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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

UMP : Bayrou préfère Fillon

17 Novembre 2012, 20:02pm

Publié par MoDem-Colombes

http://www.francesoir.fr/sites/default/files/dynimagecache/91/2362/1677/0-91-2362-1677-494-351/sipa_00598048_000006.jpg

 

Dans le combat qui oppose François Fillon à Jean-François Copé pour la présidence de l'UMP, François Bayrou a délivré un soutien subliminal à l'ancien Premier ministre. «Je ne veux pas me mêler de l'élection au sein de l'UMP parce que ce n'est pas ma responsabilité.  Mais je considère en effet qu'il y a deux lignes politiques, et la ligne politique que François Fillon porte est responsable», a déclaré le président du Modem, lundi dernier, sur BFMTV/RMC.


«Il n'avalise pas l'attitude systématiquement clivante de division du pays et je trouve qu'il a raison d'être dans cette attitude-là», a-t-il ajouté. Interrogé, par exemple, sur l'invitation lancée par l'autre candidat à la présidence de l'UMP, Jean-François Copé, à manifester ce samedi contre le mariage homosexuel, François Bayrou a estimé que «les gens qui disent cela ne prennent pas la mesure de la situation du pays».

«Il y a un temps où les choses deviennent si graves que l'opposition doit se sentir coresponsable de l'avenir du pays et selon moi, on est dans des temps de cet ordre», a poursuivi le leader du MoDem, qui avait choisi François Hollande au second tour de la présidentielle.

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Le MoDem et la majorité

16 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

Alors que François Bayrou ne tarit pas d'éloges sur le gouvernement, une délégation d'élus du MoDem a été reçue mercredi à l'Élysée. Avec, en ligne de mire, les échéances électorales de 2014.

 

François Bayrou serait-il devenu le meilleur soutien de François Hollande ? Depuis que le gouvernement a opéré sa "révolution copernicienne" sur le dossier de la compétitivité, en choisissant notamment d'augmenter la TVA, le patron du MoDem ne tarit pas d'éloges. Les mesures annoncées suite à la remise du rapport Gallois? «Peut-être un changement historique de politique», prétend Bayrou. Le rapport Jospin sur la modernisation de la vie politique? «Une chose très positive.» La prestation de François Hollande lors de sa conférence de presse? «Il a été précis, maîtrisé dans son expression et a montré sa connaissance des sujets qu'il abordait, donc convaincant.» N'en jetez plus! Après six mois de présidence socialiste, le concert de louanges venu du centre tranche avec le scepticisme affiché des partenaires de gauche de la majorité.

«Bientôt se posera la question de savoir quelle est la vraie majorité, étant donné qu'un certain nombre d'alliés des socialistes ne votent pas avec eux sur des sujets importants», estime Jean-Luc Bennahmias, partisan d'un rapprochement du MoDem avec la majorité. Avec une dizaine d'élus du parti centriste, l'eurodéputé a été reçu mercredi à l'Élysée par Bernard Poignant, proche conseiller de François Hollande, chargé des relations avec les élus. «Cet échange tombait à point nommé après le virage du président de la République vers un positionnement social-libéral qui nous correspond», explique Jean-François Martins, conseiller de Paris MoDem, présent lors de la réunion. Pour lui, «le mur de verre entre la gauche et (le MoDem) pourrait tomber».

Une coproduction au Sénat

Au cœur des négociations figure la question des municipales de 2014. En 2008, le PS avait choisi de s'allier avec le MoDem dans un certain nombre de grandes villes, comme Lyon, Lille ou Montpellier. Si la perspective d'un accord national entre partis est pour le moment exclue, ces pactes locaux ont vocation à être reconduits, indique-t-on au MoDem, même si le parti centriste se réserve aussi le droit de soutenir des maires de droite, comme Alain Juppé à Bordeaux.

Le PS pourrait aussi choisir d'associer de manière plus active les - quelques - élus MoDem au Parlement. Alors que le gouvernement, privé du soutien communiste, a subi plusieurs revers à la Chambre haute, la sénatrice Jacqueline Gourault, fidèle parmi les fidèles de François Bayrou, a par exemple été chargée par le président du Sénat, Jean-Pierre Bel, de coproduire une proposition de loi sur le statut de l'élu avec le socialiste Jean-Pierre Sueur. Pour elle, «la notion droite-gauche est dépassée».

