Les meilleures petites phrases
- Nathalie Arthaud, porte-parole de Lutte Ouvrière: «Je ne serai peut-être pas élue présidente de la République, mais je ne serai pas la seule».
- Guillaume Bachelay, secrétaire national à l'industrie du PS, parlant de Ségolène Royal
: «Qu'on commette des erreurs en politique c'est possible; qu'on les commette toutes,
c'est fou !».
- François Baroin, ministre du Budget : «Michèle Alliot-Marie conserve toute sa légitimité à Saint-Jean-de-Luz».
- François Bayrou, président du MoDem : «Rassembler les centristes, c'est comme conduire une brouette pleine de grenouilles : elles sautent dans tous les sens».
- André Chassaigne, député PCF du Puy-de-Dôme : «Dans sa forme historique, le PC est mort ; mais il a encore de l'avenir».
- Gabriel Cohn-Bendit (frère de Daniel) : «Les Verts sont capables du meilleur comme du pire ; mais c'est dans le pire qu'ils sont les meilleurs».
- Renaud Donnedieu de Vabres, ancien ministre : «Passer de ministre à promeneur de son chien suppose un énorme travail sur soi-même».
- Daniel Fidelin, député UMP de Seine-Maritime : «Vu de la Chine, le port du Havre ne travaille pas».
- François Hollande, député PS de Corrèze : «Mélenchon, ce qui est terrible, c'est qu'il a été socialiste toute sa vie et que toute sa vie ça va le suivre».
- Brice Hortefeux, ministre de l'Intérieur, après la tempête de neige sur
l'Ile-de-France : «Il n'y a pas de pagaille ; la preuve le préfet a pu venir en trois
minutes».
Le prix "Press club, humour et politique", décerné chaque année par un jury composé d'humoristes et de journalistes, récompense l'auteur de la phrase la plus drôle de l'année, qu'il s'agisse indistinctement d'humour volontaire ou involontaire, et il sera attribué en juin prochain.
En 2010, l'eurodéputée Eva Joly d'Europe-Ecologie les Verts avait remporté le prix grâce à sa phrase: «Je connais bien Dominique Strauss-Kahn, je l'ai mis en examen.»
En 2009, Bertrand Delanoë : "Le vrai changement au PS, ce serait de gagner".
e jury a désigné comme Lauréat 2009 :
BERTRAND DELANOË,
Maire de Paris, pour sa déclaration : « Le vrai changement au PS, ce
serait de gagner ».