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Le Blog du MoDem de Colombes

Actions de la Région à Colombes depuis 2004

11 Janvier 2010, 17:30pm

Publié par MoDem-Colombes

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Voici les actions de la Région Ile-de-France dans notre commune de Colombes depuis 2004  :

Logement
- Création ou réhabilitation de 776 logements

Social et Santé
- Acquisition d'un échographe pour le centre de contraception et d'IVG du centre hospitalier  Louis-Mourier
- 2 ETS pour personnes âgées
   > av Joseph Antoine
   > rue Frankenthal (38 places)

Insertion professionnelle
- création de 7 emplois tremplins pour
   > France Rugbycité
   > Entr'actes
   > Le Temps de Vivre
   > Les Héliades 
   > le Centre Social et Culturel des Fossés Jean
   > la Régie de Quartier La Passerelle
   > l'Association Solidarité Emploi Chômage

Transports
- Semi-couverture de la A 86
- Réalisation de 3 pistes cyclables :
   > dans le secteur Wiener-Commerce
   > le long de la RD 909
   > dans le secteur Fosses Jean

(source huchon2010.fr)

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Meilleurs Voeux de Laurent Trupin

10 Janvier 2010, 23:59pm

Publié par MoDem-Colombes

http://fdata.over-blog.net/1/27/31/14/avatar-blog-1012440744-tmpphp8bjcJA.jpegEn ce début janvier, présenter des voeux n'est pas d'une orignalité folle... mais c'est très sincèrement que je souhaite aux lecteurs de ce blog beaucoup de bonheur et de succès.
Sur le plan politique, les élections régionales vont être l'occasion pour les partis de présenter leurs programmes pour l'Ile de France. le MoDem ne sera pas en reste, et donc on espére un bon résultat électoral !
En ce qui concerne notre passion commune, Colombes, je formule trois souhaits : ...

Lire la suite sur le blog de Laurent Trupin

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Rama m’a tuer

9 Janvier 2010, 23:59pm

Publié par MoDem-Colombes

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Les places sont chères sur les listes des régionales. Celle conduite en Ile-de-France par la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Valérie Pécresse, ne fait pas exception à la règle. C’est ainsi qu’une conseillère sortante de l’opposition (Nouveau Centre), Leïla Leghmara, 42 ans, s’est fait souffler la place par l’UMP Rama Yade. "Rama m’a tuer", observe l’élue, par ailleurs conseillère municipale de l’opposition à Colombes, où elle fut maire adjointe de 2001 à 2008.

Issues de la diversité, les deux femmes s’étaient rencontrées en juin au Café de Flore pour discuter de leur avenir électoral. Rama Yade l’avait assurée que, n’étant pas du même parti, il n’y aurait pas de problème et que, même, elle l’aiderait à se faire une place. Leïla Leghmara a eu tort de la croire.

Née à Asnières de parents algériens, cette professeure d’anglais de formation se bat pour favoriser la diversité au sein du Cercle de l’Atlantique, un organisme qui oeuvre auprès de Sciences po à l’intégration des jeunes de l’immigration. Elle en est la vice-présidente et comprend mal ce qui lui arrive : "Qu’est-ce que cela veut dire ? On prend une personne de la diversité et le compte y serait. C’est l’arbre qui cache la forêt." Son éviction des Hauts-de-Seine a laissé de marbre les chefs de file Nouveau Centre de la région. Mais, les listes électorales n’étant pas finalisées, elle pourrait être recasée dans... l’Essonne.

(c) LePoint 07/01/2010

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Le Rassemblement à Nanterre

8 Janvier 2010, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

Après Marseille en août et Dijon en novembre, la troisième initiative du "rassemblement social, écologique et démocrate", alliance inédite des communistes au MoDem, aura lieu ce samedi 9 janvier 2010 et c'est une visite de terrain dans le quartier des Pâquerettes au Petit Nanterre, suivie d'un débat avec la population sur le thème de l'éducation et de l'accompagnement scolaire, à l'invitation de l'association "ZY’VA", qui oeuvre dans ce quartier.