Entre PS et UDI, Bayrou refuse de trancher

Reste la question de la participation gouvernementale, encore loin d'être tranchée. «Elle ne se pose pas encore», a botté en touche le très hollandais ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll, interrogé mercredi sur LCP. Une prudence de mise, car, Rue de Solferino, la perspective d'un rapprochement avec le MoDem divise les socialistes depuis 2007 et provoque régulièrement des remous. Proposer de gouverner avec Bayrou au moment où l'aile gauche du parti s'agace du cap économique fixé par le gouvernement pourrait mettre le feu aux poudres. Et consommer définitivement la rupture au Parlement entre socialistes d'une part et écologistes et communistes de l'autre.

Le parti centriste est également partagé sur le sujet. «Volontaire» pour participer à la gestion gouvernementale, Jean-Luc Bennahmias reconnaît qu'il n'est «pas majoritaire» au MoDem. Sa ligne, soutenue par le vice-président du parti, Robert Rochefort, ne convainc guère les centristes «historiques», issus de l'UDF, et favorables à un rapprochement avec l'UDI de Jean-Louis Borloo. Certains, comme le sénateur Jean-Marie Vanlerenberghe, ont sauté le pas et rejoint le nouveau parti de centre droit. Qu'en dit François Bayrou? Le leader centriste refuse de choisir: tout en multipliant les signaux à l'égard de François Hollande, il se dit prêt à travailler avec l'UDI. Philosophe, Bennahmias commente: «De toute façon, la balle n'est pas dans notre camp mais dans celle du gouvernement.»

(c)Le Figaro

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Marielle de Sarnez

7 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.mouvementdemocrate.fr/actualites/images/photos-personnalites/Sarnez-smile-giens-recoupe.jpg

 

La semaine dernière, le magazine l'Hémicycle consacre un long portrait à Marielle de Sarnez, vice-présidente du Mouvement Démocrate, députée européenne et secrétaire générale du Parti démocrate européen.

"L’actuelle vice-présidente du MoDem n’a pas de modèle revendiqué en politique, mais des admirations tenaces pour des personnalités hors norme. Portrait d’une femme atypique. 

Rencontrer Marielle de Sarnez dans l’ancienne imprimerie du 133 bis rue de l’Université – le siège très tendance du MoDem – c’est suivre le parcours atypique d’une femme libre d’esprit. « Je me suis faite moi-même », lance-t-elle sans forfanterie, de sa voix nette et douce. Une façon élégante de ne pas se reconnaître de modèle, mentor ou gourou. Pas même son père, Olivier Lebel de Sarnez (et dans Lebel, on entend rebelle), résistant à 16 ans, gaulliste de toujours, président depuis 2004 de l’Association nationale des médaillés de la Résistance française. « Je n’ai pas fait d’études après le bac », dit-elle d’un ton dépourvu de regrets. Pas d’Ena, pas d’héritage familial d’une mairie ou d’une prébende. On pourrait ajouter que Marielle de Sarnez n’avait pas besoin de fréquenter les grands corps de l’État ou les circuits ordinaires de la République. Elle est une « enfant de la balle » et se revoit, à 10 ans, crier à tue-tête «OAS,SS!» du haut du balcon de ses parents. Très tôt l’indépendance de l’Algérie lui a paru s’imposer. Il faut dire qu’à la table dominicale prenaient souvent place le ministre de l’Intérieur Roger Frey (dont son père fut directeur de cabinet) et ces barons du gaullisme que furent Olivier Guichard, Michel Debré ou encore Alexandre Sanguinetti. Sur les murs de la salle à manger trônait un portrait du général de Gaulle. 

