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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

MoDem et primaires

11 Octobre 2011, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes

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Le porte-parole du MoDem, Yann Wehrling, a estimé mardi que l'orientation à gauche des primaires PS-PRG et la surenchère des finalistes autour d'Arnaud Montebourg confortaient le parti de François Bayrou dans la nécessité de proposer aux Français "un projet réformiste".

"C'est une réussite du PS d'avoir réussi à mobiliser une partie importante de son électorat pour départager leurs candidats à la présidentielle", a reconnu M. Wehrling lors du point de presse hebdomadaire du MoDem.

Mais le système des primaires est loin d'être la panacée pour le porte-parole du MoDem car, a-t-il dit, "il demeure un instrument de la bi-polarisation du paysage politique".

De plus, a ajouté M. Wehrling, "ces primaires ne sollicitent qu'une partie de l'électorat socialiste, et pas forcément le plus modéré, comme on a pu le constater avec le résultat assez modeste de Manuel Valls et celui très important d'Arnaud Montebourg".

"Le message de cette primaire, c'est de dire aux candidats: si vous étiez tentés par des idées trop réformistes, n'y pensez plus et restez dans une option très à gauche", a-t-il résumé.

Conséquence, a-t-il dit, "les deux prétendants du second tour, François Hollande et Martine Aubry, font de la surenchère pour séduire l'électorat de Montebourg et l'on peut se demander si cette orientation est souhaitable pour le pays".

Pour lui, il ne s'agit d'ailleurs pas du premier signal allant dans ce sens d'une inclinaison à gauche.

"Le premier était l'adoption du projet socialiste, qui contenait un certain nombre de propositions qui ne tenaient absolument pas compte de la situation économique de notre pays, en termes de dépense publique", a-t-il fait valoir.

"Le deuxième concerne François Hollande qui, après avoir annoncé des mesures réalistes, a présenté des propositions de dépense publiques nouvelles, comme des emplois nouveaux dans l'Education, qui rompent totalement avec les équilibres budgétaires."

"Tout cela ne peut que nous conforter dans l'idée que la démarche du MoDem a toute sa raison d'être. Parce que de toute évidence, nous avons besoin d'un projet réformiste en France et le PS ne s'engage pas à en être le représentant", a-t-il conclu

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La reconstruction du courant central de la vie politique française

5 Octobre 2011, 23:03pm

Publié par MoDem-Colombes

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François Bayrou répond aux questions des journalistes des Échos, dans une interview parue ce mercredi 5 octobre.

"Je ne voterai pas le budget. Le voter reviendrait à approuver la politique du gouvernement. Depuis 2007, je la conteste", défend-t-il notamment.

Le forfait de Jean-Louis Borloo est-il une bonne nouvelle pour vous ?

C'est une clarification et toute clarification est utile. Il a fait le constat qu'il était impossible de prétendre incarner une alternative en restant dans la majorité et après avoir été le numéro deux du gouvernement durant quatre ans.

Voulez-vous lui tendre la main ou reprendre le travail de reconstruction du centre ?

La récupération n'est pas de bon aloi et je ne la pratique pas. Mais la reconstruction du courant central de la vie politique française est nécessaire. Elle est d'ailleurs inéluctable. Elle ne peut se faire que dans la clarté et sa condition est l'indépendance. C'est la différence que j'ai eue au travers des années récentes avec les responsables des mouvements qui avaient choisi la majorité : pour eux, comme ils le disent, le centre est à droite. Pour moi, le centre est au centre. Et c'est essentiel car face à la crise la plus grave que notre pays ait connue depuis les débuts de la Ve République, la majorité nouvelle dont le pays a besoin ne pourra être qu'une majorité centrale, pas la majorité d'un camp contre l'autre.

Quel regard portez-vous sur la primaire du Parti socialiste ?

Une primaire de parti s'impose quand ce parti n'a pas de leader indiscuté. Quand le PS aura choisi son candidat, alors s'engagera la vraie primaire, non pas la primaire d'un parti mais la primaire du pays. Ce sera, comme prévu par nos institutions, le premier tour de la présidentielle. Et tous les Français y participeront, choisiront entre plusieurs personnalités et plusieurs projets, sans payer 1 euro et sans faire de proclamation préalable d'adhésion à un camp.

Qu'est-ce qui vous sépare de François Hollande ?

