace pour les libertés individuelles, bien sûr, mais aussi publiques et politiques. Bientôt, tous les internautes seront fliqués, chez eux et à l’extérieur. Les liens entre eux seront décryptés, les échanges de messages, en violation des règles sur la correspondance privée, pourront être lus comme s’ils avaient été envoyés à celui qui n’est pas le destinataire. Avec la réforme sur le juge d’instruction, je pense que nous sortons tout simplement des lignes du système démocratique.

dd.com : Vous n’êtes pas seulement active dans le secteur de l’écologie. Vous touchez aussi à la justice, à l’éducation, à la laïcité,… Pensez-vous que les écologistes sont trop cantonnés à leur domaine ?

C. L. : Si les écologistes ne défendent pas un modèle de développement dont la base est la prise en considération des ressources, personne ne le fera pour eux. Simplement, on ne peut pas se contenter de cela : la construction d’un autre modèle de développement touche aussi les dimensions sociale, sociétale, politique, économique. Il faut donc tout repenser, et la question du fonctionnement démocratique de notre société est, de fait, centrale.
On le voit bien avec Hadopi : les systèmes autoritaires vers lesquels nous allons rognent progressivement nos libertés publiques. Et la nécessité de faire des efforts – la taxe carbone en est une excellente illustration – montre que nous avons besoin d’un système démocratique adapté. C’est la raison pour laquelle les écologistes ne peuvent pas se cantonner à la dimension strictement écologique. Ils doivent aussi prendre en considération la société dans son ensemble.

dd.com : Quelles critiques formuleriez-vous contre le gouvernement dans le domaine de l’environnement ?

C. L. : Le Grenelle de l’environnement est une formidable invention, une formidable machine à intelligence. La loi Grenelle 1 est un progrès incontestable. Mais j’ai deux critiques majeurs : d’abord, il y a des incohérences entre les choix factuels et la politique générale qui est annoncée. Exemple : On propose des indicateurs pour changer le PIB. Cela fait 25 ans que je le demande, donc je suis ravie (CAP 21 a lancé le mouvement « No PIB »). Simplement quelle traduction politique ? Aucune ! Autres illustrations : on lance des autoroutes, un projet de circuit de F1, on continue à investir dans le pétrole,…
Ensuite, notre prisme pro-nucléaire devient un handicap majeur pour tout le reste : le nucléaire a été gommé du Grenelle, totalement sorti du jeu. Enfin plutôt, c’est lui qui est à la base de tout, y compris de la taxe carbone. Le président de la République ne l’aurait jamais proposée si elle n’était pas dans l’intérêt de l’industrie atomique. On est donc dans un système fou dans lequel on crée des centrales dont nous n’avons pas besoin, nous en vendons à des pays qui sont gorgés de soleil, et on prétend dans un deuxième temps développer une filière du renouvelable et de l’efficacité énergétique. Mais c’est incompatible ! Que l’on continue avec le nucléaire, soit. Que l’on prolonge la durée de vie de certaines centrales – mise à part Fessenheim, qui est dans un état épouvantable – si la sécurité le permet, soit. Mais annoncer la construction de deux EPR qui coûtent les yeux de la tête et qui sont technologiquement médiocres, c’est un frein à l’objectif de 23 % d’énergies renouvelables voulu par le gouvernement.

dd.com : Les négociations internationales sur le climat piétinent. Etes-vous pessimiste pour Copenhague ?

C. L. : Relativement pessimiste. Ma participation au compte-rendu du panel des citoyens de plus de 50 pays, le 29 septembre à la Cité des sciences, m’a cependant remonté le moral. Ces derniers sont infiniment plus ambitieux, conscients, et exigeants que les gouvernements. Cela fera peut-être un peu pression, notamment sur l’administration américaine, qui est au centre du jeu.

dd.com : Quel est votre définition personnelle du développement durable ?

