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Le Blog du MoDem de Colombes

Bourse des collectionneurs : 13ème édition

10 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.multicollection.fr/IMG/jpg_flyers-13eme-bourse-collectionneurs.jpg

 

La 13ème Bourse des Collectionneurs aura lieu ce Dimanche 11 novembre 2012.

Cette bourse des collectionneurs est organisée comme chaque année par l’Amicale Philatélique de Colombes et Environs. Elle se déroulera de 9h à 18h à l’école LEON BOURGEOIS B de COLOMBES (3 rue LEON BOURGEOIS COLOMBES 92700).

L’entrée est gratuite et comme chaque année vous y trouverez : Cartes postales, monnaies, timbres, pin´s, télécartes, livres, vieux papiers, disques vinyles, auto miniatures, soldats, jouets, bandes dessinées, flacons de parfum, plaques de champagne…

 

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La deuxième chance

9 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://colombes.typepad.fr/.a/6a0105359fc45f970c017c3219a4cd970b-pi

 

La Deuxième Chance, une histoire sur l'exclusion et la tolérance vu et réalisé par les enfants

 Dans le cadre de son Agenda 21 scolaire, l'école Marcel Pagnol a travaillé tout au long de l'année scolaire 2011-2012 sur le thème de la solidarité. Le film présenté ci-dessous est le fruit de ce travail de longue haleine. Entièrement conçu (scénario, maquillage, costume, dialogues, acteurs...) par les élèves et leurs enseignants, en partenariat avec l'association l'Oeil du Baobab, ce court métrage, dont le scénario est issu d'un concours entre classes, traite de la question de la pauvreté et des gestes de solidarité qui peuvent être apportés aux personnes dans le besoin. 


La deuxième chance 

 

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Le Salon des Créateurs fête ses 10 ans à Colombes

8 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

SalondesCreateurs.jpg

Du 9 novembre au 11 novembre

Au Tapis Rouge

10 ans de création contemporaine
10 ans déjà que le Salon des Créateurs rythme la vie artistique de Colombes, imposant petit à petit sa présence et rendant son rendez-vous automnale incontournable.

6, 20, 40, 60, les artistes qui nous rejoignent sont tous les ans de plus en plus nombreux. Il serait facile de "remplir" un salon avec plus de cent participants mais la politique de l’association est tout autre :
- Respecter un équilibre entre toutes les disciplines des arts plastiques et métiers d’art.

- Permettre aux artistes sélectionnés de présenter pleinement leur univers et donc offrir à chacun un espace d’exposition garantissant l’expression de la globalité de leur travail.

Au fil des années, le Salon des Créateurs a permis de faire éclore des vocations, de confirmer des artistes naissants et de donner de la visibilité à des artistes confirmés.

Ils seront au rendez vous:
Aadli, Véronique - Colombes (92) mosaïque
Abesdris, Samy - Colombes (92) peinture / gravure
Arcq Cresp, Bernadette - Paris (75) sculpture
Balatre Serre, Caroline - Colombes (92) peinture
Barthélemy Sibi, Sarah - Paris (75) installation
Betoulaud, Valérie - Colombes (92) peinture
Boizot, François - Verneuil sur Seine (78) photographie
Boquet, Marie - Cannes (06) peinture
Chemin, Yves - YVON - Colombes (92) sculpture
Chevalier, Olivier - Mauguio (34) peinture
Chevalier, Madeleine - Colombes (92) peinture
Compain, Geneviève - GENY - Vaucresson (92) sculpture
Coutier, Marie - Suresnes (92) sculpture
Dubois, Dominique - La Garenne Colombes (92) photographie
Duvinage, Olivier - Amiens (80) peinture
Faizant, Christophe - Sartrouville (78) photographie
Fougere, Philippe - Varades (44) peinture
Frankie M - Nanterre (92) peinture
Fritz Jacquet, Junior - Paris (75) sculpture papier
Garcés, Ferri - Rosny sous Bois (93) création papier
Golicz Cottet, Anna - Colombes (92) installation
Hautin, Marie - Eaubonne (95) sculpture sur buste couturier
Jans, Bruno - Colombes (92) photographie
Jans, Nicole - Colombes (92) calligraphie
Jeanne, Karin - Paris (75) peinture
Lachèvre, Patrick - Bois Colombes (92) peinture
Lanos, Juliette - Colombes (92) sculpture
Le Gloannec, Lilie - Nanterre (92) mosaïque
Le Guénédal, Cohco - Villeneuve la Garenne (92) sculpture papier
Le Guern, Gerard - Colombes (92) peinture
Le Hire, Sophie Colombes (92) peinture, dessin
Le Hire, Laurence - Colombes (92) sculpture
Les filles de la rue - Colombes (92) photographie
Liebaut, Olivier - Colombes (92) collage
Lopez, Anne-Cécile - Paris (75) mosaïque
Lovisa-Fouché, Brigitte - Châtenay-Malabry (92) peinture, collage
Mercuri, Fabien - Villeroy (77) peinture
Olivry, Etienne - Colombes (92) peinture
Pascal, Joël Nice - (06) peinture
Petit Jean, Claude - La Garenne Colombes (92) sculpture
Picot, Harrys - Bouguenais (44) peinture
Robin, Marisú - Colombes (92) création carton 
Roy, Michel - Colombes (92) photographie
Saint Arroman, Martine - Vaucresson (92) sculpture, 
Seroux, Christophe et Nathalie - Colombes (92) photographie
Souque, Marc - Boujan sur Libron (34) peinture
Tai, Kazumi - Paris (75) verre
Topuz, Bénédicte - Paris (75) photographie
Vinson, Christine - Saint Cloud (92) sculpture
Wintzenrieth-Vernier, Catherine - Clichy (92) mosaïque
Wolfstirn, Emmanuel - RACH’MELL - Paris (75) installation