Essentiellement qu'il est le représentant du PS, et ne s'est démarqué ni du programme ni des habitudes de son mouvement. Le PS est prisonnier de beaucoup de mauvaises habitudes et de sectarismes. Il est malsain pour la France que l'UMP et le PS exercent, tout à tour, le monopole du pouvoir. Songer que le seul Parti socialiste pourrait détenir à la fois l'Elysée, le gouvernement, l'Assemblée nationale, le Sénat, la quasi totalité des régions et la grande majorité des départements et des villes, invite à y réfléchir à deux fois. Un des enjeux de l'élection présidentielle c'est de ramener les deux partis dominants des deux dernières décennies à une cure de modestie. Et de faire sa place enfin à une logique non pas partisane mais d'intérêt national. Par ailleurs, les promesses officielles du PS ajoutées aux promesses personnelles des candidats sont tout simplement insoutenables. Les 300.000 emplois jeunes, l'allocation autonomie pour tous les jeunes, le retour de la retraite à 60 ans, les 70.000 emplois créés dans l'Education nationale, l'augmentation des budgets, et j'en passe : je vous le dis avec certitude, cela n'est pas tenable et ne se fera pas.

Croyez-vous que l'UMP puisse choisir un autre candidat que Nicolas Sarkozy ?

Visiblement, la question se pose à beaucoup d'entre eux. Mais la probabilité qu'il se représente reste la plus forte. Et compte tenu de son profil et de son statut de président sortant, je ne vois pas qui pourrait faire mieux que lui dans son camp.

Tirez-vous une leçon du forfait successif, et pour des raisons différentes, de Dominique Strauss-Kahn, Nicolas Hulot et Jean-Louis Borloo ?

Pour participer à une élection présidentielle, il faut trois choses : représenter un courant politique profond dans le pays, défendre un projet original et s'être construit une sorte de résolution intérieure à toute épreuve. Sinon, cela devient trop difficile.

Voterez-vous le budget 2012 ?

Non. Le voter reviendrait à approuver la politique du gouvernement. Depuis 2007, je la conteste. Il y a eu le projet de loi TEPA, le bouclier fiscal, des déductions fiscales excessives. Le gouvernement a laissé filer les déficits. J'étais et je reste en désaccord profond avec ce qui a été fait. Il faut, selon moi, engager une réforme en profondeur comprenant à la fois une baisse des dépenses budgétaires et sociales et une hausse des recettes. Je suis partisan de la suppression de 20 milliards d'euros de niches fiscales, d'une hausse de 2 points de la TVA, de deux tranches à 45 et 50 pour cent de l'impôt sur le revenu, d'une taxation accrue des successions importantes et d'une simplification de la fiscalité du patrimoine. Cette dernière devrait être intégrée à l'impôt sur le revenu, via l'inscription d'un revenu théorique de 0,5 pour cent sur le revenu des patrimoines au delà d'un seuil de 1 million d'euros, avec abattement sur la résidence principale. Cela permettrait de régler définitivement la question de l'ISF.

Comment jugez-vous l'action de Nicolas Sarkozy face à la crise ?

Ce qui est le plus frappant, c'est son manque de lisibilité. Il ne s'exprime pas sur la crise. Il aurait fallu un Roosevelt ou un Mendès-France qui vienne au moins chaque semaine expliquer aux Français ce qui se passe et vers où on peut aller. Mais lui ne dit rien. Même lorsqu'il rencontre des succès indiscutables comme sur la Libye, il ne s'adresse pas au pays. Il est dans l'erreur contemporaine qui laisse croire que seule l'image compte. Or la vertu démocratique consiste à considérer les citoyens comme des êtres responsables, à échanger avec eux, pas à faire des romans-photos.

Que feriez-vous au pouvoir ?

Je suis résolument contre tout défaut même partiel de la Grèce qui signifierait, pour tous les investisseurs, qu'on ne peut plus faire confiance, désormais, à un prêt libellé en euros. Ce serait la défiance et nous paierions cette défiance, nous Français en particulier, au prix fort. Je suis donc certain qu'il faut un mécanisme, incluant la BCE et les instances communautaires, qui soit une gestion partagée de tout ou partie de la dette de la zone euro. D'un côté, une assurance pour faire baisser les taux d'intérêt, de l'autre une discussion sans arrogance avec les pays de la zone pour aller vers les réformes à conduire. Il faut demander des efforts, mais de manière compréhensive et réaliste. Aider la Grèce à construire une administration fiscale, lui permettre cependant d'investir, obtenir un allongement par exemple à trente ans des délais de remboursement, cela c'est possible. Mais imposer à la Grèce des sacrifices constamment aggravés, par oukases, c'est amener le peuple grec au rejet et à la révolte. Pour l'instant cet équilibre n'est pas trouvé.

Quelle est votre priorité économique ?

