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Le Blog du MoDem de Colombes

Le cri d'alarme des villes pauvres

24 Septembre 2008, 07:13am

Publié par MoDem-Colombes

Ils sont sept ! Sept à avoir signé conjointement hier un communiqué en forme de cri d’alarme. Ce sont sept des huit maires* des villes des Hauts-de-Seine menacées par la réforme de la DSU, la dotation de solidarité urbaine. « Dans le cadre du budget 2009, le gouvernement s’apprête à réexaminer les critères d’attribution en supprimant le critère part des logements sociaux et en réduisant le poids des critères de zonage.

Si cette réforme est mise en place, 238 communes vont, sans aucune concertation, être exclues du bénéfice de cette dotation… C’est profondément injuste ! » dénoncent Jacques Bourgouin, Marie-Hélène Amiable, Catherine Margaté et Patrick Jarry, respectivement maires PC de Gennevilliers, Bagneux, Malakoff et Nanterre, ainsi que Gilles Catoire, Pascal Buchet et Philippe Sarre, maires PS de Clichy, Fontenay et Colombes. « Cette réforme va encore un peu plus creuser les inégalités sociales et territoriales. »

Pourtant, précise le préfet des Hauts-de-Seine, Pierre de Bousquet : « Il n’est pas question de priver les villes de banlieue d’une aide financière mais bien de renforcer les moyens pour les communes les plus en difficulté. » Et d’ajouter : « Retenir le critère du nombre de personnes bénéficiant d’aides au logement dans une commune est bien plus pertinent que de se fonder sur celui du seul nombre de logements sociaux. »
Des arguments qui sont loin de convaincre les intéressés. Des villes comme Bagneux y perdraient 200 000 €. Une somme dans le budget d’une ville de 38 000 habitants qui ne bénéficie pas d’une grosse taxe professionnelle. « Cette réforme exclut de la solidarité les communes qui ont construit et qui continuent à réaliser des logements sociaux et à développer des politiques solidaires », concluent les signataires, qui disent refuser d’être mis sur le même pied d’égalité que « des villes comme Neuilly qui ont fait le choix de refuser de construire du logement social ».

* Le maire UMP de Châtenay-Malabry, huitième ville concernée, n’a pas signé. Son opposante PS, Michèle Canet, s’est jointe en revanche à ses collègues maires de gauche.

Le Parisien 24/09/08

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Mensonge ou aveu ?

22 Septembre 2008, 23:01pm

Publié par MoDem-Colombes

Dimanche midi, dans l'émission Dimanche+, Anne-Sophie Lapix a demandé à Hervé Morin, Ministre de la Défense, Président du Nouveau Centre, ce qu'il reproche à François Bayrou :

« J'ai de l'estime et de l'affection pour François Bayrou. Je ne regrette rien du chemin que nous avons parcouru, la seule chose c'est qu'il m'a donné raison :

Quand en 2007, entre les deux tours de l'élection présidentielle, je lui ai dit qu'il fallait qu'il fasse un choix sinon il irait vers l'isolement. Parce que la Ve République c'est de faire un choix à un moment où à un autre. Le système est bipolaire. A gauche et à droite. Et quand on est troisième au second tour, il faut faire un choix.

Et comme il avait fait campagne essentiellement contre Nicolas Sarkozy, je lui avais dit : "Fais le choix de t'associer au PS." Parce qu'on ne peut pas être seul et être libre et indépendant c'est être en mesure de passer un accord avec quelqu'un. Ce n'est pas d'être seul. C'est le contraire de la liberté que de refuser l'accord.

Je lui ai dit : "Passe un accord." Et il m'a dit : "Je ne le ferais pas." "Bon, très bien mais tu finiras par le faire." J'ai constaté la semaine dernière qu'il avait tendu la main au parti socialiste. »


Alors pourquoi cette bourde quand on sait qu'il a appelé à voter Sarkozy parce qu'il refusait la perspective, selon lui inéluctable, d'un accord entre le Modem et le PS (Ce qu'il l'a conduit à fonder le Nouveau Centre et .... à devenir ministre !) ?


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Afghanistan

22 Septembre 2008, 17:25pm

Publié par MoDem-Colombes

François Bayrou a justifié son vote de ce jour favorable au maintien des troupes françaises en Afghanistan en affirmant qu'un retrait signifierait que "les talibans ont gagné".

