Le Rouget de l'Isle

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Le blog d'actualités du MoDem, de Colombes et du MoDem à Colombes ! Michel Môme et Christian Don, conseillers municipaux d'opposition.
Courant mars, les travaux des Grèves 2 débuteront. A cet effet, les opérateurs qui réaliseront les travaux (Ville, Colombes Habitat Public, entreprises) tiendront une réunion de présentation.
L'occasion aussi de voir le spectacle « Travaux Exceptionnels : Chorégraphie pour une pelleteuse et un danseur » présenté par la Compagnie Beau Geste : c'es un ballet entre l’homme et la machine.
Demain samedi 11 février 2012, à 14 h30
Réfectoire de l'Ecole Charles Péguy (288, rue Salavador-Allende)
et de 15 h 00 à 18 h 00 : Exposition, renseignements sur les travaux de résidentialisation des Grèves 2
Dix-sept élèves de classe de 3e en option découverte professionnelle ont inventé et fait fabriquer 150 pochettes multifonctions qu’ils doivent vendre pour rentabiliser leur petite entreprise.
Valentin est le PDG, Anna la directrice générale, Hugo, le commercial, Kelly, la directrice administrative… Ils ont 14 ans mais chez Ecocase, chacun a sa fonction comme dans une véritable entreprise. Au collège Lakanal de Colombes, 17 élèves de 3e en option découverte professionnelle ont créé avec deux de leurs enseignants une mini-entreprise, officialisée lors de l’assemblée générale du 31 janvier dernier. Le projet est soutenu, comme une centaine d’autres en Ile-de-France, par l’association Entreprendre pour apprendre qui fournit notamment aux chefs d’entreprise en herbe des supports d’information et une documentation quasi professionnelle (fiche de paie…).
Les collégiens ont choisi de créer une pochette multifonction, dont Hugo a vanté les diverses utilisations possibles — trousse de toilette, pochette pour ranger ses jeux vidéo — fabriquée avec des matériaux de récupération, vieux vêtements, Airbag recyclés… « Nous avons créé un prototype et nous avons contacté des couturiers à qui nous avons présenté notre projet », expliqué Léo, le directeur technique de l’équipe. Le seul à avoir accepté le défi est Abdesslam Sahban, un couturier d’Asnières, qui reconnaît que la pochette est « assez compliquée » à fabriquer. La mini-entreprise lui a d’ores et déjà commandé 150 exemplaires.
« Pour atteindre notre seuil de rentabilité, nous devons vendre 119 pochettes à 29 € », précise Kelly, la directrice financière, après avoir annoncé que le capital de l’entreprise se montait à 50€. « Le capital a été financé grâce aux 125 avances remboursables (NDLR : ce qui équivaut à des actions) récoltées par les élèves », explique Cécile Rich, leur professeur. « Cette somme est à rembourser grâce à la vente des pochettes. » Les élèves ont choisi de reverser 25% de leurs bénéfices à l’association Cent familles de Jean-Luc Lahaye, qui aide les familles en difficulté.
« Faire entrer l’entreprise au collège, c’est assez nouveau pour les enseignants comme pour moi, commente Bruno Baciotti, entrepreneur, père d’élève et parrain de la mini-entreprise. Cela donne aux élèves une idée de ce qu’est une entreprise, et ils apprennent à mettre en pratique des matières qui le sont moins… Pour ma part, cela m’a manqué quand j’avais leur âge! » Cécile Rich, l’enseignante, reconnaît que le montage de ce projet permet de motiver les collégiens et de valoriser l’option découverte professionnelle : « Trois heures par semaine sur toute l’année scolaire, c’est long si on ne fait que des cours pour présenter des métiers, et un peu juste pour des sorties. La mini-entreprise est un bon moyen pour maintenir la dynamique. »
Désormais pour l’équipe d’Ecocase, le défi à relever est la vente des 150 pochettes avant le mois de mai, date du concours régional. Ecocase compte bien participer dans la catégorie collège. Le principal du collège Lakanal a promis que le projet de mini-entreprise serait reconduit l’année prochaine.
(C) Leparisien
http://minilakanal.blogvie.com/page/2/
http://lakanaldechaine.canalblog.com/archives/2011/12/08/22918044.html
Né le 5 février 1952, il aurait 60 ans aujourd'hui !