Il faut ordonner toute la politique du pays autour de deux objectifs centraux : produire et instruire. En économie, le grand débat et le grand effort national, l'obsession nationale doit être de retrouver les chemins du produire. Et ce n'est pas l'Etat qui produira, ce sont les entreprises. On doit les aider à reconquérir les secteurs de production abandonnés. Donc leur simplifier la vie, les soutenir. On doit travailler sur la vie sociale, les relations entre syndicats et entreprises. Sur le droit du travail. Sur l'image de marque de la France. Cessons de bercer les citoyens avec les propositions lunaires qui prétendent qu'il faut avant d'agir réformer le capitalisme international, mettre sous tutelle les banques ou sortir de l'euro. Tout cela, ce ne sont que des leurres. Les problèmes ne viennent pas d'ailleurs, ils sont chez nous : c'est chez nous qu'il faut les identifier et les corriger. D'urgence.

 

LesEchos.fr

http://www.lesechos.fr/economie-politique/politique/interview/0201675927151-bayrou-la-vraie-primaire-c-est-le-premier-tour-de-2012-228629.php

 

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Bayrou au JT de France 2

3 Octobre 2011, 17:26pm

Publié par MoDem-Colombes

François Bayrou était l'invité du 20h de France 2 ce lundi 3 octobre.

 

Borloo : 

Borloo n'avait pas d'autre issue logique devant la contradiction dans laquelle il était placé en étant l'un des principaux responsables du gouvernement depuis des années, donc mal placé pour changer expliquer qu'il allait tout changer.

 

Le centre, c'est quoi ?

Sans vouloir faire de récupération, il a appelé au regroupement de ceux pour qui le mot centre a un sens.  Indépendant, non rallié à un bord plutôt qu'à l'autre.

Nous devrons tous être ensemble si l'on veut changer les choses.  Pas de récupération.

 

Bayrou candidat en 2012 ? : Oui c'est une certitude et qui en doute ? Je choisirai le moment où je donnerai le top départ.  Je n'aurais pas fait tout ce chemin et ces années pour éluder ce rendez-vous !

 

Un Point du Projet Présidentiel : On ne produit plus en France, il faut identifier les produits qui ne sont plus produits en France et travailler sur l'image de marque des produits français.  On sait faire des avions, des satellites, ... et on est incapable de faire des machines à laver en nombre suiffisant !

 

Et au 2ème tour ?

Je mènerai toute cette campagne pour être présent au second tour.  L'affrontement de la droite divisée contre la gauche divisée n'apportera rien de favorable.

Les points qui manquaient en 2007, nous les trouverons en 2012.

 


http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/10/03/bayrou-s-engage-sans-tarder-sur-le-terrain-abandonne-par-borloo_1581624_823448.html

 

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Bayrou : seul candidat du centre à la présidentielle

2 Octobre 2011, 19:19pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.mouvementdemocrate.fr/shadow/images/portrait-bayrou.jpg

 

Fin d'un an de suspense 200 jours avant le 1er tour !


Jean-Louis Borloo, Président du Parti Radical et leader de l'Alliance des Centres, vient d’annoncer au journal de 20 h de TF1 qu’il renonce à se présenter à l’élection présidentielle de 2012 : « Les conditions ne sont pas réunies pour fédérer les centres, et je ne veux pas ajouter de la confusion à la confusion ».

"A cette heure-ci, cette dynamique des centres à laquelle j'aspirais n'est pas suffisante pour porter une candidature, non pas de témoignage mais pour être présente au second tour de la présidentielle".  

 

"Il y aura un candidat du centre à l'élection présidentielle et un seul" avait déclaré François Bayrou - convaincu par avance que Jean-Louis Borloo renoncerait - à l'émission Dimanche Soir Politique de France Inter/Le Monde/I Télé/DailyMotion le 13 février dernier.

 "Nous voyons aujourd'hui les accidents, et les dérives, et les faiblesse du quinquennat". "Les Français ne se trompent pas quand il s'agit de désigner le candidat qui défend ces valeurs".  'Il ne s'agit pas d'une question d'étiquette, mais une question de valeur".

 

Dans le dernier sondage, François Bayrou voit sa cote grimper à 8-9 % (+2/+3).


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(Thé ou) Café pour Bayrou

2 Octobre 2011, 15:06pm

Publié par MoDem-Colombes

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François Bayrou était hier l'invité de Catherine Ceylac dans l'émission "Thé ou Café" sur France 2

 

Le moment le plus drôle :

http://tele.premiere.fr/Zapster/Francois-Bayrou-gaffeur-sur-les-bords

 

Revoir l'émission :

http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=3944

 

La vidéo bonus :

http://the-ou-cafe.france2.fr/index-fr.php?page=emission2&id_article=3947

 

 

"Quand la droite et la gauche ont échoué, que fait-on ?  Il faut bien trouver une autre voie et celle-ci s'imposera."  François Bayrou.