Le premier élu 

À l’évidence, son destin politique s’est écrit dans cette conscience éveillée très tôt, celle du service de l’État. Même si en 1968, elle reconnaît avoir milité... à gauche. « J’étais élève au lycée La Fontaine, après avoir quitté Sainte-Marie. Nous sommes allés envahir le lycée de garçons Jean-Baptiste Say. » 

Pas de modèle revendiqué pour Marielle de Sarnez, mais des admirations tenaces qui se traduisent par des engagements profonds, une mise à disposition intense de son énergie. Le premier « élu » de son cœur politique, c’est Giscard. Son bac en poche après les « événements » de mai, la jeune femme exerce mille petits métiers. Ladislas Poniatowski lui propose de rentrer comme secrétaire au mouvement des Jeunes républicains indépendants (JRI). Elle accepte. Le futur Président incarne la modernité qu’elle recherche. En 1974, elle fera sa campagne « avec enthousiasme », animée du sentiment enivrant que les temps basculent. « Avec lui, j’ai eu l’impression qu’on passait du noir et blanc de Peyrefitte à la télé en couleur. VGE apportait un nouveau style. Il se montrait avec sa fille sur ses affiches officielles. Il prônait une réelle modernité sociale, la lutte contre les inégalités. En opposition avec les gaullistes de l’UDR. » Si elle ne perd pas de vue qu’il était un homme de droite, « l’image de sa jeunesse brouillait cela ». Et de souligner ce qui, chez Giscard, la motiva : « Rassembler deux Français sur trois, légaliser l’interruption volontaire de grossesse, ramener le droit de vote à 18 ans, j’étais d’accord avec tout ça ! » 

« Génération sociale et libérale » 

L’actuelle vice-présidente du Mouvement démocrate se souvient d’avoir lutté pour imposer le mot « social » dans le slogan de la campagne giscardienne : « Génération sociale et libérale ». Et elle n’a pas oublié qu’un homme lui cracha à la figure, pendant qu’elle circulait en France dans la caravane aux couleurs de son champion d’alors. « VGE avait serré la main à un détenu encore non jugé. Il avait transgressé. » Avec le recul, Marielle de Sarnez regrette que Giscard ne soit pas allé plus loin sur deux dossiers : l’abolition de la peine de mort et la libéralisation des radios libres. « Il a fini son septennat à rebours de ses débuts, otage des gaullistes. » 

Le lien se distendra en 1988 entre l’ancien Président et Marielle de Sarnez, qui a pris fait et cause pour Raymond Barre, dont elle animera la campagne. « VGE m’en a voulu. Il n’acceptait pas qu’un autre que lui défende son camp »... La jeune femme organisera une gigantesque fête de la Liberté, pendant de la fête de l’Humanité, qui rassemblera plus de cent mille personnes. Mais elle mesure combien Barre reste avant tout un professeur d’université. « Il était très attachant et rassurant, avec ce slogan “Barre Confiance”. Il avait en revanche une véritable incapacité face au monde politique. » Elle se souvient que les Madelin, Léotard, Longuet et consorts préféraient l’échec de Barre et la victoire de Chirac. Elle en tire une leçon rude pour le centre : « On trahit toujours. On se diminue soi-même en cherchant la protection du tout-puissant. Je refuse ce comportement. Il signifie qu’on ne croit pas en nous, à notre singularité. » 

Hors norme 

Deux personnalités hors-norme vont encore la marquer avant la destinée commune, avec ses très hauts et ses très bas, avec François Bayrou. Ce sera d’abord Simone Veil, « atypique, fragile, très entière et courageuse, bousculant les codes ». Elle lui voue une grande reconnaissance d’avoir porté cette loi sur l’avortement, d’avoir « tenu bon », malgré la violence des débats. « On l’a traitée d’avorteuse. Un député est venu dans l’hémicycle avec un bocal rempli de fœtus »... 

L’autre figure est Jean Lecanuet, qu’elle éclaire d’un jour inattendu. Plus jeune agrégé de France (en philosophie) à 22 ans, « il était plein d’amertume. Il pensait qu’il avait raté une autre vie, vouée à l’écriture. » François Bayrou, c’est précisément dans l’orbite de Lecanuet qu’elle le rencontra. Le jeune leader du CDS (Centre des démocrates sociaux) était rédacteur en chef de la revue Démocratie moderne. « Pour moi, les hommes politiques importants sont ceux qui sont capables de penser par eux-mêmes, qui écrivent leurs discours, qui écrivent tout court, loin des communicants », explique Marielle de Sarnez. « Ils lisent des livres, aiment le débat d’idées, les discussions de fond. » Nul doute que cette lectrice assidue d’Arthur Miller, de Blaise Cendrars, de Malcolm Lowry et de Lawrence Durrell – « des écrivains qui sont de plain-pied dans la vie, dans l’humain » – trouve auprès de François Bayrou cette profondeur. « Personne n’a fait ce qu’il a fait, conclut-elle. Il refuse les préjugés politiques, ne s’arrête pas à l’étiquette sur le front de l’autre. » Et d’appeler de ses vœux, éternel credo, l’avènement d’un centre étendu « de la droite modérée à la social-démocratie pour gouverner la France ». Une configuration qu’elle voit poindre en Allemagne. Qu’elle continue d’espérer avec Bayrou."