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Marielle de Sarnez

7 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.mouvementdemocrate.fr/actualites/images/photos-personnalites/Sarnez-smile-giens-recoupe.jpg

 

La semaine dernière, le magazine l'Hémicycle consacre un long portrait à Marielle de Sarnez, vice-présidente du Mouvement Démocrate, députée européenne et secrétaire générale du Parti démocrate européen.

"L’actuelle vice-présidente du MoDem n’a pas de modèle revendiqué en politique, mais des admirations tenaces pour des personnalités hors norme. Portrait d’une femme atypique. 

Rencontrer Marielle de Sarnez dans l’ancienne imprimerie du 133 bis rue de l’Université – le siège très tendance du MoDem – c’est suivre le parcours atypique d’une femme libre d’esprit. « Je me suis faite moi-même », lance-t-elle sans forfanterie, de sa voix nette et douce. Une façon élégante de ne pas se reconnaître de modèle, mentor ou gourou. Pas même son père, Olivier Lebel de Sarnez (et dans Lebel, on entend rebelle), résistant à 16 ans, gaulliste de toujours, président depuis 2004 de l’Association nationale des médaillés de la Résistance française. « Je n’ai pas fait d’études après le bac », dit-elle d’un ton dépourvu de regrets. Pas d’Ena, pas d’héritage familial d’une mairie ou d’une prébende. On pourrait ajouter que Marielle de Sarnez n’avait pas besoin de fréquenter les grands corps de l’État ou les circuits ordinaires de la République. Elle est une « enfant de la balle » et se revoit, à 10 ans, crier à tue-tête «OAS,SS!» du haut du balcon de ses parents. Très tôt l’indépendance de l’Algérie lui a paru s’imposer. Il faut dire qu’à la table dominicale prenaient souvent place le ministre de l’Intérieur Roger Frey (dont son père fut directeur de cabinet) et ces barons du gaullisme que furent Olivier Guichard, Michel Debré ou encore Alexandre Sanguinetti. Sur les murs de la salle à manger trônait un portrait du général de Gaulle. 

Le premier élu 

À l’évidence, son destin politique s’est écrit dans cette conscience éveillée très tôt, celle du service de l’État. Même si en 1968, elle reconnaît avoir milité... à gauche. « J’étais élève au lycée La Fontaine, après avoir quitté Sainte-Marie. Nous sommes allés envahir le lycée de garçons Jean-Baptiste Say. » 