ZY'VA est une association de quartier, dont le coeur du projet est l'éducation depuis 1994.  ZY’VA a fêté ses 15 ans en 2009.

L’éducation pour tous est-elle une utopie ?
La ségrégation scolaire est-elle à jamais ancrée dans nos quartiers ?
Peut-on accepter que la République renonce à ses idéaux ?
Peut-on continuer à faire des réformes dans l’éducation nationale à chaque changement de Ministre ?

Pour répondre à ces questions :
Ben Amar Zacharia, maire adjoint PS à l'enseignement de la ville de Nanterre
Gabriel Cohn Bendit *
Carole Diamant, professeur de philosophie et auteur de " L' école terrain miné"
Robert Hue
Frederic Lefret, conseiller municipal UMP de Nanterre
Vincent Peillon
Marielle de Sarnez

Samedi 9 janvier, à 14h00, Salle Groupe Scolaire Lafontaine (6 place de Strasbourg, 92000 Nanterre - à Proximité de l'Hôpital de Nanterre).
14h15 - Mot d'accueil et Introduction du débat par le Président de l'Association qui animera le débat
14h30 - Prise de parole des invités
- 1 heure de questions/ réponses avec la salle
16h15 - Conclusion


http://www.zyva.fr/v3/accueil.php

A cette occasion, les principales propositions sur le sujet, nées des Rencontres de Dijon et des contributions des citoyens sur le site du Rassemblement, seront rendues publiques.
 
http://www.le-rassemblement.fr/actualites/a-la-une/nanterre-0901/

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Hommage à Philippe Séguin

7 Janvier 2010, 14:44pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.epinal.fr/images/images_actualites/images_toutes_actualites/seguin_article.jpg
Philippe Séguin est mort ce jeudi 7 janvier à 6h00, d'un arrêt cardiaque, à son domicile parisien, à l'âge de 66 ans.

La classe politique française a rendu un hommage unanime au président de la Cour des comptes.

François Bayrou a salué en Philippe Séguin "un républicain" qui "ne renonçait pas à combattre même s'il apparaissait seul contre tous" :

"Le premier mot qui vient à l'esprit, c'est républicain. Il était républicain par son parcours et par ses valeurs", a déclaré M. Bayrou à l'AFP après l'annonce de la mort dans la nuit du premier président de la Cour des Comptes.

"Deuxième trait de caractère, il ne renonçait pas à combattre même s'il apparaissait seul contre tous", a-t-il ajouté. "Il avait sûrement un certain orgueil, bienvenu dans cette affirmation du combat pour les idées".

Il avait "un caractère, que certains diront mauvais mais souvent le mauvais caractère est la traduction dans le langage de tous les jours du caractère tout court", a poursuivi le leader centriste.

"Tout le monde entendait bien derrière son grand rire, une trace de mélancolie. Cette fêlure sur fond de tristesse le rendait plus attachant aux yeux de ceux qui l'aimaient. Il va manquer profondément à la vie publique en France", a-t-il aussi déclaré.


D'après AFP

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Il y a un siècle, 1910 Colombes inondée

6 Janvier 2010, 10:00am

Publié par MoDem-Colombes

92-colombes-42.jpg

Un site dédié au centenaire de la grande crue de 1910 de la Seine vient d'ouvrir :
http://www.crue1910.fr/
100 ans après cet évènement qui marqua notre ville l
Regardez les 61 photos concernant Colombes dans l'onglet "Photographies".