 

http://www.mouvementdemocrate.fr/medias/121025-sarnez-lhemicycle.html

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Dépasser le bipartisme forcené, une nécessité pour la sortie de crise

5 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

 

Le Modem entend être le trait d’union, une force indépendante ouverte à la diversité des opinions qui sollicite un débat apaisé et constructif entre elles, pour le seul intérêt qui compte, celui du pays et de ses habitants.

A lire sur le site du Mouvement Démocrate Sciences Po, association de loi 1901 qui vise à représenter la sensibilité politique démocrate et centriste, ainsi qu'à fédérer les sympathisants et adhérents du Mouvement Démocrate, au sein de Sciences Po.

http://www.modem-scpo.fr/post/2012/10/23/D%C3%A9passer-le-bipartisme-forcen%C3%A9%2C-une-n%C3%A9cessit%C3%A9-pour-la-sortie-de-crise

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Bayrou sur RTL à 18H30

4 Novembre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://media.rtl.fr/online/image/2012/0519/7748380266_francois-bayrou-invite-du-grand-jury.jpg

 

Dimanche 4 novembre, François Bayrou sera l'invité du Grand Jury RTLLCILe Figaro. Une émission à suivre en direct, à partir de 18h30.

http://www.rtl.fr/emission/le-grand-jury

Il interviendrai notamment sur la question de la compétitivité des entreprises, à la veille de la remise du rapport Gallois.


Le dimanche, à 18h30, le « Grand Jury RTL-LCI-Le Figaro » est un rendez-vous incontournable de la politique. 


Cette année, il est dirigé par Jérôme Chapuis, Rédacteur en Chef adjoint du service Politique de RTL, qui interroge, avec Alexis Brezet (Le Figaro) et Eric Revel (LCI), les « ténors » de la vie politique française.

« Le Grand Jury » est diffusé en simultané sur LCI et les temps forts publiés dans « Le Figaro » du lundi.

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Mariage homosexuel : vers un au-delà des mots ?

31 Octobre 2012, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

http://www.contre-info.com/wp-content/uploads/2010/07/large_514005.jpg

 

François Bayrou, président du MoDem, revient sur le sujet du mariage homosexuel, à une heure où la problématique semble atteindre un stade de visibilité assez conséquent. Nous avions jusqu'ici l'habitude des prises de positions, qu'elles soient de nature culturelles, sociales voire polémiques avec les propos tenus par Msgr Barbarin. Monsieur Bayrou se livre alors à l'exercice d'une redéfinition terminologique, en proposant non plus l'usage du mot, le mariage, pour ce qui concernerait les couples de même sexe, mais celui d'union.

"Une union, c'est bien, parce que ça respecte le droit à la reconnaissance, à un certain nombre d'avantages et, en même temps, il est bien de respecter aussi ceux qui ont sur eux le poids fertile de la tradition"

Le glissement semble assez habile, puisqu'il permet ainsi la définition à part entière du couple homosexuel et regroupe derrière un mot différent tout un ensemble de possibilités. Si la pomme de discorde est bien le terme du mariage, alors la solution d'un mot nouveau pourrait constituer une échappatoire finalement assez constructive. Dans cette optique, les défenseurs du mariage jugé "traditionnel" n'auraient ainsi plus rien à revendiquer concernant le conflit des notions (pour peut-être laisser place au seul vrai problème : celui d'une acceptation culturelle). François Bayrou entend bel et bien assumer ce dédoublement des termes, au sens où il permettrait de "rendre justice aux deux sensibilités".