Pas de modèle revendiqué pour Marielle de Sarnez, mais des admirations tenaces qui se traduisent par des engagements profonds, une mise à disposition intense de son énergie. Le premier « élu » de son cœur politique, c’est Giscard. Son bac en poche après les « événements » de mai, la jeune femme exerce mille petits métiers. Ladislas Poniatowski lui propose de rentrer comme secrétaire au mouvement des Jeunes républicains indépendants (JRI). Elle accepte. Le futur Président incarne la modernité qu’elle recherche. En 1974, elle fera sa campagne « avec enthousiasme », animée du sentiment enivrant que les temps basculent. « Avec lui, j’ai eu l’impression qu’on passait du noir et blanc de Peyrefitte à la télé en couleur. VGE apportait un nouveau style. Il se montrait avec sa fille sur ses affiches officielles. Il prônait une réelle modernité sociale, la lutte contre les inégalités. En opposition avec les gaullistes de l’UDR. » Si elle ne perd pas de vue qu’il était un homme de droite, « l’image de sa jeunesse brouillait cela ». Et de souligner ce qui, chez Giscard, la motiva : « Rassembler deux Français sur trois, légaliser l’interruption volontaire de grossesse, ramener le droit de vote à 18 ans, j’étais d’accord avec tout ça ! » 

« Génération sociale et libérale » 

L’actuelle vice-présidente du Mouvement démocrate se souvient d’avoir lutté pour imposer le mot « social » dans le slogan de la campagne giscardienne : « Génération sociale et libérale ». Et elle n’a pas oublié qu’un homme lui cracha à la figure, pendant qu’elle circulait en France dans la caravane aux couleurs de son champion d’alors. « VGE avait serré la main à un détenu encore non jugé. Il avait transgressé. » Avec le recul, Marielle de Sarnez regrette que Giscard ne soit pas allé plus loin sur deux dossiers : l’abolition de la peine de mort et la libéralisation des radios libres. « Il a fini son septennat à rebours de ses débuts, otage des gaullistes. » 

Le lien se distendra en 1988 entre l’ancien Président et Marielle de Sarnez, qui a pris fait et cause pour Raymond Barre, dont elle animera la campagne. « VGE m’en a voulu. Il n’acceptait pas qu’un autre que lui défende son camp »... La jeune femme organisera une gigantesque fête de la Liberté, pendant de la fête de l’Humanité, qui rassemblera plus de cent mille personnes. Mais elle mesure combien Barre reste avant tout un professeur d’université. « Il était très attachant et rassurant, avec ce slogan “Barre Confiance”. Il avait en revanche une véritable incapacité face au monde politique. » Elle se souvient que les Madelin, Léotard, Longuet et consorts préféraient l’échec de Barre et la victoire de Chirac. Elle en tire une leçon rude pour le centre : « On trahit toujours. On se diminue soi-même en cherchant la protection du tout-puissant. Je refuse ce comportement. Il signifie qu’on ne croit pas en nous, à notre singularité. » 

Hors norme 

Deux personnalités hors-norme vont encore la marquer avant la destinée commune, avec ses très hauts et ses très bas, avec François Bayrou. Ce sera d’abord Simone Veil, « atypique, fragile, très entière et courageuse, bousculant les codes ». Elle lui voue une grande reconnaissance d’avoir porté cette loi sur l’avortement, d’avoir « tenu bon », malgré la violence des débats. « On l’a traitée d’avorteuse. Un député est venu dans l’hémicycle avec un bocal rempli de fœtus »... 

L’autre figure est Jean Lecanuet, qu’elle éclaire d’un jour inattendu. Plus jeune agrégé de France (en philosophie) à 22 ans, « il était plein d’amertume. Il pensait qu’il avait raté une autre vie, vouée à l’écriture. » François Bayrou, c’est précisément dans l’orbite de Lecanuet qu’elle le rencontra. Le jeune leader du CDS (Centre des démocrates sociaux) était rédacteur en chef de la revue Démocratie moderne. « Pour moi, les hommes politiques importants sont ceux qui sont capables de penser par eux-mêmes, qui écrivent leurs discours, qui écrivent tout court, loin des communicants », explique Marielle de Sarnez. « Ils lisent des livres, aiment le débat d’idées, les discussions de fond. » Nul doute que cette lectrice assidue d’Arthur Miller, de Blaise Cendrars, de Malcolm Lowry et de Lawrence Durrell – « des écrivains qui sont de plain-pied dans la vie, dans l’humain » – trouve auprès de François Bayrou cette profondeur. « Personne n’a fait ce qu’il a fait, conclut-elle. Il refuse les préjugés politiques, ne s’arrête pas à l’étiquette sur le front de l’autre. » Et d’appeler de ses vœux, éternel credo, l’avènement d’un centre étendu « de la droite modérée à la social-démocratie pour gouverner la France ». Une configuration qu’elle voit poindre en Allemagne. Qu’elle continue d’espérer avec Bayrou."