Après les averses des 10-12 et 17-20 janvier 1910 , les eaux de la Seine ont commencé à déborder sur les parties basses de la presqu’île de Gennevilliers, en dehors des digues, notamment près de l’usine de la Ville de Paris, à Colombes.
Parmi les rues concernées : Boulevard d'Achères ; Avenue d'Argenteuil ; Rue Beauséjour ; Rue Bosman  ; Rue des Bouviers ; Les Champarons ; Rue de la Concorde ; Rue de l'Etendard ; Rue de la Fraternité ; Avenue de Gennevilliers ; Rue Gramme ; Rue Guerlain ; Chemin de Halage ; Boulevard du Havre ; Villa Kresser ; Rue Labouret ; Boulevard Marceau ; Avenue Menelotte ; Le Moulin Joli ; Boulevard National ; Rue Paul Bert ; Quatre Routes ; Villa Reine Henriette ; Rue de Seine ; Rue Saint Hilaire ; Boulevard de Valmy.  

La décrue a commencé le 28 janvier 1910.

A Colombes, du 20 janvier au 13 février à la Bibliothèque Prévert, et du 26 janvier au 6 février dans le hall de l'Hôtel de Ville :
Exposition « 1910, Colombes inondé », rassemblant photos d’époque, reproductions, documents audio et ouvrages originaux retraçant cette montée des eaux
par l'Amicale philatélique (APCE), le Cercle généalogique et les Amis du Musée :

Samedi 23 janvier à 15h, Bibliothèque Prévert, passage Prévert :
Conférence « L’inondation de Paris fait le tour du monde par la carte postale »
: après une présentation des clichés spectaculaires de la crue de 1910, Amandine Mathis et Mathieu Glaymann, d’Eau de Paris, évoqueront le risque d’inondation aujourd’hui. G. Massault dédicacera son livre "Colombes, l'inondation de 1910" à la fin de la conférence.

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Projet Humaniste : (3) Territoires

5 Janvier 2010, 14:30pm

Publié par MoDem-Colombes



Notre territoire est notre patrimoine. Il est
tout autant une richesse naturelle que culturelle et sociale. Il est en France d’une densité incomparable dans l’hexagone et Outre-mer. On a prédit un vaste désert français au centre de notre pays. Il n’en est rien. La population résidente croît à nouveau presque partout.

 

Pourtant de très nombreux problèmes demeurent et s’intensifient. La pression économique a accentué le déséquilibre entre les métropoles régionales où se concentrent les richesses et les périphéries qui s’appauvrissent. Cela concerne tout à la fois des communes rurales, des banlieues défavorisées, des unités urbaines de petite taille. Il faut désenclaver avec l’appui de l’Europe, les régions qui pâtissent d’un maillage inachevé des lignes ferroviaires à grande vitesse. Il faut affirmer qu’une politique agricole est également une politique d’aménagement du territoire : là où l’agriculture a sa place, avec des productions rémunératrices, on doit trouver de l’artisanat, des services en matière de santé, de sport…

 

La politique d’aménagement du territoire a vocation à compenser les déséquilibres. Elle doit permettre à chacun de vivre heureux là où sont ses racines ou là où il a décidé de s’installer.

 

 

3-1 Croire aux banlieues

 

On nous annonce régulièrement un grand plan pour les banlieues et en réalité, il ne se passe rien ou presque. Le renouveau des banlieues proviendra de l’essor économique de ces quartiers.

 

Et pour cela, c’est à l’Etat de montrer l’exemple, en réinvestissant massivement pour ceux qu’il a trop longtemps abandonnés. Pas seulement un Etat qui protège, mais également un Etat qui favorise l’emploi, qui éduque et qui soigne.

 

Pour les banlieues, nous proposons :

 

* le lancement d’une initiative : 100 000 TPE nouvelles dans les territoires délaissés, en particulier dans les banlieues, un tiers dans l’innovation des systèmes d’information, deux tiers dans les emplois de services.

 

Pour cela, multiplions les offres de micro-crédit ;

 

* l’organisation d’un concours aboutissant à 50 grands projets originaux et dérogatoires pour la banlieue permettant des dérogations au droit commun sur la construction, le zonage commercial, les infrastructures de transports ;

 

* la priorité à la réimplantation de tous les services publics dans les quartiers les plus désavantagés ;

 

* une répartition des fonctionnaires sur le territoire qui inverse les critères actuels. Les plus expérimentés doivent être incités à travailler là où on a le plus besoin d’eux, souvent en banlieue difficile.

