Colombes, une ville pour les jeunes ?
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Vous avez entre 18 et 25 ans, pour une fois vous avez la parole !
à L’Adriatique 102 avenue de l'Agent Sarre 92700 Colombes
Mercredi 24 avril, de 19:00 à 20:30
Inscriptions : r.ryon@trupin2014.fr
Le blog d'actualités du MoDem, de Colombes et du MoDem à Colombes ! Michel Môme et Christian Don, conseillers municipaux d'opposition.
Vous avez entre 18 et 25 ans, pour une fois vous avez la parole !
à L’Adriatique 102 avenue de l'Agent Sarre 92700 Colombes
Mercredi 24 avril, de 19:00 à 20:30
Inscriptions : r.ryon@trupin2014.fr
L’association 9.2 Styles, composée de jeunes âgés de 16 à 35 ans résidant à Colombes, a été créée en 1998.
Elle a pour but de promouvoir et développer la culture hip-hop en initiant les jeunes notamment au niveau de la danse.
Depuis 2004, l'association organise un concours de danse national : le Hip-Hop Contest®.
En groupe pour les chorégraphies, un contre un (battle), par catégorie, sauf pour le break trois contre trois, les meilleurs danseurs sélectionnés s’affrontent devant un jury international de professionnels en offrant au public un spectacle surprenant.
C'est à l’Avant-Seine de Colombes, 88, rue Saint-Denis, aujourd'hui de 14h00 à 17h30.
Suite au basculement sur la nouvelle plateforme d'OverBlog, ce blog se retrouve brutalement en cours de reconfiguration, à la recherche d'un nouveau look !
Désolé pour les désagréments momentanés, le temps d'un nouvel apprentissage !
Toutes mes excuses à ceux qui ne retrouvent plus l'organisation habituelle : nombre de liens réduit à 10, plus de module "commentaires récents", plus d'albums, abonnés qui ne reçoivent plus la newsletter ...
Merci pour votre fidélité !
Christian DON
Webmaster
On se rappelle tous de leur journal satirique "Plus que ... ans et ... mois" massivement distribué pendant les années Gouéta.
Le gouvernement de gauche trop à droite les fait ressortir du bois !.
Les objectifs de leur association, créée en 2001, sont de promouvoir la citoyenneté et la solidarité, lutter contre l’exclusion sous toutes ses formes, être partie prenante des mouvements sociaux, politiques et culturels défendant les mêmes valeurs, proposer des fonctionnements plus démocratiques et favoriser la participation de tous à la vie locale.
Non seulement, les Motivé-e-s ont repris la distribution d'un journal (voir ci-dessous), mais ils ont maintenant un blog, avec des infos locales et nationales :
http://motivespourcolombes.blogspot.fr
Il y a eu une élue motivé-e-s au conseil municipal de 2001 à 2008 (Barbara Pueyo). Sa liste avait obtenu 6% au premier tour.
En 2008 une liste Gauche citoyenne (en grande partie Motivé-e-s) avait obtenu 4,4%.
Le n° d'Avril 2013
Participez à l’enregistrement de l’émission, et découvrez les anecdotes sur le quartier, la parole des habitants, mais aussi des chansons sur mesures, improvisées à partir des coups de gueule, des envies et des petits bonheurs du public!
Ce mardi 16 Avril à la MJC, de 18h00 à 22h00, est organisée une rencontre "L'Economie Sociale Solidaire, (comment) ça marche !" avec de nombreuses associations de Colombes (R-Urban, AMAP, ASEC, La Passerelle, MDB, ...), un troc de livres (apportez un livre pour l'échanger) et deux débats "L'Economie Sociale et Solidaire à Colombes, qu'est-ce que c'est?" et "Economie Sociale et Solidaire : mythes er réalités".
Buffet préparé par la Passerelle : 4 ou 5 eur.
Dans une tribune publiée par Le Monde, François Bayrou appelle aujourd'hui François Hollande à ne pas "déposer les armes de la pensée", sous peine de voir son quinquennat virer à "l'échec".
"Le conseil national du PS, ce samedi 13 avril, a marqué un tournant qui devrait être pour tous les réformistes, particulièrement pour le président de la République s'il demeure attaché à ce cap, une alerte rouge.
Sous la pression de son aile gauche, elle-même menacée par le courant Mélenchon, les dirigeants du PS, sans que nul ou presque s'en aperçoive, ont accepté samedi de se ranger à l'argument principal de ceux qui, de l'intérieur, combattent leur politique.