 

http://www.mouvementdemocrate.fr/medias/121025-sarnez-lhemicycle.html

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Colombes pour l'abolition universelle de la peine de mort

6 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.pontivy-cite-internationale.com/francais/associations/portail_associatif_associations_association_pontivy/associations/association_amnesty_international_pontivy/images/logo_amnesty_international.jpg

 

Sollicitée par le groupe local d'Amnesty International, la mairie de Colombes a décidé d'inscrire le 30 novembre prochain la ville dans le mouvement mondial des « Villes pour la vie -Villes contre la peine de mort ». Le 30 novembre est en effet la date anniversaire de la première abolition officielle de la peine de mort dans le Grand Duché de Toscane en 1786. Actuellement il y a encore 58 États à convaincre de par le monde, même si le mouvement abolitionniste gagne peu à peu du terrain: dernièrement la Mongolie, la Lettonie et un des États américains, le Connecticut, ont pris cette voie. Nous pouvons donc espérer qu'un jour cette barbarie qu'est la peine de mort institutionnelle, ce meurtre de sang-froid, ce traitement « cruel, inhumain et dégradant » puisse enfin disparaître partout dans le monde, comme cela a été le cas en France en 1981 grâce à Robert Badinter. 


Du 27 novembre au 2 décembre, une exposition d'Amnesty sur le thème de l'abolition sera installée dans le hall de la mairie de Colombes. Nous espérons aussi avoir des contributions venant des jeunes des Centres Sociaux et Culturels ainsi que des élèves des Collèges et Lycées. Le groupe local d'Amnesty  tiendra des permanences pour faire signer des pétitions visant à sauver des personnes en danger d'exécution dans le monde. 

 

Le 30 novembre à 19h, lors d'un rassemblement à la mairie, des textes seront lus et des personnalités interviendront.

Nous vous invitons tous à participer à cet événement. 

 

Amapola LIMBALLE

Secrétaire du groupe local 144 d'Amnesty France

Pour nous contacter: amnesty.asnieres@gmail.com


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Dépasser le bipartisme forcené, une nécessité pour la sortie de crise

5 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

 

Le Modem entend être le trait d’union, une force indépendante ouverte à la diversité des opinions qui sollicite un débat apaisé et constructif entre elles, pour le seul intérêt qui compte, celui du pays et de ses habitants.

A lire sur le site du Mouvement Démocrate Sciences Po, association de loi 1901 qui vise à représenter la sensibilité politique démocrate et centriste, ainsi qu'à fédérer les sympathisants et adhérents du Mouvement Démocrate, au sein de Sciences Po.

http://www.modem-scpo.fr/post/2012/10/23/D%C3%A9passer-le-bipartisme-forcen%C3%A9%2C-une-n%C3%A9cessit%C3%A9-pour-la-sortie-de-crise

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Bayrou sur RTL à 18H30

4 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://media.rtl.fr/online/image/2012/0519/7748380266_francois-bayrou-invite-du-grand-jury.jpg

 

Dimanche 4 novembre, François Bayrou sera l'invité du Grand Jury RTLLCILe Figaro. Une émission à suivre en direct, à partir de 18h30.

http://www.rtl.fr/emission/le-grand-jury

Il interviendrai notamment sur la question de la compétitivité des entreprises, à la veille de la remise du rapport Gallois.


Le dimanche, à 18h30, le « Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro » est un rendez-vous incontournable de la politique. 


Cette année, il est dirigé par Jérôme Chapuis, Rédacteur en Chef adjoint du service Politique de RTL, qui interroge, avec Alexis Brezet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI), les « ténors » de la vie politique française.

« Le Grand Jury » est diffusé en simultané sur LCI et les temps forts publiés dans « Le Figaro » du lundi.

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Démission de Chantal Brault

3 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.mouvementdemocrate.fr/evenements/images_evenements/image013.jpg

 

Le Mouvement Démocrate des Hauts-de-Seine que nous avons reconstruit ensemble dans une cohésion et un engagement total, a été à la hauteur des enjeux qui furent notre grande motivation. A quelques exceptions près, les responsables nommés sur l’ensemble de notre département ont été des relais et des acteurs essentiels, dignes de la mission qui leur était confiée.