"Il est impossible que la France renie ses engagements internationaux. Si on pliait bagages en quelques jours, ce qu'il faudrait faire si le vote était non, cela voudrait dire pour tout le monde que les talibans ont gagné"

"C'est impossible qu'un grand pays de l'alliance des Nations unies accepte une telle responsabilité, donc je voterai pour le maintien des troupes".

Il a par ailleurs demandé que "les troupes (françaises) reçoivent les équipements qu'ils n'ont pas à l'heure actuelle", citant notamment une "protection aérienne" et des "drones".

Il souhaite aussi que "la stratégie change le plus vite possible de manière à ce que l'armée afghane prenne le relais et que la population afghane ressente la présence des pays occidentaux davantage comme une aide au développement que comme une menace".

Les interventions étant réservées aux groupes, François Bayrou (MoDem) n’a pas pu s’exprimer à La tribune de l'Assemblée Nationale.

Le groupe socialiste, radical et citoyen (SRC) a voté massivement contre mais huit députés ont voté pour - quatre socialistes et quatre radicaux de gauche. Cinq se sont abstenus dont le député-maire d'Evry, Manuel Valls.

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De la halle à l'usine

21 Septembre 2008, 22:00pm

Publié par MoDem-Colombes

Comme tous les ans, les Journées Européenes du Patrimoine ont été ce week-end un grand succès à Colombes.

Ainsi, 120 personnes ont profité de l'ouverture exceptionnelle de la grande halle de l'ancienne usine des Eaux, classée à l'inventaire des Monuments Historiques, réaménagée en 2004 par l'architecte Michel Macary – à qui l’on doit le Stade de France et pour partie le grand Louvre - pour accueillir la "Cité de l'Eau et de l'Assainissement", un exemple exceptionnel de création architecturale à l'intérieur d'un bâtiment industriel des années 1900 en fer, brique et verre. 

Alors apès cette visite historique de la halle, ne manquez pas la visite de l'usine du SIAAP (Syndicat Interdépartemental pour l'Assainissement de l'Agglomération Parisienne), dans le cadre de l'opération "Visite d'Entreprises" organisée par le Comité Départemental du Tourisme des Hauts-de-Seine.

Construite en 1998, l’usine Seine Centre traite les eaux usées de l’ouest parisien. Elle possède une capacité de traitement de 240 000m3 / jour par temps sec. Vous découvrirez la conception architecturale du site qui a permis une intégration souterraine des ouvrages de traitement, généralement situés en plein air, offrant ainsi la suppression des nuisances olfactives.

Visite tous les mercredi du 8 au 29 octobre à 10h00

Pour des raisons de sécurité, les enfants de - de 16 ans ne sont pas admis !

www.siaap.fr

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15 membres pour former un groupe !

20 Septembre 2008, 09:00am

Publié par MoDem-Colombes

Dans l'indifférence presque générale, quelque 50.000 grands électeurs  (48.453 "délégués" des conseils municipaux, 178 députés, 765 conseillers régionaux et 1.504 conseillers généraux vont devoir choisir entre 754 candidats dont 272 femmes) sont appelés aux urnes demain pour renouveler un tiers du Sénat.

Ce scrutin concerne les départements métropolitains de l'Ain à l'Indre et le Territoire de Belfort, ainsi que la Guyane, la Polynésie française, Wallis-et-Futuna, Saint-Barthélemy, Saint-Martin et quatre représentants des Français établis hors de France.

L'élection du futur président du Sénat, par l'ensemble des sénateurs, aura lieu le 1er octobre.

Avec un mode de scrutin qui surreprésente les petites communes rurales, ces sénatoriales devraient être marquées par une progression de la gauche, mais la droite est assurée de garder la majorité.

Mais une autre bataille se joue au sein de l'assemblée : la bataille des Centres.
Car contrairement à leurs collègues députés, plusieurs sénateurs centristes n'ont toujours pas tranché entre le MoDem et le Nouveau Centre. Et certains souhaitent même maintenir l'existence de l'UDF...

Explications.