Résumons la question : on avait compris depuis longtemps qu'il y avait deux lignes au PS, la ligne du PS de gouvernement, et une ligne dite "de gauche" qui entretient la chimère, dite à tort "keynésienne", du redressement par un surcroît de dépense publique.
Si la situation n'était pas si grave, cela prêterait à sourire : si la dépense publique, les déficits et la dette étaient la clé de la bonne santé pour un pays, la France, qui n'a pas connu de budget équilibré depuis bientôt quarante ans, qui a atteint depuis vingt ans et à plusieurs reprises des déficits record (jusqu'à 7 % du PIB, c'est-à-dire 15 % de dépenses non financées !), dont la dette publique galope vers les 100 % du PIB, devrait être florissante et enviée. Et ce devrait aussi être le cas du Japon, de l'Italie, de la Grèce, pour ne citer que les fleurons de cette politique du dérapage érigé en vertu.
François Hollande, dans sa campagne, malgré nombre de promesses intenables, et depuis son élection dans ses déclarations publiques, défendait une autre ligne : celle du redressement par le soutien à l'activité et par l'assainissement, même progressif, des finances publiques. On disait même qu'il était le premier leader socialiste français à avoir fait ce choix courageux. Et ce courage affiché lui a valu de nombreux suffrages de bonne foi.
Certes, la semaine dernière, la contestation ouverte d'Arnaud Montebourg, Cécile Duflot et Benoît Hamon avait défié cette ligne. Mais on disait que cette rébellion interne avait été fermement recadrée : "Aucun ministre ne peut contester la politique du gouvernement."
On croyait... On se trompait, puisque ce qui s'est passé samedi, c'est que le Parti socialiste tout entier a paru adopter la pensée Montebourg.
Oh, bien sûr, il y a un artifice, une grosse ficelle. Puisqu'il ne fallait pas paraître contester, sur le plan intérieur, la politique de "sérieux budgétaire", on a choisi de la mettre en cause par l'Europe : en présentant les choses comme si ce "sérieux" nous était imposé par l'Union, comme si nous en étions les victimes, comme si nous devions nous en libérer, et en focalisant, avec une élégance moyenne, la contestation sur la personne d'Angela Merkel, présentée comme la mère de toutes les austérités !
Dans les temps de crise, ce type de facilité est la plus dangereuse des postures ! Ce n'est pas ainsi qu'on entraîne un grand pays placé devant d'exceptionnelles difficultés.
Car contrairement à ce que voudrait nous faire croire le PS, ce n'est pas l'Europe, encore moins l'Allemagne, qui nous oblige à être sérieux et réformateurs ! C'est la situation même de la France. Nous ne sommes pas près d'atteindre les 3 % de déficit budgétaire. Nous en sommes à 5 % ! Nous ne sommes pas en voie de nous rétablir. Notre commerce extérieur vient encore de s'effondrer au mois de février. Nous ne sommes pas près d'avoir retrouvé un Etat et des collectivités publiques efficaces : nous dépensons 20 % de plus que nos voisins pour des services que les Français ressentent comme insuffisants. Nous ne sommes pas sociaux. Nous avons 5 millions de chômeurs, des banlieues en péril, 9 millions de pauvres et un outre-mer, par exemple, à l'abandon.
Accepter l'idée qu'il serait mieux que "l'Europe" et Angela Merkel nous fassent la bonne grâce de nous permettre d'ouvrir à nouveau en grand les vannes, c'est prendre un immense risque. Pas pour l'Europe, pour nous-mêmes ! Car ce ne sont pas les Allemands qui paieront la facture ! C'est nous qui la paierons, en explosion des taux d'intérêt, en prélèvements supplémentaires, en alourdissement des conditions d'exercice de nos producteurs, en chômage supplémentaire, en crise sociale, au bout du compte en échec généralisé.
C'est une pensée fausse de désigner Angela Merkel comme seule responsable des efforts que nous devons faire et de laisser entendre que nous pourrions les éviter. Si nous, France, étions forts et équilibrés, si nous avions un projet européen, nous pourrions ouvrir un dialogue avec le gouvernement allemand et les autres partenaires sur une vraie stratégie de croissance européenne, qui ne devrait pas passer principalement par de nouveaux déficits. Nous faisons le contraire.
François Hollande devrait réfléchir à ceci : si pour "s'arranger" avec ses contestataires, pour avoir la paix au PS, pour ruser et pour biaiser, il acceptait de déposer les armes de la pensée, de signer, même pour faire semblant, avec ceux qui refusent sa politique un armistice idéologique, en cessant de défendre ses fondamentaux, c'est son quinquennat qu'il sacrifierait et l'échec, je le crains, deviendrait certain."
