Pourquoi j'y crois
«En 2007, ce qui l'a emporté au bout du compte, c'est le remords du 21 avril 2002. Peut-être aussi n'étais-je pas tout à fait prêt, et les Français non plus. […] Aujourd'hui les Français le sont, et je le suis aussi.»
À trois mois du premier tour, porté par des sondages de plus en plus favorables (de 12 à 15%), François Bayrou détaille, en exclusivité pour Le Figaro Magazine, les contours de son projet présidentiel.
François Bayrou : "Pourquoi j'y crois"
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