C. L. : Je préfère utiliser l’expression « évolution soutenable ». Pourquoi ? J’ai essayé de sortir du débat croissance-décroissance, auquel le mot « développement » ne répond pas totalement. Beaucoup reconnaissent aujourd’hui que certains secteurs vont croître, et d’autres, décroître. Or quand vous utilisez les mots « développement » ou « croissance », vous avez une vision qui est toujours dans le même sens et qui est globale. C’est tout qui ce développe, tout ce qui croît, ou tout ce qui décroît : c’est idiot, selon moi.
J’ai donc proposé le mot « évolution », qui ne préjuge pas de la direction et qui peut donc laisser progresser dans un sens ou dans l’autre les différents secteurs.
Quant à l’expression « soutenable », je la préfère car je trouve que le mot « durable » n’a en français qu’un sens : la durabilité. Le mot « soutenable », lui, reprend la double acception anglo-saxonne d’une progression qui peut être soutenue dans le temps, qui va pouvoir durer, et qui peut aussi être supportée, encouragée.
L’allocation « évolution soutenable » est donc plus intéressante, d’autant plus que, selon moi, le sens de l’évolution est déterminé par la « soutenabilité ». Autrement dit, ce qui permet d’évoluer positivement ou pas, c’est le fait de savoir si c’est soutenable ou pas.

* : Dimanche 27 septembre, à Paris, Daniel et Gabriel Cohn-Bendit (président de l'Association des amis d'Europe Écologie) ont invité des personnalités d’associations et de courants politiques différents pour discuter des grands enjeux environnementaux actuels, ainsi que d’ouverture : Corinne Lepage, Christophe Caresche, député de Paris et animateur du Pôle écologique au PS, Pascal Husting, directeur de Greenpeace, Serge Oru, directeur du WWF, Martin Hirsch, haut-commissaire aux Solidarités actives, et Jean-Louis Borloo, ministre de l’Ecologie et du Développement durable.

Fondatrice et présidente du parti écologiste CAP21, co-fondatrice et vice-présidente du MoDem (Mouvement démocrate), député européenne, première vice-présidente de la Commission environnement, santé publique et sécurité alimentaire, membre-fondatrice du Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique (CRIGEN) : Corinne Lepage est une femme politique active et une écologiste incontournable. Partisane d’un rapprochement vert-orange, elle a livré à Yann Cohignac du site developpementdurable.com sa vision de l’écologie politique.

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Au fil de l'actu vue du MoDem

29 Septembre 2009, 20:58pm

Publié par MoDem-Colombes

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Grippe A/H1N1 : le Tapis Rouge réquisitionné !

28 Septembre 2009, 21:24pm

Publié par MoDem-Colombes



Dans le cadre de la prévention de la pandémie grippale A/H1N1, une campagne nationale de vaccination est mise en oeuvre par le Ministère de la Santé et des Sports.

Pour Colombes, sur réquisition préfectorale, le Tapis Rouge est déclaré Centre de Vaccination pour Clombes et Bois-Colombs à compter d'aujourd'hui Lundi 28 septembre, et ce pour une durée minimum de 4 mois.

Ceci de fait rend le Tapis Rouge indisponible pour toute manifestation.

Première conséquence, deux animations de la "Semaine Bleue" (du 19 au 25 octobre 2009) initialement prévues au Tapis Rouge changent de lieu :  le spectacle de marionnettes traditionnelles du mercredi 21 octobre 2009 aura lieu dans la Salle des Mariages de l'Hôtel de Ville ; la journée de l'aide aux aidants organisée par le CLIC de Colombes du jeudi 22 octobre 2009 aura lieu à l’Avant-Seine.

Les deux grands rendez-vous annuels de fin d'année : le 7ème Salon des Créateurs (du 20 au 22 novembre) et le 16ème Salon des Vins et de la Gastronomie (12 et 13 décembre) devront donc eux aussi être "délocalisés".

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Appel à candidatures aux Elections Régionales

27 Septembre 2009, 20:28pm

Publié par MoDem-Colombes


Depuis le 25 septembre 2009 et jusqu'au 31 octobre 2009, un appel à candidature est lancé pour les prochaines élections régionales auprès de tous les adhérents du MoDem. 

Les candidatures sont à envoyer :
 - soit par courrier au siège national – Mouvement Démocrate - Bureau des élections – 133 bis rue de l’Université – 75007 PARIS ;
- soit par mail au siège national à l’adresse elections@lesdemocrates.fr ;
- soit par courrier aux groupes de travail mis en place par les Unions régionales.

Le siège national s’assurera de la bonne transmission des candidatures aux Unions régionales.

Les candidatures seront accompagnées d’un bref curriculum vitae et d’une photo. Elles doivent également indiquer le département et la région de candidature. Elles seront examinées selon les critères, géographiques, de parité, de renouvellement des générations, de diversité et de notoriété.

Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président chargé de l’organisation
Eric Azière, membre du Bureau exécutif national

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Colombes: Inauguration du Collège Paparemborde

26 Septembre 2009, 14:38pm

Publié par MoDem-Colombes



François Steyn (1,91m pour 111 kg)
, la recrue sud-africaine du Racing-Métro 92, qui débaque aujour'hui à Colombes, a évoqué d'emblée l'importance qu'il accordait dans son nouveau club à la tradition et au respect de ceux qui ont fait à travers l'histoire la légende des Racingmen.