On en parle depuis de nombreuses années ! La fibre optique va se matérialiser peu à peu pour les Colombiens, et les logements, les entreprises, les écoles et les services publics devraient être équipés d'ici à la mi-2015. Mais ce sera un véritable parcours du combattant pour les candidats éligibles ; et les 10 000 pavillons colombiens devront malheureusement attendre ...
Trois réunions publiques sont fixées à Colombes :
- Mardi 16 avril, 19h00 au Tapis Rouge
- Vendredi 19 avril 19h00 à l'Ecole VIctor Hugo
- Vendredi 26 avril à 19h00 à l'Ecole Henri Martin
Si l'ensemble du territoire de Colombes disposera d’un réseau de fibre optique à la mi-2015. il faudra aussi réaliser l'acheminement de la fibre jusqu'aux abonnés, ou plus précisément jusqu'aux immeubles de plus de 12 logements !
Les copropriétaires et bailleurs sociaux seront invités à choisir leur opérateur d’immeuble (Orange, SFR ou THD Seine) : l’opérateur d’immeuble est celui qui installe la partie du réseau entre le branchement à la couverture horizontale et l’immeuble. Un boîtier dit point de mutualisation est installé par l’opérateur d’immeuble et conduit verticalement jusqu’à chaque logement.
Ils devront signer un contrat - gratuit - de 25 ans avec cet opérateur d’immeuble. La maintenance de l'installation est la charge intégrale de l'opérateur d'immeuble.
L’opérateur d’immeuble doit réaliser les travaux dans les 6 mois.
Dernière étape, une fois la copropriété raccordée, chaque locataire ou propriétaire pourra souscrire librement les offres fibre des opérateurs commerciaux dits opérateurs de point de mutualisation : Orange, SFR, THD Seine, Bouygues, Free…
Les petites copropriétés de moins de 12 logements et les pavillons, nombreux à Colombes, ne seront pas prioritaires dans le raccordement au réseau, les opérateurs privilégiant les immeubles avec de nombreux logements - pour des raisons économiques. De plus, un point de mutualisation sur la voie publique nécessite des autorisations administratives de la Mairie.
THD Seine se déclarerait être prêt à déployer la fibre pour des pavillons et des copropriétés qui se seraient « regroupés ». Quelle serait alors le cadre juridique de ce regroupement ? Des initiatives de ce type ont-elles été réalisées ailleurs sans créer de confusion des responsabilités et d’imbroglio juridique ? Il est urgent de poser la question lors de ces réunions publiques !
Pour en savoir plus : Le site du délégataire du Conseil Général 92 - Le guide de la fibre optique
« (...) Qu'il se persuade d'abord qu'on ne répond pas à un drame comme à un incident, qu'on ne répond pas à de
l'extraordinaire comme à de l'ordinaire. (...) Il faut un texte qui ne soit pas de circonstance mais de vision pour que soit atteint l'objectif : un rétablissement de la confiance des citoyens à
l'égard de leur démocratie et de leurs élus et gouvernants. Il faut donc des décisions assez vigoureuses pour que tous les citoyens comprennent qu'on change d'époque, de pratique et qu'on tourne réellement la
page. Ces orientations très simples ne demandent que du courage. Pour l'instant, elles n'ont pas été envisagées. Elles sont pourtant nécessaires. (...) La fonction du Président de la République
n'est pas faite pour refuser le risque politique mais au contraire pour mettre le risque politique d'un seul au service du bien commun de la nation. (...) »
François BAYROU
Marianne du 13 au 19 avril 2013.
Signez la pétition : www.moralisation.fr
François Bayrou : "La crise n'est pas une crise" par LeNouvelObservateur
François Bayrou participe ce vendredi aux Journées de
Nantes sur le thème "Quelles raisons d'espérer ?", organisées les 12 et 13 avril par "le Nouvel
Observateur".
On lui a demandé une raison d'espérer (voir vidéo ci-dessous).
Pour le Président du MoDem, "la principale raison d'espérer est que la crise n'est pas une crise mais la nécessité d'inventer un nouveau monde, une nouvelle forme de projet national, et la France est mieux armée que les autres pour le faire. D'abord parce que l'on a déjà inventé de nouveaux mondes dans l'histoire."
Il ajoute : "C'est un pays qui a beaucoup d'inventivité... Il faut qu'on le soit aussi en matière d'organisation de la société et de réinvention de la politique qui passe par une éthique élémentaire mais aussi par la prise de conscience qu'une partie très importante de la population n'est pas représentée."