Le bipartisme peut être le marchepied de la dictature!
CONSTAT : Exemple du Brésil
- 1964: Coup d'état militaire
- 1965: Dissolution de tous les partis politiques. Un bipartisme obligatoire est instauré avec un parti officiel et un parti d'opposition.
- 1975 à 1985: le futur Président Lula ainsi que la future et l'actuelle Présidente Dilma Rousseff font le coup de feu pour desserrer cet étau politique.
RESULTAT :
Quand une société s'enferme dans ce système bipartisan, elle n'a plus d'autre solution que la violence !
Nous n'en avons pas besoin !
SOLUTION :
12 propositions pour la moralisation de la vie publique
12 propositions qui se traduiront dès le 10 juin par un référendum consacré à la moralisation de la vie publique.
"Cette moralisation de la vie publique qui traîne depuis trente ans, dont tout
le monde parle depuis trente ans sans que jamais rien ne change, cette moralisation de la vie publique, je considère qu'il est vital, vital pour la France, de la conduire maintenant à son terme.
Je considère qu'il s'agit d'un objectif de tout premier plan du mandat que les Français me confieront que de rendre honnête et insoupçonnable ce qui n'aurait jamais dû cesser d'être honnête et
jamais prêter le flan aux soupçons.
Je ferai une vie politique honnête et insoupçonnable parce que je serai un président libre, lié à aucun réseau, ne
trimbalant aucune affaire lointaine et que j'aurai pour le faire le soutien des Français. Ayant réfléchi depuis des années à ce sujet, ayant rompu des lances, ayant combattu toutes les
affaires dont j'ai eu connaissance, n'ayant jamais cédé à aucune intimidation, j'ai pris mes résolutions.
J'en suis arrivé à une certitude : le monde politique tel qu'il est dominé par les deux partis du monopole du pouvoir
est incapable de se réformer lui-même. Or la réforme est vitale pour retrouver l'estime du peuple envers ses élus et ses dirigeants et pour que cessent les manipulations et les manoeuvres. Elle
est nécessaire en particulier et surtout pour redresser la France et la sortir de la crise, car la condition du redressement, c'est la confiance retrouvée. Pour rétablir les principes de la
République, les simples principes de l'éducation civique, il faut donc en passer par la seule autorité qui vaille, qui est l'autorité directe des Français.
Elu Président de la République le 6 mai, j'organiserai donc le 10 juin, jour du premier tour de l'élection législative
et en même temps que celle-ci, un référendum de moralisation de la vie publique en France. Je soumettrai aux Français directement avec le gouvernement que j'aurai nommé une loi-cadre,
conformément à l'article 11 de la Constitution de la République. Ainsi, en quatre semaines et un dimanche, nous règlerons et trancherons ces questions qui demeurent insolubles depuis des
lustres et des décennies faute de volonté."