Ce n'y est en effet pas un vain mot et la disparition cette semaine d'une des figures du Racing est là pour le rappeler. Il avait été appelé par une fine plume "le papa de l'aventure du show biz", Marcel Francotte, ancien président de la section ski du Racing-Club de France et haut dirigeant du rugby entre 1960 et 2000, s'est éteint lundi à l'âge de 82 ans.

En son hommage, une minute d'applaudissement sera observée aujourd'hui avant le coup d'envoi du match de la 8e journée du Top 14, Racing-Métro 92 - Montpellier à Yves-du-Manoir.

A noter qu'un autre géant du club, Robert Paparemborde, qui en fut l'entraîneur, puis le président et qu'il emmena au Brennus en 1990 (en tant que directeur technique), puis en finale en 1987 (en tant qu'entraîneur), sera également honoré à l'occasion de l'inauguration lundi prochain 28 septembre 2009, à 18h30, du collège à son nom à Colombes, au 78, rue des Gros Grès, en présence d'une délégation de joueurs actuels du Racing, dont Sébastien Chabal.

En présence de Rama Yade, P
atrick Devedjian, Philippe Sarre, Isabelle Balkany, Bernard Lucas et Alain Boissinot, Recteur de l’Académie de Versailles et Edouard Rosselet, Inspecteur d’Académie


D'une superficie de 6 801m² et pouvant accueillir 500 élèves, le 6 Collège de Colombes, construit par le Conseil général, est équipé de 13 salles de classes, 1 salle de Sciences et Vie de la Terre, 1 salle de sciences expérimentales, 3 salles de technologie, 1 salle d’arts plastiques, 1 salle de musique, 1 espace restauration de 148 m², 1 centre de documentation et d’information (CDI), et 1 grand gymnase permettant à l’ensemble des collégiens de pratiquer des activités sportives dans des conditions optimales. Le Conseil général a investi 18,326 millions d’euros dans la construction de ce collège.
 

Le collège est construit dans le respect des préconisations de la Haute Qualité Environnementale dans le cadre de la politique de développement durable du Conseil général. Sur les 14 cibles que compte la démarche HQE®, 3 cibles bénéficient d’un traitement très performant, 4 d’un traitement performant et les 7 autres d’un traitement conforme aux normes en vigueur : 

Cibles à traitement très performant : chantier à faible impact environnemental (cible 3), gestion de l’énergie (cible 4), confort hygrothermique (cible 8) ;
Cibles à traitement performant : gestion de l’eau (cible 5), maintenance – pérennité des performances environnementales (cible 7), confort acoustique (cible 9).Relation du bâtiment avec son environnement immédiat (cible 1) ;
Cibles “ réglementaires ” : choix intégré des procédés et des produits de construction (cible n°2), gestion des déchets d’activités (cible n°6), confort visuel (cible n°10), confort olfactif (cible n° 11), conditions sanitaires des espaces (cible n°12), qualité sanitaire de l’air (cible n° 13) et qualité sanitaire de l’eau (cible n°14). Un bassin de rétention est installé sous le préau pour récupérer les eaux pluviales.

Pour le maintien du Racing à Colombes !  

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Un grand projet pour Yves-du-Manoir

25 Septembre 2009, 13:35pm

Publié par MoDem-Colombes



Colombes / Aménagement - Rama Yade défend un grand projet pour Yves-du-Manoir


"Informer les habitants sur les discussions en cours », tel était l’objectif de la réunion organisée mercredi soir à l’école Ambroise-Paré de Colombes par la secrétaire d’état aux Sports et conseillère municipale d’opposition UMP, Rama Yade. Des discussions portant sur l’avenir du stade et complexe sportif Yves-du-Manoir. Pour cela, la secrétaire d’Etat avait invité plusieurs acteurs du dossier pour qu’ils s’expliquent devant le public.  Un exercice de pédagogie et de démocratie locale auquel ont notamment participé le club du Racing, RFF (Réseau Ferré de France), la SNCF et la RATP, en présence d'une centaine de personnes, dont de nombreux militant UMP. Manquait juste... le maire (PS) de la ville, Philippe Sarre, qui bien que non convié à la réunion, a fini par s'y inviter seul - en ayant la délicatesse de préalablement prévenir de sa venue - et a pu s'y exprimer, en rappelant qu'il avait multiplié les démarches pour tenter de garder le Racing-Métro à Colombes.

