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Le Blog du MoDem de Colombes

Hervé Morin

10 Octobre 2011, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.nouveaucentre.fr/sites/default/fck_files/image/sitejphm.jpg

 

Hier, à Issy-les-Moulineaux, la journée parlementaire du Nouveau Centre a mal commencé pour Hervé Morin. Seul en lice depuis la défection de Jean-Louis Borloo le 2 octobre dernier, le président du Nouveau Centre n’a pas reçu tous les soutiens qu’il espérait. Présents : une vingtaine de parlementaires nouveau centre ou apparenté. Et justement, c’est un "apparenté" qui a lancé la première pierre : "Je soutiendrai François Bayrou en 2012", annonce fièrement Philippe Folliot, député du Tarn et membre de l’Alliance centriste de Jean Arthuis. A la sortie de la réunion à huis clos menée par Hervé Morin et Yvan Lachaud, président du groupe NC à l’Assemblée, la révélation fait mal. "Un seul député a dit cela", se justifiera plus tard Hervé Morin, "et un apparenté en plus", peste-t-il. L’important n’est pas là pour les dirigeants du Nouveau Centre, persuadés qu’il existe un espace "de centre droit" à l’élection présidentielle. "Il y a une déception chez les électeurs de droite et du centre qui ne veulent pas voter Nicolas Sarkozy au premier tour mais qui ne sont pas socialistes", explique Jean Dionis du Séjour, député du Lot-et-Garonne. Et François Bayrou ? "Voter Bayrou, c’est voter socialiste", répète en boucle Hervé Morin qui assure que l’avenir du MoDem se joue à gauche. "Si ils veulent un groupe à l’Assemblée, c’est la gauche qui le leur donnera", soutient le président du NC accusant presque le président du MoDem de ne pas être clair face à ses électeurs. "François Bayrou ne lèvera pas l’ambiguïté sur ses consignes de vote au second tour." "Il va rester dans le ni-ni", ajoute un proche qui revendique lui aussi son appartenance au "centre droit."

Au cours du déjeuner, l’ambiance se détend. Moins agressif avec les journalistes, Hervé Morin redit toute sa détermination. Selon lui, on ne peut prévoir ce qu’il se passera en mai 2012. Il prend pour exemple les 17% de François Bayrou en 2007 et ceux d’Arnaud Montebourg à la primaire socialiste de dimanche dernier, "Tous deux crédités respectivement de 6 et 4% dans les sondages". "Il faut tenir le cap, les Français ne sont pas figés", espère-t-il.

A l’heure du café, Luc Chatel fait son entrée. Très bien accueilli par André Santini, député-maire d’Issy-les-Moulineaux, il a échangé quelques mots avec Charles de Courson pour s’éclipser très vite, avant même le début de la table ronde sur l’éducation, pourtant raison officielle de sa venue…Patrick Ollier, le ministre chargé des relations avec le Parlement est aussi présent et François Fillon conclut la journée. Un bon échantillon du gouvernement, dont François Sauvadet, lui-même centriste et ministre de la fonction publique. "Nous faisons partie de la même majorité" assure le ministre en balayant d’une main la supposée candidature d’Hervé Morin : "Je ne l’ai pas entendu se déclarer, ose-t-il. "S’il le faisait, je l’en dissuaderais, c’est complètement prématuré". De son côté, le quinquagénaire semble prêt malgré tout : "J’ai la volonté, j’ai la détermination, j’ai un projet, j’ai écrit un livre", résume-t-il, sérieux. Il devrait annoncer sa candidature avant Noël, à moins que l’on ne l’en dissuade…

(c) LCP

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Primaires socialistes à Colombes : 7,6 % de participation

9 Octobre 2011, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

http://htmlimg3.scribdassets.com/907uquicu814brm5/images/1-0a9f4103ec.jpg

 

Résultats : 3406 votants

1 - Hollande 35% (1190 voix)

2 - Aubry 31% (1057 voix)

3 - Montebourg 16,8% (573 voix)

4 - Valls 8,8%  (299 voix)

5 - Royal 7,4% (250 voix)

6 - Baylet 0,68 % (23 voix).

soit 3406 votants sur près de 45 000 inscrits, pour ces premières primaires ouvertes aux sympathisants socialistes.