L'élection présidentielle de 2007 a abouti à l'explosion des centres. La déflagration remonte à l'entre deux tours de la présidentielle, quand François Bayrou a refusé à appeler à voter Nicolas Sarkozy. Alors que l'UDF a participé à toutes les majorités de droite depuis sa création, François Bayrou amorçait un changement d'alliance du parti centriste, désormais ouvert au dialogue avec la gauche. La plupart des cadres de l'UDF n'ont pas suivi François Bayrou dans sa stratégie autonomiste, considérant que leurs électeurs étaient avant tout des électeurs de droite. Entre le deuxième tour de l'élection présidentielle et les législatives de juin, François Bayrou a acté sa rupture politique en créant le Mouvement Démocrate (MoDem). La plupart des députés centristes ne l'ont pas suivi afin de recevoir le soutien de l'UMP. Dans la précipitation, ils se sont organisés autour d'Hervé Morin, ancien bras droit de Bayrou rallié à Nicolas Sarkozy, en créant le Nouveau Centre. L'UDF de Bayrou s'est donc scindé en deux : au MoDem, la légitimité du suffrage universel de celui qui est arrivé troisième de l’élection présidentielle, au Nouveau Centre, la légitimité des élus centristes de l'ex-UDF. Mais au Sénat, le groupe "Union Centriste - UDF" est resté intact.

Dans un premier temps, les sénateurs centristes, qui ont toujours participé aux majorités de droite, ont refusé de trancher en ne rejoignant ni le Nouveau Centre, ni le MoDem. Le groupe "Union Centriste - UDF" s’est maintenu.
Mais après la dissolution de l'UDF au sein du MoDem, les 33 sénateurs centristes ont dû choisir : 26 d'entre eux se sont affiliés financièrement au MoDem qui a reçu ainsi un financement public grâce à eux. Les autres ont rejoint l'UMP ou le Nouveau Centre. Malgré ces ralliements, les sénateurs centristes ont maintenu leur groupe "Union Centriste - UDF". Mais après l'échec du MoDem aux municipales de 2008 et la prise de conscience collective que la stratégie d'isolement de François Bayrou condamnait le MoDem politiquement, une partie des sénateurs centristes ont tenté de faire revivre l'UDF, arguant du fait que la structure juridique existait toujours. La fronde, menée par Jean Arthuis, a abouti à la tenue du comité directeur de l'UDF en avril 2008. Mais la manœuvre a échoué et François Bayrou a conservé la propriété du sigle UDF.
Depuis, Jean Arthuis a créé une association intitulée « Union centriste-UDF Mayenne » qui a vocation à devenir un organisme politique national à destination des centristes qui ne se reconnaissent ni dans le MoDem, ni dans le Nouveau Centre. La fuite des sénateurs du MoDem s’est donc poursuit après les municipales. Aujourd’hui, il n'en reste plus que 10, affiliés financièrement au parti de François Bayrou.

La situation au Sénat reste donc confuse. Il n'existe qu'un seul groupe centriste, présidé par Michel Mercier, et dont le nom est "Union Centriste - UDF". Pour l'instant, ni le Nouveau Centre, ni le MoDem n'ont suffisamment de sénateurs pour pouvoir créer leur propre groupe autonome. Mais ils espèrent pouvoir le faire à l'issue des prochaines sénatoriales. Il faut pour cela que chaque parti réussisse à faire élire au moins 15 sénateurs. Le pari du Nouveau Centre, grâce à sa stratégie d'alliance avec l'UMP, est possible. En revanche, en raison de son isolement politique, les probabilités pour le MoDem de constituer un groupe autonome au Sénat sont quasi nulles.
A l'issue du scrutin, une clarification devra s'imposer pour les sénateurs centristes : choisir entre le MoDem et le Nouveau Centre, ou décider de poursuivre la fragmentation des centres en relançant un canal historique des ex-UDF avec le risque d'affaiblir un peu plus une tendance politique visiblement en pleine crise identitaire.

Les sénateurs peuvent s'organiser en groupes (par affinités politiques), constitués après chaque renouvellement. Un groupe doit compter au Sénat au moins 15 membres, pour un effectif actuel de 331 sénateurs (l'Assemblée nationale en exige 20 pour un effectif de 577 députés).

Actuellement, le groupe UMP (159 membres) est issu de la fusion, en 2002, des sénateurs RPR, des républicains et indépendants (RI) et d'une partie des centristes.
Le groupe socialiste (95 membres) réunit les sénateurs du PS et des Verts (5 élus) .
Le groupe Union Centriste-UDF (30 membres) a survécu, pour l'heure, à la disparition de l'ex-UDF. Présidé par Michel Mercier, il rassemble à la fois des partisans de François Bayrou (MoDem), des élus appartenant au Nouveau Centre d'Hervé Morin et des centristes "orphelins de l'UDF".
Le groupe communiste, républicain et citoyen (CRC, 21 membres) réunit les élus du PCF et du Mouvement républicain et citoyen (MRC).
Le Rassemblement démocratique et social européen (RDSE, 17 membres) est issu de la vieille famille des républicains modérés. Il réunit des radicaux valoisiens de droite (6), des radicaux de gauche (7) et des élus du centre. 