Scrutin après scrutin, nous avons souffert des échecs successifs qui ont parfois atteint nos forces malgré nos résultats toujours au-dessus de la moyenne nationale et avec la bonne volonté de tous et le travail de terrain inlassablement accompli pour faire triompher le projet de François Bayrou et notre idéal.

 

Aujourd’hui sans perspective et sans direction claire, sans message de confiance des instances nationales, je ne vois plus de raison de poursuivre ma tâche.

 

Aussi j’ai remis au Secrétaire national de notre mouvement, sous le contrôle du Délégué départemental, le mandat que les militants MoDem du 92 m’avaient très clairement confié, ils statueront donc des suites à donner de cette décision.   

 

Merci à vous tous pour votre militantisme, votre fidélité et la confiance que vous avez bien voulu me faire en toutes circonstances.

 

Je garde pour la majorité d’entre vous, une vraie amitié, sans oublier jamais la force que François Bayrou nous a transmise à tous.

 

Chantal BRAULT

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Eglise Copte : la suite

2 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.france-copte.net/media/rokgallery/7/714b5179-fb14-4c97-f1d3-cc2429aa7ecd/86cc1550-b061-47fe-8575-b8bac71c99ba.jpg

 

Question orale de Monsieur Laurent Trupin, Groupe Centre et Démocrates

"Suite à votre décision numéro 89 présentée au CM de septembre, je m’interroge sur les réponses que vous allez apporter aux demandes de l’Eglise copte de Colombes de création d’un parking et d’agrandissement. 

J’aimerais également savoir si le local du culte lui-même (adjacent à la crèche et à l’école) pourrait également faire l’objet d’une expropriation ou d’une préemption en cas de cession." 

Laurent Trupin, Conseiller municipal


Réponse de Monsieur le Maire à Monsieur Laurent Trupin 

"Monsieur Trupin, 

Avant de répondre précisément à votre question, je souhaiterais faire un point sur le contexte dans lequel nous nous trouvons. 

La Ville a préempté un bien adjacent aux crèches de la rue Jean-Jacques Rousseau. Il s’agit d’une préemption comme nous en faisons un certain nombre aux abords  des écoles ou des services publics à des fins de réserve foncières en vue d’agrandissements ultérieurs. Dans le cas qui nous occupe, nos services se sont penchés sur cette DIA et ont proposé de préempter en vue, d’une part, d’agrandir les jardins destinés aux enfants des crèches et, d’autre part, d’augmenter le nombre de place de parkings, car comme vous le savez le stationnement dans cette rue étroite est assez problématique

Suite à cette préemption, j’ai eu connaissance, d’une part, d’un courrier adressé au ministre de l’Intérieur par l’Église Copte de Colombes ainsi que d’un article sur le blog d’un opposant politique notoire particulièrement insultant à mon égard. Or il se fait que le signataire du courrier qui accuse la Ville « d’atteinte à la liberté de culte et du droit de la propriété » était l’auteur du blog. Tout ceci sans qu’aucun représentant de l’Église copte ne prenne contact avec mon cabinet ou les services de l’urbanisme.  

Je dois dire que j’ai été étonné, pour ne pas dire blessé, par ces accusations alors que la Ville entretient depuis 2008 les meilleures relations avec l’Église Copte de Colombes, et que nous avons toujours travaillé en étroite collaboration, que ce soit sur les problèmes de stationnement, ou au moment des attentats de 2011 où la ville a fait tout ce qui était en son pouvoir pour sécuriser les abords de l’église. 

Voilà pour le contexte qui est, vous en conviendrez assez nauséabond. La récupération politique d’un fait de cette  nature est indéniable et n’a rien fait pour nous aider à trouver une solution au problème qui était posé par cette  préemption.  

Néanmoins, au-delà de la querelle de basse politique qui m’était faite, j’ai souhaité comprendre. Et j’ai reçu, suite à leur demande, les représentants de l’Église Copte afin qu’ils m’exposent leur projet, projet dont je n’avais aucune connaissance avant cette levée de bouclier. 

J’en viens donc à la première partie de votre question. 