Daniel Balavoine a vécu quelques années à Colombes au début des années 80, rue Félix (avec son chien Raoul sur la photo). Il y avait un studio d'enregistrement où il a composé "Sauver l'amour" et "Dieu que c'est beau". Il s'y partageait d'avec son Sud-Ouest natal.
Il a milité en toute discrétion au sein du comité local de SOS racisme.
Pendant son adolescence, il avait étudié quelque temps au Lycée Albert Camus à Bois-Colombes.
L'Association Daniel Balavoine créée en Mars 1986 - ayant pour but de fournir des motopompes d'irrigation pour la culture du riz au Mali - a longtemps été domiciliée à Colombes, rue d'Estienne-d'Orves.
26 ans après sa disparition tragique alors qu'il développait un projet d'installation de pompes à eau dans le Sahel, la Ville de Colombes rend enfin hommage à cet artiste engagé qui s'est tant battu pour l'Afrique, la jeunesse et la solidarité.
Le dernier conseil municipal du 1er février 2012 a décidé de dénommer une nouvelle rue de Colombes "rue Daniel Balavoine" : il s'agit de la nouvelle rue en sens unique descendant (pente moyenne de 7% - 8m de dénivelé) entre la rue Jule Ferry et la rue Salavador Allende (desservant les immeubles n°241 et n°243), dans le cadre du désenclavement des Grèves. Caractéristiques de la rue nouvelle : Largeur de la voie : 3.50m de large, Largeur du trottoir : 1.80m en moyenne; Largeur de la bande plantée : 1.30m en moyenne ; 10 places de stationnement et alignement d’arbres plantés. Une autre artiste de la chanson, Cesaria Evora, aura aussi une rue à son nom dans le cadre du projet de réaménagement du quartier des Grèves.
Il existe déjà une vingtaine de "rue Daniel Balavoine", par exemple à Pontault-Combault (77), à Pau (64), à Loos (59) ou à Garges-lès-Gonesse (95, et près de 25 maisons de la culture, de la jeunesse, du sport ou de la culture.
Pourquoi pas organiser un concert hommage à l'occasion de l'inauguration de la rue ?
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/27/31/14/CM010212/greves.pdf
Donner un nom à deux nouvelles rues de Colombes !
Le conseil municipal de Colombes ( sauf le groupe des Verts et une partie du groupe Citoyen autrement) a donné son approbation. pour un itinéraire au nord de la ville — contre sa variante dans le centre — pour le futur tramway T1
Le T 1, censé arriver à la station les Courtilles à Asnières et Gennevilliers en fin d’année, doit se prolonger et traverser Colombes pour aboutir à l’ouest au niveau du boulevard du Général-de-Gaulle.
Il passsera doncpar l’avenue Stalingrad (desservant le quartier des Fossés-Jean et le secteur Kléber), le boulevard Valmy et le boulevard Pierre-de-Coubertin.
La proposition du 1er février 2012 : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/27/31/14/CM010212/T1-1-.pdf
La proposition du 7 juillet 2009 : http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/1/27/31/14/070709-trac--T1.pdf
Rappel historique :
Colombes : Prolongement du T1 des Courtilles - 4 Routes - au T2
Colombes : le T1 ne passerait plus au centre
Pour un référendum communal sur le tracé du tram
Quel tracé pour le tramway T1 à Colombes ?
Colombes: le MoDem a voté contre le tracé en centre-ville du futur tramway T1
Colombes: qu'est-ce qu'il se trame autour du tramway T1 ?
Société Générale Securities Services - branche spécialisée dans les services de compensation, de conservation et de gestion des liquidités - s'installe à Colombes. Après les implantations de PepsiCo, Jaguar-Land Rover France, Arkema et Areva ces dernières années, - et tout récemment Mobipel, la nouvelle filiale en téléphonie mobile du groupe Iliad (Free) - On peut se féliciter de cette nouvelle installation témoignant d'une forte attractivité du territoire colombien..
Société Générale Securities Services quitte ainsi des locaux situés à La Défense, pour rejoindre la Zac des Champs Philippe, sur 12 500 m2 (sur les 30 000 m2 de bureau HRO), à Perspective Défense, en face d'Areva : plus de 900 salariés vont s'y installer.
Les maires des villes concernées par la future intercommunalité poursuivent leur réflexion commune sur les grands enjeux du territoire.