 

 

3-2 Redonner un destin aux territoires ruraux

 

Les territoires ruraux participent pleinement à la diversité et à la richesse de notre pays. Comme nombre de territoires urbains, les habitants des territoires ruraux doivent faire face au retrait continu de l’intervention publique et au sentiment d’un monde qui leur échappe et sur lequel ils n’ont plus de prise. Par ailleurs, ils doivent plus que d’autres faire face aux défis du monde de demain notamment ceux liés aux défis énergétiques.

 

Le Mouvement Démocrate réaffirme la nécessité de garantir les conditions d’une présence humaine sur ces territoires. Il s’agit en particulier de : lutter contre la précarité énergétique des activités et des habitants sous toutes ses formes (logement, transports…) ;

 

redonner une place et une véritable vocation économique à ces espaces : agriculture, mais aussi énergie, services, circuits courts ;

 

faire jouer les complémentarités et les liens entre les territoires ruraux et les territoires urbains.

 

 

3-3 Défendre les services publics

 

Nous, démocrates, croyons aux services publics. Nous voulons conserver un secteur public puissant et moderne, c'est-à-dire doté des moyens nécessaires à son efficacité.

 

Dans un vaste pays comme la France, avec de nombreux territoires ruraux, la distribution du courrier ou les grandes infrastructures de transport en commun ne peuvent impunément être confiées à des opérateurs privés. C’est pourquoi la Poste, comme la SNCF, doivent conserver leur statut d’entreprise publique. L’égalité de traitement entre les urbains et les ruraux, entre les plus aisés et les plus démunis est un objectif absolu dans de nombreux domaines au premier rang desquels figurent l’accès aux systèmes de santé et d’éducation mais aussi le droit à la culture et au sport.

 

Or, la situation se dégrade dans tous ces secteurs par une marchandisation croissante que nous avons le devoir d’endiguer.

 

La tendance consiste aujourd'hui à concéder la gestion du service public à des entreprises privées. Cela ne devrait être fait qu’avec beaucoup de vigilance, dans des cas limités, lorsque que le cahier des charges est simple, rendant impossible la sélection de clientèle et que le contrôle du prestataire est aisé.

 

Nous sommes opposés à l’utilisation à tout va du vocable de « client » là où l’on disait avant : usager, passager, assuré social… On ne peut à la fois constater les incivilités croissantes à l’égard des services publics et promouvoir une conception consumériste et marchande de leur usage.

 

C’est pour cela que nous devons renforcer l’éducation civique à l’égard des services publics et promouvoir une charte des services publics.

 

Le coût des services publics doit être maîtrisé, reste pour cela à concevoir et à appliquer d’autres méthodes que celles des entreprises privées, à chercher un autre modèle de référence que celui du marché. Contrairement aux idées néolibérales, les dépenses des services publics ne nuisent pas par principe à l’activité économique. Elles peuvent même la favoriser. Si la France est un pays attractif pour les investissements étrangers – ce que confirment les données les plus récentes – cela tient pour partie à nos infrastructures de transports.

 

3-4 Remettre l’habitat au centre de l’urbanisme

 

Le logement est le premier poste de dépenses dans le budget des familles.

 

Dans plus d’un tiers des grandes villes, on constate une embolie du marché du logement caractérisée par un blocage des parcours résidentiels pour les locataires. Dans les lieux où l’on dispose de réserves foncières permettant de construire, l’offre est souvent inadaptée aux besoins car trop coûteuse pour la plupart des ménages. En Ile-de-France, la taille des logements est insuffisante.

 

Pour nous, démocrates, toutes les personnes doivent se voir proposer un logement décent, dans des conditions économiques acceptables. Le droit au loge-

ment pour tous doit être garanti.