(6% de participation au niveau national - 2 650 000 sur 44 000 000 électeurs)

A Colombes, il y avait 10 bureaux de vote (école Marcelin Berthelot, école Léon Bourgeois A,  place Aragon (salle du Cala),  école Charles Péguy A, école Henri Martin,  école Lazare Carnot,  école Hoche,  école Ambroise Paré B,  école Langevin Wallon, gymnase Maintenon).

 

Votants Hollande Aubry Montebourg Royal Valls Baylet Blancs&nuls

Petit Colombes : 239 : 91 61 30 36 20 1 1

Stade: 161 : 56 52 25 16 11 1 2

Petite Garenne : 452 : 145 142 89 25 47 4 0

Grèves : 195 : 80 62 25 17 8 3 0

Estienne d'Orves : 418 : 130 145 71 34 35 3 2

Vallées : 530 : 184 166 85 30 61 4 0

Agent Sarre : 437 : 151 137 82 20 46 1 1 

Europe : 367 : 134 : 120 70 21 19 3 0

Fossés Jean : 270 : 104 78 45 28 12 3 1

Centre : 327 : 115 94 51 27 40 0 2


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Manuel Valls

8 Octobre 2011, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.lepoint.fr/images/2011/10/07/valls-409665-jpg_270931.JPG

http://www.francesoir.fr/sites/default/files/dynimagecache/0/5158/3659/411-0-5158-3659-494-351/bayroupresidentiellelivre.jpg

 

 

 

Invité vendredi matin de BFM-TV, Manuel Valls – qui prétend dire tout haut ce que beaucoup de ses amis du PS savent vrai mais taisent – a affirmé que, devant l’ampleur de la crise, le PS et même l’ensemble de la gauche ne pourraient pas durablement gouverner sans un rassemblement « républicain » plus large. Et le député et maire d’Evry (Essonne) – qui occupe sans complexes l’aile droite moderniste du Parti socialiste – a explicitement cité le nom du centriste François Bayrou. Mais Valls ajoute aussitôt que le président du Modem va devoir cependant choisir : ou bien rallier ceux qu’il appelle les « républicains » ou bien choisir la droite, son camp d’origine. En attendant ce que fera Bayrou, Valls récuse catégoriquement les oukases de Jean-Luc Mélenchon, le candidat du Front de gauche, lequel ne veut pas entendre parler de la moindre alliance avec Bayrou. Valls veut et l’un et l’autre : et Bayrou et Mélenchon.

François Bayrou a répondu au député-maire d'Evry sur sa proposition d'alliance PS-MoDem formulée vendredi matin sur RMC. «Manuel Valls défend des idées qui sont très compatibles et très proches de celles que j’ai toujours défendues. Et il constate, comme moi, que la situation du pays ne permettra pas de rester bloc contre bloc dans le sectarisme traditionnel», a déclaré hier François Bayrou au Figaro.

«Autre chose est l’affirmation que la gauche de la gauche, type Mélenchon, pourrait se retrouver dans une telle démarche. Je n’ai pas la même intuition que la sienne. Je suis sûr que c’est une illusion», a ajouté le président du MoDem.

«La politique que la France devra nécessairement suivre, si elle veut s’en sortir, ne s’accommodera pas de tels leurres. Mais, bien sûr, les réformistes sont compatibles et ils auront l’obligation de travailler ensemble.», a encore assuré François Bayrou.

 

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La Nuit du Conte

8 Octobre 2011, 10:32am

Publié par MoDem-Colombes

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La Nuit du conte est devenue au fil des années un rendez-vous attendu par les amateurs de conte. Avec près de 3h d'histoires, légendes ou récits urbains, cette année, promis, on fait plus long ! 

La Nuit c'est aussi une ambiance populaire et conviviale : dans le hall du théâtre, plongez dans le décor des cafés de France. On se balade au café de la plage, on s'amuse au café des sports, on se restaure au café épicerie... Et qu'est-ce qu'on mange ? Soupe ou fromage au choix !

Sur scène sont réunis 6 artistes emblématiques des arts de la parole : 
pour les plus jeunes dès 5 ans, l'énergie endiablée du réunionnais Jean-Bernard Ifanohiza côtoie Michèle Nguyen toute en légèreté. 
Après le repas, la fougue décoiffante de Taxi-conteur suit de près Michel Hindenoch, le barde à la voix inimitable. 