Le mandat des sénateurs (343 sièges au total après le renouvellement de septembre) a été ramené par une réforme de 2003 à six ans, contre neuf auparavant. Ils sont à titre transitoire toujours renouvelés par tiers tous les trois ans, puis le seront par moitié tous les trois ans à compter de 2011.

Les sénateurs des Hauts-de-Seine
Robert Badinter (PS)
Denis Badré (UDF)
Isabelle Debré (UMP)
Jean-Pierre Fourcade (UMP)
Roger Karoutchi (UMP) (2004-2007); remplacé par Jacques Gautier en juin 2007
Roland Muzeau (PC) (2004 - 2007) ; remplacé par Brigitte Gonthier-Maurin en juin 2007
Charles Pasqua (apparenté UMP)
ont été élus pour 6 ans en 2004 (renouvellement en Septembre 2011)

Extraits Presse et Politique.net

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Assises démocrates

19 Septembre 2008, 15:11pm

Publié par MoDem-Colombes

Les colistiers de
http://www.rassemblement-democrate.fr
et
 http://www.democrates-en-action.fr/francais/accueil/
organisent des assises démocrates

ce samedi 20 septembre de 15h à 18h à Suresnes

Centre des Loisirs des Landes - Chemin de la Motte

Il s’agit pour l’ensemble de colistiers de se retrouver pour affiner notre projet et réfléchir à l’organisation future de notre mouvement, dans l’esprit de rassemblement et d’efficacité qui est le notre.  

Afin de clore cette réunion sur une petite touche conviviale, merci d’amener une bouteille ou des petits gâteaux à partager.

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Représentants de Colombes à la Conférence Nationale

18 Septembre 2008, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

L'une des trois élections internes du 27 septembre prochain est l'élection des représentants des Hauts-de-Seine (200) à la Conférence Nationale du Mouvement Démocrate.
Les membres de la Conférence Nationale sont les représentants directs des adhérents du Mouvement Démocrate.
La Conférence Nationale définit la politique générale du Mouvement par les programmes qu'elle approuve et par les motions qu'elle vote.
Elle examine le rapport du Conseil national sur l'activité du Mouvement et débat sur ses conclusions.
La Conférence nationale se réunit au moins une fois par an sur convocation du Président ou à la demande d’un tiers du Conseil national. L’ ordre du jour établi par le Président. Cet ordre du jour est élargi à des questions avalisées par au moins trente membres du Conseil national ou au moins 100 membres de la Conférence nationale.
Les adhérents bénéficient d’un droit de saisine de la Conférence nationale sur tout sujet intéressant la vie politique nationale et européenne. La Conférence nationale est saisie par au moins 1% des adhérents à jour de leurs cotisations.
La première Conférence Nationale se tiendra le Dimanche 26 Octobre 2008.
Les 17 représentants Colombiens sur  la liste (unique) Hauts-de-Seine Démocrate, conduite par Pascal Hureau sont : Pascal Bourgeois, Laurence Boyer, Patrick Calvez, Jean Casassus, Guénola De La Seiglière, Jérôme Desnoyers, Laurent Develay, Christian Don, Jean-Pascal Doualla, Yannick Farcouli, Marie-Luce Geiger, François Goett, Florence Lhomme, Brigitte Môme, Laurence Morel-Séguy, Sylvie Trupin et Nadira Zeghoudi.

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Infos citoyennes

18 Septembre 2008, 09:09am

Publié par MoDem-Colombes

1) Le Prochain Conseil Municipal aura lieu le 24 septembre à 19h30
Ordre du jour sur le blog de Laurent Trupin

Rappelons ici que le délai de convocation du Conseil municipal est fixé à cinq jours francs, au moins...
Espérons qu'un hommage y sera rendu à Marcelle Devaud.
Militants et symphatisants MoDem, soyez-y présents, dès le début à 19h30, ...