Au cours des mois passés, quatre réunions publiques ont porté chacune sur un thème fort du projet : les questions économiques, le déplacement, le logement, le cadre de vie.
La dernière rencontre, ce soir 2 février à 20h00 dans la Salle des Mariages de l'Hôtel de Ville, abordera les questions relatives aux services rendus à la population, sport, culture, santé.
Un petit nombre de riverains (8 propriétaires organisés en ASL) de l'avenue Gabriel à Colombes, une voie privée ouverte à la circulation, ont décidé de fermer une partie de cette avenue.
Leur objectif est d'empêcher le passage des enfants scolarisés au Collège Lakanal, les portails de fermeture prévus restant ouverts le soir, les week-ends et pendant les vacances scolaires.
C'est selon eux la seule solution trouvée face à un certain nombre d'incivilités, de nuisances et actes de vandalisme causés par des collégiens, limitant par là tout débordement éventuel de jeunes à la rue Lakanal.
Ce projet de fermeture, validé par une autorisation de travaux de la Mairie de Colombes, a pour conséquence - parmi d'autres conséquences - de supprimer le passage des piétons, en particulier des centaines d'enfants, aux heures de fermeture des portails, entre la rue Henri Barbusse et la rue des Monts Clairs.
Mais surtout il ne tient pas du tout compte de l'avis de la majorité des autres riverains de la voie privée, lesquels s'opposent à ce projet de fermeture voyant, entre autres conséquences, leur liberté de circulation entravée puisqu'ils ne pourront plus sortir d'un côté de la rue et se retrouve dans une Impasse !
Les associations de parents d'élèves actives au Collège Lakanal (FCPE, PEEP, UPIC) se mobilisent également toutes contre ce projet et invitent à signer une pétition :
http://www.petitionduweb.com/Petition_non_a_la_fermeture_de_lavenue_gabriel_a_colombes-10703.html
Plus largement, cela pose le problème des dizaines de voies privées à Colombes : si elles venaient à être fermées, quid de la libre circulation des piétons et cyclistes, par ailleurs une priorité du Plan de déplacement, dans ces avenues privées qui font le charme de Colombes ?
Laurent Trupin doit interpeller le maire ce soir au Conseil Municipal.
http://laurent.trupin.over-blog.com/article-pour-vivre-heureux-98651214.html
Rama Yade ne sait pas encore si elle va formuler un pourvoi en cassation, mais elle affirme qu'elle sera électrice, et candidate aux législatives dans la 2e circonscription Colombes-Asnières.
Par ailleurs, Le Point révèle qu'elle s'est achetée avec son mari une maison à Garches.
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Rama Yade ne pourra pas voter en 2012 à Colombes, où elle est conseillère municipale d'opposition.
Le tribunal d'instance de la commune, saisi par l'ex-secrétaire d'Etat, a rejeté, lundi 23 janvier, sa demande de réinscription sur les listes électorales de la ville, desquelles elle avait été radiée mi-décembre.
Cette décision ne l'empêche toutefois pas de se présenter aux législatives de juin.
Elle dispose d'un délai de dix jours pour se pourvoir en cassation ou peut saisir une autre juridiction pour être inscrite dans une autre ville. Même dans ce cas de figure, elle pourra se présenter dans la circonscription de son choix, y compris à Colombes.
Le tribunal n'a pu établir que la domiciliation réelle de Rama Yade était bien à Colombes. La juge, qui s'était rendue le 17 janvier dans l'appartement déclaré par l'élue régionale et municipale, a constaté qu'il était "vide de tout meuble". "L'absence de tout aménagement et de tout élément personnel conduit à retenir que l'affectation de logement à l'usage de domicile n'est pas encore réalisée", a-t-elle estimé. Rama Yade avait expliqué que ce logement était vide "en raison de travaux liés à un dégât des eaux".
15 décembre : Rama Yade est radiée des listes électorales.
Affaire du logement de Rama Yade à Colombes : des plaintes en
série
10 janvier : Rama Yade présente un bail à l'appui d'une de demande de réinscription.
Rama Yade toujours pas réinscrite !
Le tribunal se rend au domicile de Rama Yade
23 janvier : Le tribunal d'instance rejette sa demande réinscription
Rama Yade doit faire aujourd'hui 24 janvier une conférence de presse à 11h00 au siège du Parti Radical : Elle compte revenir sur les circonstances de l'instance et sur les suites qu'elle entend donner à cette décision.