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Bayrou, invité de BFMTV-RMC

27 Septembre 2011, 11:24am

Publié par MoDem-Colombes

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François Bayrou, invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV/RMC mardi 27 septembre, a déploré "une image du pouvoir en France qui est détestable", à cause "des affaires qui montrent l'image d'une démocratie profondément malade et profondément atteinte par la corruption". "J'éleverai un mur de verre entre les intérêts privés et l'intérêt public", a-t-il déclaré.

 

François Bayrou est revenu sur l'élection du Président du Sénat à venir ; "le fait qu'il y aurait des manoeuvres pour ne pas respecter le résultat des urnes serait détestable", a-t-il regretté. "Quand il y a une majorité élue, il faut la respecter de manière claire et refuser tout hold-up", a-t-il affirmé.

"Au fond, la démocratie, c'est simple : on vote, on regarde le résultat, on respecte le résultat", a-t-il résumé. D'ailleurs, à ses yeux, "ce n'est pas la mort du petit cheval de voir une assemblée changer de majorité".

"On dit: ça ne s'est jamais produit dans l'histoire. C'est une rigolade !" s'est-il exclamé. "Le Sénat a été dans l'opposition au général de Gaulle pendant le temps où le général de Gaulle a été président de la République", a rappelé François Bayrou.

"Si j'étais sénateur, je serais heureux d'avoir un candidat du Centre à la présidence du Sénat", a-t-il dit, annonçant qu'il serait "heureux que Jean Artuis soit candidat". L'élu de Mayenne pourrait être un "candidat de clarté" et aussi "de compromis".

Interrogés sur les propositions de fonds occultes, François Bayrou a déclaré : "on m'en a proposé, je les ai refusés. J'ai saisi les autorités quand cela était nécessaire". "Si tout le monde avait refusé ces pratiques, la vie politique française ne serait pas polluée comme elle l'est", a-t-il estimé. "Le PS et l'UMP ont participé aux mêmes pratiques. Ce n'est pas mon cas. Il n'y a pas eu un euro douteux dans le parti que je préside", a-t-il insisté.

"Le monde enseignant et les familles ont l'impression de ne plus être soutenus par l'Education Nationale", a-t-il par ailleurs analysé.

"Il faut cesser dès cette année de supprimer des postes dans l'Education nationale !" s'est-il exclamé. Néanmoins, "la crise de l'Education ne se règlera pas que par des moyens supplémentaires", a-t-il poursuivi. "Il faut remettre à plat la manière de faire l'Education nationale, et valoriser les bonnes pratiques des enseignants", a expliqué François Bayrou.

 

 

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Et revoilà Bayrou !

20 Septembre 2011, 23:03pm

Publié par MoDem-Colombes

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Revoir l'émission C dans l'air d'hier.

Publication d’un livre-programme, tribunes médiatiques, discours fleuve lors de l’université du MoDem... Après une année en demi-teinte, François Bayrou passe à l’offensive en cette rentrée, ambitionnant de créer une "majorité centrale" pour 2012, face à l’UMP, au PS... et Jean-Louis Borloo.  

http://www.france5.fr/c-dans-l-air/politique-interieure/et-revoila-bayrou-33960

 

Invités : 

 - Jérôme Sainte-MarieDirecteur général adjoint et directeur du département Opinions de l'institut de sondages CSA.

 - Jean-Pierre RiouxAncien directeur de recherches au CNRS et inspecteur général honoraire de l’Education nationale.

 - Jean PeyrelevadeEconomiste.

 - Marc AbélèsAnthropologue, directeur d'études à l'Ecole des hautes études en sciences sociales et chargé de cours à l'université de Boston.

 


- "Bayrou place sa rentrée sous le signe du rassemblement", par Rodolphe Geisler, 18 septembre 2011.

- "Bayrou, en guerre et en verve", par Christophe Forcari, 19 septembre 2011.

- "Le second souffle de François Bayrou", par Caroline Derrien, 19 septembre 2011.

- "A Giens, Borloo dans le collimateur des centristes", par Pauline de Saint-Rémy,17 septembre 2011


 

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Bayrou propose un Agenda 2020

18 Septembre 2011, 23:32pm

Publié par MoDem-Colombes

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Découvrez l'excellent discours de François Bayrou, hier, devant 2000 militants, lors de la clôture de l'université de rentrée du MoDem.