Lors de cette réunion, les représentants de l’Église Copte m’ont expliqué qu’ils avaient un projet de reconstruction de leur église. Ils ont d’ailleurs convenu que ce projet était sans doute assez lointain puisqu’ils ne sont pour l’instant que locataire du terrain qu’ils occupent et n’ont pas toute latitude pour le mener à bien. Néanmoins, ils m’ont expliqué que l’achat du terrain préempté leur aurait permis de construire des salles de catéchèse, des appartements pour les prêtres qui sont pour l’instant logés dans des préfabriqués, ainsi que quelques  places de parking. 

Comprenant leur besoin, je leur ai fait une proposition que j’ai confirmée par courrier. Celle de leur rétrocéder, après la préemption, un partie du terrain afin qu’ils puissent effectuer leur construction, la ville se réservant l’avant de la parcelle pour ses besoins propres. 

Il semble que les représentants de l’Église copte ne soient pas favorables à l’accord que nous leur proposons. C’est ce qu’ils m’ont signifié par courrier en date du 23 octobre. C’est leur droit, comme c’est le leur d’engager un recours en contentieux auprès du tribunal administratif. Je continuerai pour ma part à tenter de voir dans quelle mesure la ville peut essayer de trouver une solution à l’avantage de l’ensemble des parties. 

Quant à la deuxième partie de votre question, je vous affirme qu’il n’est pas question d’exproprier l’Église Copte. 

Nous n’en aurions d’ailleurs pas le droit puisque nous ne sommes pas propriétaires de la parcelle qu’ils occupent aujourd’hui.  

Quant à une préemption au cas hypothétique où le bien qu’ils louent actuellement serait mis en vente, cela n’est absolument pas notre intention. Car, pour le compte, il s’agirait d’une véritable entrave à la liberté du culte." 

Philippe Sarre, Maire de Colombes

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«L’enfant», une priorité à Colombes

1 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

MosaiqueNov12.jpg

 

Voici la tribune du Mosaïque de Novembre 2012 pour le groupe "Démocrates"

 

Au-delà des raisons (pertinentes) traditionnellement invoquées : « tout se joue avant six ans », l’école comme creuset de la société, l’intégration par l’éduction, l’apprentissage du respect de l’autre… Colombes se trouve dans une problématique spécifique :

L’agrandissement de la famille est souvent une raison de changer de logement et beaucoup de Colombiens ont découvert la ville parce qu’elle leur offrait la possibilité de vivre mieux (dans un espace plus grand et parfois aussi avec un jardin), en famille.

Il faut donc tout mettre en œuvre pour que anciens et nouveaux Colombiens, quels que soient leur adresse et leur statut social, aient accès à des prestations d’excellence, depuis la maternité jusqu’au lycée.

Certains éléments de cette « chaîne de la réussite » font aujourd’hui défaut et conduisent ceux qui le peuvent à s’orienter vers des solutions « parallèles » ou à quitter la ville. C’est dommage et injuste.

Il faut donc bien sûr favoriser le développement de tous les modes de garde : création de nouvelles places en crèche, formation et accompagnement des assistantes maternelles…. 

Sans oublier les associations, qui jouent un rôle décisif, parfois sans aucune aide.

Avec un guide pratique en ligne sur le site de la Ville qui date de 2009 et qui commence par cette phrase décisive : « Votre commune a en charge la mise en place de la politique municipale »,  et avec le forum des associations un an sur deux seulement, on peut douter qu’il s’agisse d’une vraie priorité de l’équipe en place. A l’inverse, la densification persistante de la ville surpeuple toutes les structures : on construit du logement pour des raisons économiques et on s’interroge ensuite sur les conséquences sur les crèches et les écoles.

Il manque aussi un lieu d’écoute pour les parents, les enfants et tous les acteurs de l’enfance, lieu de prévention des difficultés psychologiques.

Il faut être vigilant sur la qualité de l’enseignement primaire, ne pas rater l’amélioration des collèges et créer un deuxième lycée, indispensable pour désengorger les deux établissements existants (public et privé).

Dans un monde « globalisé », Colombes pourrait être une référence dans l’apprentissage des langues étrangères dès le plus jeune âge.

Enfin, la politique de l’enfance, c’est aussi garantir la sécurité devant les établissements, faciliter l’usage des transports « doux » sur les trajets domicile – école, garantir l’accès aux sports…

Tout un programme…

 

Laurent Trupin, Bruno Gouallou, Salem Belgourch

http://www.colombes.fr/fileadmin/Documents/mosaique%202012/mosaique_novembre_2012.pdf

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