Toute la question est alors de savoir ce que l'on peut ranger derrière ce terme d'union. Jusqu'à quel point faut-il séparer les deux notions de mariage et d'union ? La séparation apparaît comme une réelle nécessité pour l'auteur de ces propos, qui qualifie le thème du mariage homosexuel d'explosif à l'heure actuelle. Écran de fumée rhétorique, ou désamorçage fructueux ? Le développement mériterait qu'on s'y attarde.

Source :

http://www.za-gay.org/actu/3987/mariage-homosexuel-vers-un-au-dela-des-mots-/

 

 

Maintes fois reporté, le texte devait être présenté en conseil des ministres le 7 novembre prochain pour arriver au Parlement d'ici la fin de l'année.

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Rochefort souhaite des débats avec l'UDI

30 Octobre 2012, 11:31am

Publié par MoDem-Colombes


Robert Rochefort : «Il faut un autre espace... par lefigaro

Robert Rochefort

Député européen et vice-président du MoDem
Robert Rochefort : "Quand je vois l'UDI faire des effets d'opposition face à l'UMP, je trouve qu'on reste dans une façon trop classique de faire de la politique."

 

 

Au Modem, Robert Rochefort souhaite des débats avec l'UDI en vue des européennes
 
 

L'eurodéputé Robert Rochefort s'est prononcé hier pour l'ouverture de « débats et de discussions » entre le Modem de François Bayrou et l'UDI de Jean-Louis Borloo, notamment dans la perspective des échéances européennes de 2014. « Je souhaite qu'il y ait des débats et des discussions entre nous », a dit le vice-président du Modem, représentant de la gauche du parti, au Talk Orange-« Le Figaro », en excluant cependant « pour l'instant » que le parti de François Bayrou rejoigne celui de Jean-Louis Borloo. « Nous ne pouvons pas à la fois dire que nous voulons pacifier les relations politiques entre la droite et la gauche, et dans le même temps, ne pas être capables de pacifier, ou en tout cas de chercher les possibilités de dialogue et de débats », fait valoir l'économiste.

 

http://actu.orange.fr/le-talk/le-talk-orange-le-figaro-du-29-octobre-interview-robert-rochefort-lefigaro-interview_1158060.html

 

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Vers une Alliance mondiale des Partis Démocrates

28 Octobre 2012, 08:22am

Publié par MoDem-Colombes

http://badre.typepad.com/.a/6a01538dffab1f970b017c32bd9ce6970b-800wi

 

Denis Badré - membre honoraire du Sénat - a participé la semaine dernière à Chypre a une rencontre du PDE - Parti Démocrate Européen, dont François Bayrou partage la présidence avec l'Italien Francesco Rutelli. 

Denis Badré a été chargé par le PDE de réfléchir à la création d'un réseau mondial des démocrates : l'Alliance Démocrate rassemblera les partis démocrates des différents continents, dont notamment le parti démocrate américain.

Le Parti Démocrate Européen félicite ses partenaires de l’EAJ-PNV pour leur victoire à l’occasion des élections régionales au Pays Basque. Avec 34,5 % des suffrages et 27 sièges sur 75 au Parlement basque, le PNV s’impose une fois de plus comme la principale force politique de la communauté autonome et assumera la responsabilité décisive pour le gouvernement du Pays Basque. Toutefois, ce résultat est aussi marqué par la percée des indépendantistes.


À l’occasion de son Conseil qui se tenait à Nicosie (Chypre) vendredi 19 octobre, le PDE a longuement évoqué les tensions identitaires qui s’exacerbent en Europe. L’Union européenne ne doit pas nier les identités locales mais au contraire leur permettre de prendre leur pleine mesure dans un espace plus large qui les protège en tant que partie intégrante d’une Europe dynamique. François Bayrou a estimé que « cette immense architecture qu’est l’Europe permet aux différences de s’exprimer plus librement ». Ces identités locales sont complémentaires avec une identité européenne dont il faut réinventer le cadre et la perspective.


Ces tensions trouvent une partie de leur résonnance à la faveur de la crise économique et politique que connaissent nos pays. Cependant la victoire d’Iñigo Urkullu et du PNV démontre que les problématiques primordiales pour l’avenir des Basques et des Européens sont la lutte contre le chômage et la reprise de l’activité économique. Véritable garantie de la sauvegarde de notre modèle social, ce retour de la croissance doit se faire dans l’établissement d’un nouveau modèle économique et industriel. Celui-ci, basé sur un développement durable rentable, sera le facteur d’une compétitivité génératrice de nouveaux emplois et de nouvelles professions.