 

Dans les régions où il y a urgence – c’est le cas en Ile-de-France – nous  proposons qu’à titre dérogatoire, soit créée une Haute Autorité Régionale chargée du logement et de l’hébergement, pour préempter des surfaces constructibles. Cela devra se faire en partenariat avec les collectivités locales concernées. Ailleurs, ce sont les établissements publics de coopération intercommunale qui doivent coordonner la politique de l’urbanisme,

de l’habitat, du foncier et des aides au logement, le permis de construire restant du ressort du maire ou du président de la communauté. Pour les familles propriétaires qui veulent agrandir leur logement par une simple extension ou une surélévation modérée, nous proposons que les formalités soient simplifiées et les délais raccourcis.

 

Nous affirmons que la volonté de rendre tous les Français propriétaires de leur logement est une grave erreur qui ne tient pas compte de la diversité des besoins et des situations financières de chaque famille. Cela peut conduire à l’abus de crédit comme on a pu le constater aux Etats-Unis ou en Espagne.

 

Au slogan « tous propriétaires », nous préférons substituer celui de « un logement adapté et aux normes en vigueur pour tous ». Afin de satisfaire la diversité des besoins, nous devons encourager le logement locatif privé et les petits bailleurs privés.

 

Chaque programme privé de constructions neuves doit intégrer un minimum de 20% de logements sociaux. Il convient aussi d’assurer la transférabilité des prêts d’un logement à l’autre afin d’accompagner les mobilités professionnelles.

 

La question du logement est aussi celle de l’urbanisme et de la qualité du bâti.

 

Nous devons donner une priorité à la manière dont nos lieux de vie sont conçus. Pour cela, nous voulons :

 

* la fin de l’étalement perpétuel de la ville qui coûte cher en transport, amplifie l’exclusion sociale et ravage nos paysages ; il est possible de construire de façon beaucoup plus dense tout en créant un cadre de vie agréable ;

 

* une politique de reconquête des sols face aux pollutions et à l’imperméabilisation ;

 

* la prise en compte des risques technologiques et naturels ainsi que des nuisances sonores ;

 

* le renforcement des dispositions de développement durable dans les principes d’urbanisme : urbanisme bio-climatique, développement de « quartiers durables », etc…

 

Dans le domaine du bâtiment, nos priorités sont également :

 

* mettre en œuvre des allégements de fiscalité vraiment incitatifs pour la construction aux normes de qualité environnementale ;

 

* d’inciter à la réhabilitation du patrimoine bâti par une modulation des taxes foncières en fonction des performances énergétiques des bâtiments.

 

Depuis quelques temps, une réalité nouvelle s’est faite jour : travailleurs pauvres et étudiants très modestes ne trouvent aucun logement disponible compatible avec leurs revenus et couchent la nuit dans leur voiture. Cela est intolérable et accroît encore la gravité de la crise.

 

Face à cela des solutions d’urgence innovantes doivent être trouvées. Nous proposons que les personnes âgées titulaires de logement HLM puissent, avec l’aide de leur bailleur, sous-louer en toute légalité une partie de celui-ci. Il faudrait également construire des logements de transition ou de type « mobile-home » disposant du confort nécessaire mais à durée de vie limitée à condition que ce soit des associations habilitées qui en assurent la gestion. Pour les plus précaires et les grands exclus, il est nécessaire de créer dans chaque grande agglomération un service public unique de coordination travaillant en partenariat avec les associations reconnues.

 

 

3-5 Changer nos modes de transport

 

Chacun doit avoir droit de se déplacer mais on ne peut plus ignorer que le transport dégrade l’environnement. Notre vision est donc celle d’un transport au service des hommes, dans une ère « post pétrole » où le coût de l’énergie est élevé.

 

Il en découle une vision des transports dans laquelle :

 

les modes de transports sont spécialisés. La marche à pied, le vélo et le vélo électrique remplacent la voiture pour les petits trajets. Des petits véhicules électriques ou tramway/métros servent aux déplacements urbains ou intercommunaux. Les cars, trains régionaux, trains à grande vitesse servent aux trajets plus longs tandis que l’avion est réservé aux très longs trajets.