Les acteurs présents se sont entendus sur les données du problème : le club de rugby du Racing qui évolue depuis cette saison en Top 14 souhaite construire une enceinte de 35000 à 40000 places pour laquelle les transports en communs colombiens sont sous-dimensionnés. En conséquence, tous ont pris acte que d'ici trois ans, les Ciel et Blanc feraient très probablement leurs valises pour le stade des Bouvets à Nanterre.

Aujourd'hui, seuls les élus MoDem demandent encore le maintien du club à Colombes, avec une pétition qui a déjà recueilli plus de 1 000 signatures.  Côté ville et conseil général, on a commencé à travailler sur une autre piste. Les contacts sont avancés avec la Fédération française de handball, dont le président était présent à la réunion de mercredi soir - pour transformer le vieux stade en un moderne Clairefontaine du handball après le départ des rugbymen.

L'idée séduit Rama Yade ... qui rêve même de lui ajouter une dimension supplémentaire. C'est le projet BHV, celui d'un grand complexe dédié au hand, mais aussi au basket et au volley. Comme secrétaire d'Etat aux Sports, la jeune femme a d'ores et déjà pris contact avec ces deux fédérations pour tâter le terrain, bien décidée à demander "au Premier ministre de l'aider à porter un projet d'envergure" le jour venu. Pas avant, car elle rechigne pour l'instant à tourner définitivement la page Racing : "C'est important de travailler sur un projet alternatif ambitieux, mais beaucoup de choses peuvent encore se passer en trois ans..."


Matthieu PELLOLI
(c) Le Parisien Hauts-de-Seine 25/09/09

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Colombes : Conseil Communal des Jeunes

24 Septembre 2009, 07:00am

Publié par MoDem-Colombes



Après la reprise des Conseils de Quartier (26 juin 2008), le nouveau Conseil du Développement Durable (23 octobre 2008), le nouveau Conseil Consultatif de la Vie Locale (7 juillet 2009), voici la reprise du Conseil Communal des Jeunes (CCJ) !

Le Conseil Communal des Jeunes de Colombes (de la 6ème à la seconde) existe depuis une dizaine d’années. Il permet aux jeunes de proposer des idées destinées à améliorer Colombes et la vie des Colombiens. Le CCJ est constitué lors d’élections qui se déroulent dans les lycées et collèges. Les conseillers sont élus pour un mandat de trois ans. Les jeunes élus s’informent, étudient, font approuver et réalisent leurs projets. Pour les mener à bien, le CCJ dispose d’un budget dont il assure la gestion. Pour les actions nécessitant des fonds plus importants, un budget supplémentaire peut être voté au Conseil municipal.

Les conseillers se réunissent deux fois par an en séances plénières avec le maire et ses adjoints pour proposer des projets et faire le bilan des actions déjà réalisées. Ils travaillent, au cours de l’année, soit en commission, soit en groupe avec les services municipaux compétents pour mettre en oeuvre les actions choisies. Tout au long
de leur mandat, les conseillers sont accompagnés dans la réalisation de leurs projets par le coordinateur du conseil communal. Être membre du CCJ, c’est un vrai travail qui nécessite du temps, de l’organisation, des idées et de la volonté.

Quelques projets réalisés par le CCJ : 

  • 50e anniversaire du jumelage Élaboration et lecture du serment par les jeunes français et allemands.
  • Projets de réaménagement des aires de jeux dans certains quartiers.
  • JAAM 2009 : Rencontres des Jeunes Artistes Amateurs.
  • Collecte au profit des Restaurants du Coeur : depuis plusieurs années, le CCJ s’investit aux côtés des Restaurants du coeur.

Les engagements de la Ville : 

  • Elaborer un budget supplémentaire pour des actions particulières,
  • Organiser des séminaires de formation pendant les vacances scolaires pur les jeunes élus,
  • Organiser la visite d'institutions telles que le Parlement européen, l'Assemblée Nationale ou le Sénat,
  • organiser des moments d'échange avec Frankenthal ou tout autre ville jumelle.

 

Le 17 novembre, il y aura 33 conseillers communaux jeunes : 4 (un pour les 6è, un pour les 5è, un pour les 4è et un pour les 3è) pour chacun des collèges suivants : J.B. Clément, Jeanne d'Arc, Henri Dunant, Gay Lussac, Lakanal, Moulin Joly, 2 pour les 2è du Lycée Jeanne d'Arc, 4 pour les 2è du Lycée Guy de Maupassant, 1 pour les 2è du Lycée Garamont, et 2 pour les 2è du Lycée Valmy.