Pour François Bayrou, « le Parti Démocrate Européen ne doit pas avoir peur d’être une avant-garde » car il est le plus à même de répondre à ces questions que se posent les Européens. Francesco Rutelli a pour sa part réaffirmé la nécessité pour le PDE de « proposer une vision d’un centre politique qui lutte contre les populismes de gauche et de droite et qui prenne le leadership démocratique de l’Europe du XXIe siècle ». Ces thèmes seront les axes majeurs des groupes de travail créés à l’occasion du Congrès du PDE du 6 décembre prochain à Bruxelles.

 

http://www.mouvementdemocrate.fr/actualites/europe/121022-badre-prix-nobel.html

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Borloo peut-il tuer Bayrou ?

23 Octobre 2012, 18:18pm

Publié par MoDem-Colombes

En lançant son grand parti de centre droit qu'il entend hisser au rang de « premier parti de France », Jean-Louis Borloo provoque François Bayrou en duel. De l'issue de ce combat dépend la recomposition du paysage politique français.

A lire dans Marianne :

 

http://www.marianne.net/UDI-Borloo-peut-il-tuer-Bayrou%C2%A0_a223611.html

 

 

 

 

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Bayrou : Borloo rallume la guerre des droites

21 Octobre 2012, 23:32pm

Publié par MoDem-Colombes

http://touspolitiques.franceinter.fr/wp-content/uploads/2012/10/bayrou_6401.jpg

 

François Bayrou a estimé que le lancement  de l'UDI autour de Jean-Louis Borloo équivalait à "faire repartir la guerre des droites pour conquérir la prééminence sur ce camp".

 

"Ce que j'entends" à l'UDI, c'est "'nous faisons un mouvement à droite, nous allons ouvrir la compétition avec l'UMP et nous allons prendre le pas sur l'UMP qui, d'ailleurs va exploser'", a déclaré le leader centriste. Selon François Bayrou, "c'est l'annonce d'une compétition-affrontement" à droite.

"La grande différence entre cette démarche de Jean-Louis Borloo et la mienne, c'est que je ne crois pas que le centre puisse se résumer à la droite" car "pour moi, si le centre existe, il est différent de la droite, comme il est différent de la gauche", a répété l'ex-candidat à la présidentielle, qui continue de refuser de "(se) laisser enfermer dans un camp". Selon lui, "faire repartir la guerre des trois droites", en comptant le Front national, "pour conquérir la prééminence sur ce camp, c'est à des années-lumière de l'angoisse, de l'intérêt du pays".

François Bayrou, qui prône depuis des années un rassemblement des forces de gauche, du centre et de droite, s’est dit prêt à des partenariats avec ce nouveau parti, « à condition que ces partenariats soient réciproques ». Il s’est aussi dit prêt à entrer dans un gouvernement sous le quinquennat de François Hollande : « On doit trouver des réponses en permettant aux grands courants du pays de travailler ensemble, qu’ils viennent de la droite républicaine, du centre ou de la gauche républicaine ».

 

 

http://touspolitiques.franceinter.fr/emissions/francois-bayrou-president-du-modem

 

 

Sur les questions européennes et économiques, François Bayrou s’est montré plus critique. Si l’accord bancaire conclu vendredi à Bruxelles « va dans le bon sens », le leader centriste déplore toutefois l’absence de ses modalités d’application. Déjà dans l’optique des élections européennes de 2014, c’est, selon lui, la question d’une légitimité démocratique de l’Europe, qui sera au cœur du prochain scrutin.

Quant à la situation économique de la France, les solutions choisies par le gouvernement ne sont, selon François Bayrou, pas les bonnes. Plutôt que de continuer à contracter des crédits pour rembourser les précédents emprunts, ce qui revient à « du crédit revolving » selon lui, il prône une réduction des dépenses.

 

Quand un gouvernement propose une mesure courageuse, l'opposition la flingue aussitôt. Puisque le rôle de l'opposition n'est pas que le pays réussisse mais que le gouvernement tombe.  Il y a là quelque chose absolument désespérant. 

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