Enfin les vastes épopées de Catherine Zarcate nous conduisent jusqu'à la voix grave et la poétique imagée de D'de Kabal. 
Sagesse, humour, tendresse sont réunis sous la conduite de Rachid Akbal, irremplaçable chef d'orchestre de cette soirée.

Et pour finir en beauté, on guinche jusqu'au bout de la nuit avec le Bringuebal, un bal populaire agité des guiboles et du bocal. 

Avec Adama Adépoju dit Taxi-conteur, Rachid Akbal, Le Bringuebal, Michel Hindenoch, Jean-Bernard Ifanohiza, Michèle Nguyen, Catherine Zarcate.

Tout public à partir de 5 ans

Tarif : 12 € (plein tarif), 10 € (abonnés de l'Avant-Seine, adhérents du service intergénérationnel de Colombes, étudiants, demandeurs d'emploi, Rmistes, intermittents du spectacle, personne à mobilité réduite, moins de 26 ans), 5 € (moins de 20 ans)
Réservations : 01 56 05 00 76

Restauration sur place : 3 € (soupe de saison) / 4 € (planche fromage ou charcuterie)
Tickets en prévente à l'Avant-Seine / Théâtre de Colombes

Soupe préparée par l'association Les bons contes font les bons amis

En présence des Editions Planète Rebelle, Editions Oui'dire et de la Revue La Grande oreille.

Soirée d'ouverture de Rumeurs Urbaines, festival des arts de la parole, du 8 au 22 octobre 2011. Programme complet sur www.rumeursurbaines.org


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Colombes : Agenda Octobre

6 Octobre 2011, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

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Exposition "Requalification Charles de Gaulle Est", jusqu'au 14 octobre, du lundi au samedi, 9h00-12h00 & 14h00-20h00, à l'Espace des 4 Chemins

Exposition "Reflet ou transparence", jusqu'au 29 octobre, du mercredi au samedi, 14h00-18h00, au Musée Municipal. 

Exposition "Des forêts pour les hommes", jusqu'au 4 novembre, du lundi au vendredi, 9h00-12h30 & 13h30-17h00, au Centre Nature

Semaine du Goût, samedi 8 octobre au Marché Marceau & vendredi 9 octobre aux Marchés du Centre et du Petit-Colombes

Brocante du Secours Populaire Français, le 8 octobre, de 9h00 à 19h00, au Gymnase Maintenon.

Brocante de l'Amicale de la Tour Z, le 8 octobre, de 9h00 à 19h00, aux 23-25, rue Jules Michelet.

Festival Rumeurs Urbaines, du 8 au 21 octobre, le programme complet

avec notamment

La Nuit du Conte, le 8 octobre, à 19h00, à L'Avant-Seine

Soirée 109, avec notamment Pierpoljack le 15 octobre, à 20h00, au Tapis Rouge

La semaine bleue (semaine nationale des retraités et des personnes âgés), du 18 au 23 octobre

41èmes Rencontres de Danse de la Toussaint, du 23 au 26 octobre, à la MJC

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La reconstruction du courant central de la vie politique française

5 Octobre 2011, 23:03pm

Publié par MoDem-Colombes

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François Bayrou répond aux questions des journalistes des Échos, dans une interview parue ce mercredi 5 octobre.

"Je ne voterai pas le budget. Le voter reviendrait à approuver la politique du gouvernement. Depuis 2007, je la conteste", défend-t-il notamment.

Le forfait de Jean-Louis Borloo est-il une bonne nouvelle pour vous ?

C'est une clarification et toute clarification est utile. Il a fait le constat qu'il était impossible de prétendre incarner une alternative en restant dans la majorité et après avoir été le numéro deux du gouvernement durant quatre ans.

Voulez-vous lui tendre la main ou reprendre le travail de reconstruction du centre ?

La récupération n'est pas de bon aloi et je ne la pratique pas. Mais la reconstruction du courant central de la vie politique française est nécessaire. Elle est d'ailleurs inéluctable. Elle ne peut se faire que dans la clarté et sa condition est l'indépendance. C'est la différence que j'ai eue au travers des années récentes avec les responsables des mouvements qui avaient choisi la majorité : pour eux, comme ils le disent, le centre est à droite. Pour moi, le centre est au centre. Et c'est essentiel car face à la crise la plus grave que notre pays ait connue depuis les débuts de la Ve République, la majorité nouvelle dont le pays a besoin ne pourra être qu'une majorité centrale, pas la majorité d'un camp contre l'autre.