2) Réunions publiques de constitution des 10 Conseils de Quartier
 

Mercredi 1er octobre à 19h00 – gymnase de l’école élémentaire Henri Martin – Conseils de quartiers Petite Garenne, Charles de Gaulle, Henri Martin/Estienne d’Orves, Grèves/Plateau

Jeudi 2 octobre à 19h00 – Réfectoire de l’école élémentaire Victor Hugo – Conseils de quartiers Fossés-Jean/Bouviers, Agent Sarre, Vallées

Vendredi 3 octobre à 19h00 – Tapis Rouge – Conseils de quartier Stade, Europe, Centre Ville

Rappelons ici que :

- les noms des Conseils de Quartier sont provisoires, la dénomination définitive étant débattue et validée au sein des Conseils de Quartiers. 

- le champ de compétences sera enrichi 

- il sera demandé aux membres des conseils de quartier de mettre en place une charte commune qui régira leur fonctionnement.

- présidé par un habitant, avec à ses côtés un élu de la majorité comme vice-président, chaque conseil de quartier sera composé de 7 collèges répartis comme suit :

- 4 élus (dont 3 sont issus de la majorité et 1 de l’opposition) 
- 1 habitant par tranche de 1 000/hbts.

- entre 3 et 6 représentants des associations de quartier, 
- entre 2 et 4 artisans ou commerçants,
- 2 adolescents du Conseil communal des jeunes (CCJ),
- 1 représentant pour chaque association de parents d’élèves du quartier,
- 1 représentant des équipes d’enseignants des écoles du quartier.

3) Journées "Bougez Autrement" et "Journées du Patrimoine"
Participez-y les 20 et 21 septembre 2008 !

 

 

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Réunion MoDem Colombes

17 Septembre 2008, 23:01pm

Publié par MoDem-Colombes

La prochaine réunion de la Section MoDem de Colombes aura lieu ce soir Jeudi 18 septembre à 20h00.
Ordre du jour :
- préparation du Conseil Municipal du Mercredi 24 septembre
.
C'est au 18, rue Rouget de Lisle.

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Un conseil municipal refuse d'être fiché

17 Septembre 2008, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

Le conseil municipal de Barsac (Gironde - 2000 habitants), convoqué par son maire Philippe MEYNARD (MoDem), s'est réuni en séance extraordinaire le mardi 16 septembre 2008 à 19h avec pour seul point à l’ordre du jour un débat sur le fichier EDVIGE.

"En effet, sont notamment concernées par ce fichage l’ensemble des Français qui exercent un mandat électoral, en ont exercé un, ou ont même simplement été candidates à un mandat. Sont également en cause les responsables syndicaux, économiques, sociaux ou religieux. Les adresses personnelles, les numéros de téléphone, les adresses électroniques, les signes physiques particuliers, l’immatriculation des véhicules, les informations fiscales et patrimoniales, et toutes les données relatives à l’entourage, aux relations personnelles seront désormais fichés à l’intention du Gouvernement, de ses représentants ou des différents services de police. Plus outrageant encore : on annonce (communiqué de la CNIL du 2 juillet 2008) que les données concernant l’orientation sexuelle ou la santé pourront être enregistrées «de manière exceptionnelle ».

« Autant reconnaître l'erreur et abroger le décret ! Edvige, c'est clairement la mise en place d'un État policier. On pourra légalement savoir ce que fait chaque individu, et disposer d'informations sur la vie privée de personnes gênantes afin de mieux les faire taire ».  « On nous prend pour des imbéciles. La vraie préoccupation n'est pas d'assurer notre protection, mais servir les intérêts de ceux qui sont au pouvoir. En quoi l'orientation sexuelle ou l'état de santé d'une personne pourra-t-il être utile à la sécurité des Français ? »

Les élus de Barsac se sont prononcés par vote à l'unanimité lors de cette séance exceptionnelle du Conseil Municipal sur le refus d’être intégrés au fichier EDVIGE, et de voir ainsi leurs vies fichées et tracées. 

Voir le PV du Conseil Municipal.


François Bayrou a estimé mercredi dernier que "l'issue normale" concernant le décret créant le fichier de renseignement policier Edvige était son "retrait". "Je pense qu'au bout du compte l'issue normale c'est le retrait de ce décret pour en écrire éventuellement un autre", a-t-il déclaré sur LCI. Marielle de Sarnez, vice-présidente du MoDem, a elle aussi estimé sur RFI que "s'il n'y a plus le fichage des personnalités" le décret "de lui-même tombera" car il "sera vidé de son sens"....

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