 

La possession d’une voiture n’est pas indispensable, l’auto-partage et les taxis collectifs sont généralisés. Le transport est devenu un service public global, un service qui propose aux entreprises et aux particuliers un véritable service porte à porte de transport de personnes et des marchandises.

 

Ainsi, nous proposons de :

 

* promouvoir un bouquet d’actions à bénéfices immédiats pour tous : plan vélo ambitieux, obligation des plans de déplacement d’entreprises, enseignement de l’écoconduite, généralisation des téléconférences…

 

* rationaliser l’usage des infrastructures existantes (routes, gares…) tout en achevant de mailler le territoire en lignes TGV et frêt et assurer la desserte du monde rural, imposer des normes d’émission de plus en plus sévères sur les véhicules à moteurs thermiques ;

 

* soutenir, à l’horizon d’une dizaine d’années, le développement des technologies alternatives (électricité, biocarburants, de seconde génération) du ferroviaire, du fluvial et du cabotage ;

 

* enfin, pour préparer le long terme, faire émerger les offres multimodales innovantes d’auto-partage et des services de transports.

 

 

3-6 Reconnaître pleinement l’Outre-mer

 

Il n’y a pas un Outre-mer mais des Outre-mer. Chaque île, chaque territoire a sa spécificité, son identité et ses problèmes.

 

Pour nous, démocrates, quelques préoccupations communes doivent toutefois être prises en compte, au-delà des traitements spécifiques liés à chaque particularité.

 

Il faut :

 

* restaurer l’impartialité et la neutralité de l’Etat et pour cela appliquer pleinement la continuité territoriale, pour les résidents d'Outre-mer comme pour les ressortissants d'Outre-mer qui vivent en métropole ;

 

* garantir l’égalité des chances grâce à un soutien scolaire et éducatif adapté.

 

Cela implique que le développement économique Outre-mer fasse sa juste place aux personnes originaires de ces territoires. L’emploi salarié et la création d’entreprises doivent permettre à chacun d’avoir sa chance. Pour cela, nous devons privilégier la valorisation des productions locales et tout ce qui favorise le développement endogène et inciter les entrepreneurs locaux à développer leurs exportations ;

 

* faire du secteur du logement Outre-mer une réelle priorité : réorienter les défiscalisations vers le logement social ;

 

* créer des zones franches sectorielles dans les collectivités qui en ont besoin ;

 

* développer le tourisme, les économies agricoles d’Outre-mer, le secteur des énergies renouvelables.

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Tous nos voeux pour 2010 !

4 Janvier 2010, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

Tous nos voeux

pour la Nouvelle Année

 


Laurent Trupin, Conseiller Municipal
du Mouvement Démocrate

 &
toute la Section MoDem de Colombes

vous souhaitent une bonne
et heureuse Année 2010.

Le MoDem, un projet humaniste pour Colombes.

Vous pouvez  trouver nos prises de position 
sur nos deux blogs :
 

modem-colombes.fr et  laurenttrupin.org
et notamment  notre action pour le maintien
de l'équipe de Rugby Racing Métro 92 à Colombes.

Nous vous offrons  l'autocollant :
”POUR QUE LE RACING METRO 92
RESTE  A COLOMBES ?
IL FAUT QU'ON S'EN MÊLE!”

Signez la pétition et collez l'autocollant 
à l'arrière de votre voiture
ou sur votre boite aux lettres !
 

      Signez depuis le blog

  Laurenttrupin.org

     Conseiller Municipal  


Section MoDem de Colombes
36, rue Colbert - 92700 Colombes
modem.colombes@gmail.com
tél : 06 03 35 05 49

En avant Colombes !
Nous ne voulons pas que
le Racing Métro 92 quitte Colombes !

2010 : en avant Colombes !
Demandez l'autocollant pour que le Racing reste à Colombes ! 
Pour le maintien du Racing-Métro 92 à Colombes 
Stade Yves du Manoir : on s'en mêle !  
 
Pour que le Racing-Métro 92 reste à Colombes, il faut qu’on s’en mêle !  