Quel regard portez-vous sur la primaire du Parti socialiste ?

Une primaire de parti s'impose quand ce parti n'a pas de leader indiscuté. Quand le PS aura choisi son candidat, alors s'engagera la vraie primaire, non pas la primaire d'un parti mais la primaire du pays. Ce sera, comme prévu par nos institutions, le premier tour de la présidentielle. Et tous les Français y participeront, choisiront entre plusieurs personnalités et plusieurs projets, sans payer 1 euro et sans faire de proclamation préalable d'adhésion à un camp.

Qu'est-ce qui vous sépare de François Hollande ?

Essentiellement qu'il est le représentant du PS, et ne s'est démarqué ni du programme ni des habitudes de son mouvement. Le PS est prisonnier de beaucoup de mauvaises habitudes et de sectarismes. Il est malsain pour la France que l'UMP et le PS exercent, tout à tour, le monopole du pouvoir. Songer que le seul Parti socialiste pourrait détenir à la fois l'Elysée, le gouvernement, l'Assemblée nationale, le Sénat, la quasi totalité des régions et la grande majorité des départements et des villes, invite à y réfléchir à deux fois. Un des enjeux de l'élection présidentielle c'est de ramener les deux partis dominants des deux dernières décennies à une cure de modestie. Et de faire sa place enfin à une logique non pas partisane mais d'intérêt national. Par ailleurs, les promesses officielles du PS ajoutées aux promesses personnelles des candidats sont tout simplement insoutenables. Les 300.000 emplois jeunes, l'allocation autonomie pour tous les jeunes, le retour de la retraite à 60 ans, les 70.000 emplois créés dans l'Education nationale, l'augmentation des budgets, et j'en passe : je vous le dis avec certitude, cela n'est pas tenable et ne se fera pas.

Croyez-vous que l'UMP puisse choisir un autre candidat que Nicolas Sarkozy ?

Visiblement, la question se pose à beaucoup d'entre eux. Mais la probabilité qu'il se représente reste la plus forte. Et compte tenu de son profil et de son statut de président sortant, je ne vois pas qui pourrait faire mieux que lui dans son camp.

Tirez-vous une leçon du forfait successif, et pour des raisons différentes, de Dominique Strauss-Kahn, Nicolas Hulot et Jean-Louis Borloo ?

Pour participer à une élection présidentielle, il faut trois choses : représenter un courant politique profond dans le pays, défendre un projet original et s'être construit une sorte de résolution intérieure à toute épreuve. Sinon, cela devient trop difficile.

Voterez-vous le budget 2012 ?

Non. Le voter reviendrait à approuver la politique du gouvernement. Depuis 2007, je la conteste. Il y a eu le projet de loi TEPA, le bouclier fiscal, des déductions fiscales excessives. Le gouvernement a laissé filer les déficits. J'étais et je reste en désaccord profond avec ce qui a été fait. Il faut, selon moi, engager une réforme en profondeur comprenant à la fois une baisse des dépenses budgétaires et sociales et une hausse des recettes. Je suis partisan de la suppression de 20 milliards d'euros de niches fiscales, d'une hausse de 2 points de la TVA, de deux tranches à 45 et 50 pour cent de l'impôt sur le revenu, d'une taxation accrue des successions importantes et d'une simplification de la fiscalité du patrimoine. Cette dernière devrait être intégrée à l'impôt sur le revenu, via l'inscription d'un revenu théorique de 0,5 pour cent sur le revenu des patrimoines au delà d'un seuil de 1 million d'euros, avec abattement sur la résidence principale. Cela permettrait de régler définitivement la question de l'ISF.

Comment jugez-vous l'action de Nicolas Sarkozy face à la crise ?

Ce qui est le plus frappant, c'est son manque de lisibilité. Il ne s'exprime pas sur la crise. Il aurait fallu un Roosevelt ou un Mendès-France qui vienne au moins chaque semaine expliquer aux Français ce qui se passe et vers où on peut aller. Mais lui ne dit rien. Même lorsqu'il rencontre des succès indiscutables comme sur la Libye, il ne s'adresse pas au pays. Il est dans l'erreur contemporaine qui laisse croire que seule l'image compte. Or la vertu démocratique consiste à considérer les citoyens comme des êtres responsables, à échanger avec eux, pas à faire des romans-photos.