François Bayrou a proposé une majorité centrale, indipensable pour gagner la guerre du redressement de la France.  Son programme sera  fondé sur trois piliers : "produire, instruire, construire une démocratie digne de ce nom" pour relever les défis de l'avenir, le tryptique d'un "agenda 2020" qui sera la colonne vertébrale de sa campagne.

cliquez-ici

 

François Bayrou entend donc travailler sur un « agenda 2020 », à l’image de l’Agenda 2010 du chancelier social-démocrate allemand Gerhard Schröder, qui avait présenté un ensemble de réformes structurelles nécessaires pour renouer avec la croissance. Ce document pourrait être prêt avant décembre.

François Bayrou a fourni également d'autres éléments de sa stratégie de campagne, à sept mois de l’élection présidentielle.

Le n° 3 de la présidentielle de 2007, qui n’a jamais caché sa volonté de se présenter aussi en 2012, a expliqué qu’il ne serait pas « le candidat du MoDem » mais d’un « courant politique », inscrivant sa démarche dans le cadre plus large d’une union autour du centre.

Il a le projet de publier quatre à cinq textes personnels déclinant les thèmes principaux de sa campagne, notamment sur l’écologie, l’éducation et la production en France.

Il entend également partir à la rencontre des Français, à raison de deux déplacements par semaine.

Quant à la date de sa déclaration de candidature, il a jugé « logique » le créneau de début décembre qu’il avait déjà adopté en 2002 (2 décembre) et 2007 (5 décembre), même s’il se réserve la possibilité d’anticiper sa déclaration en cas « d’accident ».

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Pour une majorité nouvelle : en direct de l'Université de Rentrée du MoDem

18 Septembre 2011, 01:38am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.cedric-augustin.eu/public/evenement/ur2011/slogan.jpg

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Aujourd’hui François Bayrou clôt la quatrième université de rentrée du MoDem par un discours devant 1500 militants, sous le signe d'un rassemblement au centre le plus large possible : pas d'ouverture-débauchage à la Sarkozy, pas de ralliement socialiste sur la base de leur projet.

"Il n'y aura de notre part aucun ralliement d'aucune sorte en aucune circonstance parce que nous pensons qu'il est très important pour la France que nous soyons présent au deuxième tour pour offrir une alternative"

Le discours de François Bayrou est à suivre en direct, sur  la chaîne parlementaire LCP de 11h30 à 13h00.

Université de rentrée du MoDem en direct !

"L’union nationale suppose que l’on embarque tout le monde."

"Quand on sait que des efforts devront être consentis, chacun des citoyens doit avoir la certitude que les décisions prises ne seront ni partiales ni partisanes, qu’elles ne serviront ni intérêts de groupe, de classe ou d’idéologie. Le pluralisme de la majorité garantira que les décisions seront nécessairement d’intérêt général."

2012 Etat d'Urgence : Morceaux choisis

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Université de rentrée du MoDem en direct !

16 Septembre 2011, 14:00pm

Publié par MoDem-Colombes

 

L’université du MoDem débute ce vendredi dans la presqu'ile de Giens. 

 

Le Programme complet

http://www.mouvementdemocrate.fr/telechargement/Programme_UR_A5_2011_-_web.pdf

  

Ouverture des travaux ce vendredi à 15 h

http://www.mouvementdemocrate.fr/evenements/ur2011-giens/direct.html

 

François Bayrou : C’est une université du rassemblement. Il y a des figures importantes du centre, comme Pierre Méhaignerie, Jean Arthuis, Bernard Bosson et Anne-Marie Idrac. Vont venir débattre avec nous Ahmed Nejib Chebbi, le créateur du grand parti démocrate progressiste tunisien, Guy Verhofstadt, le président du groupe démocrate au Parlement européen, Francesco Rutelli, une grande figure de la vie politique italienne, ou encore l’ancienne ministre des Affaires étrangères de Grèce, qui vient de lancer un parti centriste.

Enfin, viennent des responsables français, qui jusqu’alors n’avaient pas d’engagement de parti, et qui sont intéressés par notre démarche. Il y a Dominique Versini, l’ancien Défenseur des enfants, qui s'est battue pour sauver ce poste finalement supprimé par le gouvernement, ou encore Nassimah Dindar, la présidente du conseil général de la Réunion. Cette université montre le rassemblement, l’unité et la dynamique pour préparer la campagne de 2012.

 

http://www.20minutes.fr/presidentielle/788170-francois-bayrou-je-presente-changer-choses-maintenir

 

 

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