Pour être électeur : on doit habiter Colombes, avoir moins de 18 ans, et scolarisé dans le second degré.

Pour être candidat : on doit habiter Colombes, avoir entre 11 et 16 ans le jour de l’élection (17 novembre 2009), ne pas avoir un niveau d’étude supérieur à la seconde, Remplir un bulletin de candidature et le déposer dans ton établissement scolaire avant le 16 octobre

Calendrier électoral
du 5 au 16 octobre 2009
Dépôt des candidatures, récupération  des autorisations parentales et relance  si nécessaire.
du 5 au 13 novembre 2009
Campagne électorale, élaboration des professions de foi, installation des panneaux électoraux dans les collèges et affichage
.
le 17 novembre 2009
Élections du CCJ dans les collèges, lycées et en mairie principale.

Renseignements au 01 47 60 82 88

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Infos média : F. Bayrou

23 Septembre 2009, 14:52pm

Publié par MoDem-Colombes



François Bayrou sera l'invité de :

- l'émission questions d'info sur LCP-AN, en partenariat avec France Info et l'AFP, ce soir mercredi 23 septembre à 21h30 ;

- Jean-Michel Apathie sur RTL, jeudi 24 septembre à 07h50 ;

- l'émission "Face aux Chrétiens", jeudi 24 septembre à 17h sur RCF, et à 18h30 sur radio Notre-Dame. Retrouvez la synthèse de l'émission dans la Croix, vendredi 25 septembre.

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Réunions avec les élus MoDem du Conseil Régional IdF

22 Septembre 2009, 17:04pm

Publié par MoDem-Colombes



Les élus régionaux MoDem souhaitent partager l’expérience de leur mandat qui s’achèvera en mars 2010 et dresser bilan de l’action du Conseil régional et de celle des élus MoDem au sein de l’assemblée.

Ils vous proposent cinq réunions thématiques. A chaque fois elles aborderont un des grands domaines de compétence de la région :

1/ Aménagement – Transport

2/ Formations – Entreprises

3/ Recherche – Innovation                                       

4/ Culture – Sport – Tourisme

5/ Logement – Ville - Solidarité


Les élus interviendront mais aussi un expert sur le sujet afin de vous apporter la meilleure compréhension des grands enjeux de l’Ile de France.

Un débat concernant le futur et permettant d’exprimer les préoccupations et les idées des participants nourrira le futur programme.

La première réunion, qui traitera de « Aménagement et transports en Ile de France »  aura le lieu le

Lundi 28 septembre

 de 20 heures 30  à 22 heures

« Pavillon de l’Europe »

312 avenue Napoléon Bonaparte,

92500 Rueil-Malmaison

 

Dates et lieux des autres réunions :

 

·         Le jeudi 1er octobre à Asnières :  Formation – Entreprise

·         Le mardi 13 octobre en soirée : lieu à préciser : Logement -  Ville - Solidarité

·         Le jeudi 15 octobre : lieu à préciser : Recherche – Innovation

·         Date et lieu à préciser : Culture – Sport - Tourisme

 

Antoine Dupin
Président du MoDem92
Conseiller régional d’Ile-de-France

http://www.democrates-idf.fr/ 

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La Section Colombienne du MoDem fait sa rentrée !

20 Septembre 2009, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes



La prochaine réunion de la Section MoDem de Colombes a lieu ce soir lundi 21 septembre à 20h00.

Si vous souhaitez rejoindre le Mouvement Démocrate de Colombes et participer à la vie de la section, n'hésitez pas à téléphoner au 06 03 35 05 49 ou à envoyez un message à
modem.colombes@gmail.com.

A l'ordre du jour ce soir :
- Accueil des nouveaux adhérents ;
- Point sur les élections régionales : lancement des 5 réunions-bilan des élus MoDem au sein du Conseil Régional;
- Préparation du Conseil municipal du Jeudi 24 septembre 2009 (dont Audit sur le Système de Vidéoprotection Urbaine) ;
- Point sur
l'actualité à Colombes ;
- Point sur la pétition en ligne et sur papier "
Pour le maintien du Racing-Métro 92 à Colombes" ;
- Questions diverses.

Lieu de réunion habituel.

Christian Don
Vice-Président de la Section MoDem de Colombes,
Secrétaire chargé de l'animation.

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