Que feriez-vous au pouvoir ?

Je suis résolument contre tout défaut même partiel de la Grèce qui signifierait, pour tous les investisseurs, qu'on ne peut plus faire confiance, désormais, à un prêt libellé en euros. Ce serait la défiance et nous paierions cette défiance, nous Français en particulier, au prix fort. Je suis donc certain qu'il faut un mécanisme, incluant la BCE et les instances communautaires, qui soit une gestion partagée de tout ou partie de la dette de la zone euro. D'un côté, une assurance pour faire baisser les taux d'intérêt, de l'autre une discussion sans arrogance avec les pays de la zone pour aller vers les réformes à conduire. Il faut demander des efforts, mais de manière compréhensive et réaliste. Aider la Grèce à construire une administration fiscale, lui permettre cependant d'investir, obtenir un allongement par exemple à trente ans des délais de remboursement, cela c'est possible. Mais imposer à la Grèce des sacrifices constamment aggravés, par oukases, c'est amener le peuple grec au rejet et à la révolte. Pour l'instant cet équilibre n'est pas trouvé.

Quelle est votre priorité économique ?

Il faut ordonner toute la politique du pays autour de deux objectifs centraux : produire et instruire. En économie, le grand débat et le grand effort national, l'obsession nationale doit être de retrouver les chemins du produire. Et ce n'est pas l'Etat qui produira, ce sont les entreprises. On doit les aider à reconquérir les secteurs de production abandonnés. Donc leur simplifier la vie, les soutenir. On doit travailler sur la vie sociale, les relations entre syndicats et entreprises. Sur le droit du travail. Sur l'image de marque de la France. Cessons de bercer les citoyens avec les propositions lunaires qui prétendent qu'il faut avant d'agir réformer le capitalisme international, mettre sous tutelle les banques ou sortir de l'euro. Tout cela, ce ne sont que des leurres. Les problèmes ne viennent pas d'ailleurs, ils sont chez nous : c'est chez nous qu'il faut les identifier et les corriger. D'urgence.

 

LesEchos.fr

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/interview/0201675927151-bayrou-la-vraie-primaire-c-est-le-premier-tour-de-2012-228629.php

 

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Corinne Lepage

5 Octobre 2011, 10:32am

Publié par MoDem-Colombes

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Le moins que l'on puisse dire, c'est que la candidature à l'élection présidentielle de Corinne Lepage, annoncée mardi 4 octobre au journal de 20 heures de TF1, n'a pas déchaîné l'enthousiasme de ses anciens "amis" du MoDem et d'EELV.

Dans l'entourage de François Bayrou, qu'elle avait rejoint juste avant l'élection présidentielle de 2007, avant de le quitter au lendemain des européennes de 2009, Corinne Lepage n'a pas laissé que de bons souvenirs. "A chaque fois, elle fait la même chose. Elle se présente à l'élection présidentielle et elle se met aux enchères", raille-t-on au MoDem.

 

Et de rappeler : "Elle est partie de chez nous juste après avoir été élue député européenne." Mme Lepage, qui a reproché à M. Bayrou une pratique trop personnelle du pouvoir, était, avant son départ, l'une des vice-présidentes du MoDem. "Elle n'a jamais été capable de s'entendre avec quiconque, de se ranger derrière quiconque, elle finira seule", cingle l'un de ses anciens camarades.

 

Aux yeux de Jean-luc Bennhamias, issu comme elle de la mouvance écologiste, Mme Lepage n'est pas un risque électoral pour le MoDem. "C'est le problème d'EELV. Elle doit penser à tort ou à raison – probablement à raison – qu'Eva Joly n'occupe pas entièrement la case de l'écologie", estime le vice-président du MoDem.

Pour lui, sa candidature n'a qu'un objet : "Elle veut exister, avec son petit groupe, Cap 21." "Elle nous a quittés, son espace politique n'existe plus, alors elle se présente. C'était tout à fait prévisible", poursuit-il. Et de pronostiquer : "Lorsqu'elle sera testée dans les sondages, elle fera un meilleur score que Hervé Morin (le président du Nouveau Centre)." Pour l'heure, le MoDem, qui a soufflé en apprenant le retrait, dimanche 2 octobre, de Jean-Louis Borloo de la course à la présidentielle, est tourné vers la bataille du centre.

