20 juillet : Temps très lourd et ensoleillé sur Colombes : 34°C.
20 juillet : Incendie rue Moslard : un appartement en partie détruit et trois personnes hospitalisées.
21 juillet : Les maires d’Asnières, de Colombes et de Gennevilliers sont reçus par le Préfet de Police en présence du Préfet des Hauts-de-Seine
pour évoquer la création d’une Unité Territoriale de Quartier (UTeQ) intégrant les trois quartiers mitoyens des trois communes (le quartier des Mourinoux à Asnières, le quartier des Fossés
Jean à Colombes et le quartier du Luth à Gennevilliers).
22 juillet : Au lendemain de l'annonce de la tenue d'une réunion sur les problèmes de sécurité posés par les gens du voyage, France
Soir réalise un reportage sur le seul camp des gens du voyage du 92, celui de Colombes : 26 caravanes accueillant en moyenne 3 personnes :
http://www.francesoir.fr/faits-divers/gens-du-voyage-eternels-voleurs-de-poule
22 juillet : Dernière partie à Tarascon de la tournée d'été des Batuc'ados de Colombes, avec la comédie musicale "Quand Jamal rencontre Julia à Paris dans les années 40"
22 juillet : Le collectif Regards Citoyens a mené une étude sur les sanctions sur l'indemnité de fonction des députés manifestant des absences
répétées aux réunions de leur commission permanente le mercredi matin ou aux scrutins solennels en hémicycle (93 députés sanctionnables soit 243 737,33 €)
; l'occasion de faire le point sur l'activité de nos 2 députés de Colombes (non-sanctionnables) :
Asnières - Colombes Sud : http://www.nosdeputes.fr/manuel-aeschlimann
Colombes Nord - Genevilliers - Villeneuve la Garenne : http://www.nosdeputes.fr/roland-muzeau
23 juillet : Info ou intox ? Plusieurs pistes sont imaginées pour une circonscription légisative pour Jean Sarkozy en 2012 : Asnières et/ou
Colombes ?
Selon Charles Pasqua « Jean est davantage un gaulliste social qu'un homme de droite. C'est une des raisons pour lesquelles il peut être candidat ailleurs
(qu'à Neuilly ou Issy). La circonscription d'Asnières-Colombes, c'est prenable. La mairie d'Asnières aussi ».
Ou comme suppléant de Rama Yade, qui vise elle la circonscription de Colombes-Gennevilliers : si elle est élue en 2012 et obtient un nouveau poste gouvernemental,
il pourrait entrer à l'Assemblée Nationale.
24 juillet : Si Jacky Lorenzetti avait souhaité jusque-là rester fidèle au stade Yves-du-Manoir de Colombes, qu’il considérait comme
faisant partie du patrimoine du Racing-Métro 92, cette saison les choses devraient changer avec les délocalisations prévues au Stade de France pour au moins deux rencontres, celle du derby face
au Stade Français en décembre puis contre Toulouse à la mi-mars.
25 juillet : Traditionnels marché et podium caribéens de Colombes.
Les 40 cambriolages de la bande du Japonais - Depuis deux ans, la contrée comprenant Colombes, Courbevoie,
Rueil, Cormeilles, Maisons-Laffitte, Bezons, Nanterre était terrorisée par une bande de malfaiteurs qui s'était fait une spécialité de dévaliser les villas isolées, d'attaquer les passants
attardés et de voler le long des voies ferrées les fils télégraphiques et téléphoniques. Lors de l'arrestation de la bande à Nonor, on crut que la tranquillité allait se faire, mais en réalité
les débris de cette bande s'étaient reconstitués sous le commandement d'un nommé Turpin, dit le Japonais, dix-sept ans, demeurant rue des Pâquerettes, à Nanterre. Après une longue surveillance
les agents de Puteaux, sous la direction de M. Bénézech, commissaire de police, ont opéré l'arrestation des principaux membres de la bande du Japonais. Ce sont, outre Turpin, les nommés Edouard
Cheroy, dix-sept ans, rue Paul-Bert, à Colombes ; Adolphe Delage, dix-sept ans, rue de Côtes-d'Auty, à Colombes; Charles et Robert Labonde, quatorze et seize ans, rue de Nanterre, à Nanterre, et
un brocanteur, Louis Véron, soixante-six ans, de Petit-Colombes. Cette bande de vauriens s'est reconnue coupable de plus de quarante cambriolages d'une soixantaine d'attaques nocturnes à main
armée et des vols de plusieurs milliers de fils télégraphiques. Ils s'attaquaient particulièrement aux vieillards hospitalisés à la Maison de Nanterre lorsqu'ils rentraient le dimanche soir. Ils
les renversaient d'un coup de tête dans le dos, les dépouillaient de leur petit pécule, les laissant pour morts sur place. Le Matin – 23 juillet 1910