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Demandez l'autocollant pour que le Racing reste à Colombes !

3 Janvier 2010, 12:00pm

Publié par MoDem-Colombes

             

« Pour que le Racing-Métro 92 reste à Colombes, il faut qu’on s’en mêle ! »

Cet autocollant, diffusé à 30 000 exemplaires, est en train d'être distribué dans les boîtes à lettres de Colombes.

Il sera également distribué cet-après-midi de 14h00 à 15h00, à l'entrée du Stade Yves-du Manoir, à l'occasion du match qui opposera nos joueurs colombiens à Bourgoin-Jallieu (vers une dixième victoire consécutive ? - 5000 places à 10 Eur dans la nouvelle tribune + gratuit pour les enfants))

Si vous souhaitez montrer votre attachement à notre équipe et votre volonté de ne pas la voir s'en aller, n'hésitez pas à nous demander cet autocollant :
Section MoDem Colombes, 36, rue Colbert
modem.colombes@gmail.com
06 03 35 05 49

Ce visuel a été conçu par Aré, dessinateur et scénariste BD (Foot Goal, la Tribu des Insu'portables, ... - Ed. Vent d'Ouest)

Continuer à diffuser la pétition et inviter à la faire signer autour de vous !

Pétition Internet 275 signatures

Pétition Papier : plus de 2300 signatures
 
Groupe Facebook : bientôt 300 membres !

Nous vous souhaitons une heureuse année 2010... avec le Racing-Métro 92 à Colombes !

Pour le maintien du Racing-Métro 92 à Colombes


Pour le maintien du Racing-Métro 92 à Colombes

Pour que le Racing-Métro 92 reste à Colombes, il faut qu’on s’en mêle !

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Vive les 83 220 Colombiens !

2 Janvier 2010, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/fr/0/0f/Logo_colombes.jpg
Les résultats du dernier recensement 2007, parus au Journal Officiel du Jeudi 31 décembre 2009, font état de 83 220 Colombiens (soit + 522 par rapport à 2006),
avec la répartition par canton suivante :

Colombes-Sud :           31 610  
Colombes-Nord-Ouest : 26 280  
Colombes-Nord-Est :     25 330   

le canton Sud progressant de près de 1250 habitants, les cantons Nord perdant plus de 700 habitants.

Colombes devient ainsi la 52ème Ville de France,
la 11ème Ville d'Ile-de-France (après Paris, Boulogne-Billancourt, Argenteuil, Montreuil, Saint-Denis, Nanterre, Créteil, Versailles, Courbevoie, Vitry-sur-Seine, et devant Aulnay-sous-Bois, Asnières-sur-Seine, Rueil-Malmaison, Saint-Maur-des-Fossés, Champigny-sur-Marne, Aubervilliers, Drancy, Levallois-Perret, Issy-les-Moulineaux, Noisy-le-Grand, Antony, et Neuilly-sur-Seine),
et la 4ème Ville des Hauts-de-Seine, passant cette année devant Asnières-sur-Seine :

Boulogne-Billancourt : 112 043
Nanterre :                  90 903
Courbevoie :               85 716
Colombes :                 83 220
Asnières-sur-Seine :    82 056
Rueil-Malmaison :        79 379
Levallois-Perret :         63 643

La population française s'élève à 65 031 022 habitants, l'Ile-de-France représentant 18% avec 11,74 millions d'habitants (devant la région Rhône-Alpes (6,21 millions) et la région Provence-Alpes Côte d'Azur (4,944 millions)) :
Paris (75)  2,215 millions d'habitants
Hauts-de-Seine (92)  1,561 million d'habitants
Val-de-Marne (94)  1,315 million d'habitants
Seine-Saint-Denis (93)  1,513 million d'habitant
Val d'Oise (95)  1,176 million d'habitant
Yvelines (78)  1,429 million d'habitant
Essonne (91)  1,212 million d'habitant
Seine-et-Marne (77)  1,310 million d'habitant.

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