 

LeMonde.fr

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Conseil Départemental MoDem 92

4 Octobre 2011, 09:30am

Publié par MoDem-Colombes

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Après des périodes d’élections, de réorganisation de nos instances, nous devons nous retrouver pour poursuivre nos travaux qui vont être tournés vers ce qui va être l’enjeu majeur de 2012.
C’est un beau projet qui nous attend et nous allons nous mobiliser.

 

Une importante délégation des Hauts-de-Seine était présente lors des Universités de rentrée qui se déroulaient les 16, 17 et 18 septembre. La qualité du contenu de ces rencontres, les personnalités rencontrées, la force de François Bayrou nous a tous frappés. Nous en témoignerons ensemble.
 
Nous nous retrouverons
ce mardi 4 octobre de 19h30 à 21h00,
au siège du MoDem, 133 bis rue de l'Université, Paris 7 ème.
 
 - Installation du Conseil départemental.
 
 - Bilan des Universités de rentrée
 
 - Présentation du bureau et missions
 
 - Premières opérations de terrain : modalités et organisation de la diffusion d'un tract national qui doit faire l'objet d'une large mobilisation.
 
 - Questions diverses.
 

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Bayrou au JT de France 2

3 Octobre 2011, 17:26pm

Publié par MoDem-Colombes

François Bayrou était l'invité du 20h de France 2 ce lundi 3 octobre.

 

Borloo : 

Borloo n'avait pas d'autre issue logique devant la contradiction dans laquelle il était placé en étant l'un des principaux responsables du gouvernement depuis des années, donc mal placé pour changer expliquer qu'il allait tout changer.

 

Le centre, c'est quoi ?

Sans vouloir faire de récupération, il a appelé au regroupement de ceux pour qui le mot centre a un sens.  Indépendant, non rallié à un bord plutôt qu'à l'autre.

Nous devrons tous être ensemble si l'on veut changer les choses.  Pas de récupération.

 

Bayrou candidat en 2012 ? : Oui c'est une certitude et qui en doute ? Je choisirai le moment où je donnerai le top départ.  Je n'aurais pas fait tout ce chemin et ces années pour éluder ce rendez-vous !

 

Un Point du Projet Présidentiel : On ne produit plus en France, il faut identifier les produits qui ne sont plus produits en France et travailler sur l'image de marque des produits français.  On sait faire des avions, des satellites, ... et on est incapable de faire des machines à laver en nombre suiffisant !

 

Et au 2ème tour ?

Je mènerai toute cette campagne pour être présent au second tour.  L'affrontement de la droite divisée contre la gauche divisée n'apportera rien de favorable.

Les points qui manquaient en 2007, nous les trouverons en 2012.

 


http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/10/03/bayrou-s-engage-sans-tarder-sur-le-terrain-abandonne-par-borloo_1581624_823448.html

 

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Bayrou : seul candidat du centre à la présidentielle

2 Octobre 2011, 19:19pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.mouvementdemocrate.fr/shadow/images/portrait-bayrou.jpg

 

Fin d'un an de suspense 200 jours avant le 1er tour !


Jean-Louis Borloo, Président du Parti Radical et leader de l'Alliance des Centres, vient d’annoncer au journal de 20 h de TF1 qu’il renonce à se présenter à l’élection présidentielle de 2012 : « Les conditions ne sont pas réunies pour fédérer les centres, et je ne veux pas ajouter de la confusion à la confusion ».

"A cette heure-ci, cette dynamique des centres à laquelle j'aspirais n'est pas suffisante pour porter une candidature, non pas de témoignage mais pour être présente au second tour de la présidentielle".  

 

"Il y aura un candidat du centre à l'élection présidentielle et un seul" avait déclaré François Bayrou - convaincu par avance que Jean-Louis Borloo renoncerait - à l'émission Dimanche Soir Politique de France Inter/Le Monde/I Télé/DailyMotion le 13 février dernier.

 "Nous voyons aujourd'hui les accidents, et les dérives, et les faiblesse du quinquennat". "Les Français ne se trompent pas quand il s'agit de désigner le candidat qui défend ces valeurs".  'Il ne s'agit pas d'une question d'étiquette, mais une question de valeur".

 

Dans le dernier sondage, François Bayrou voit sa cote grimper à 8-9 % (+2/+3).


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