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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

Bayrou : "Sarkozy fait de la communication"

3 Août 2010, 10:25am

Publié par MoDem-Colombes

"Le président du MoDem, François Bayrou, a estimé lundi matin que Nicolas Sarkozy et le gouvernement maniaient des sujets "dangereux" dans le seul but de "faire de la communication", après le discours où le président de la République a lié immigration et insécurité.

 

Au micro d'Europe 1, François Bayrou a jugé que Nicolas Sarkozy avait voulu provoquer "une polémique, parce que la polémique est le meilleur moyen de faire de la communication, de ressouder ce qu'on croit être son camp autour de soi lorsque les sondages fléchissent"."Malheureusement cette polémique elle est faite sur des sujets qui sont des sujets dangereux pour la France", a-t-il ajouté.

"Ce sont des sujets dangereux parce qu'autant il est juste, légitime et nécessaire d'avoir en matière de sécurité une démarche qui soit une démarche intransigeante, forte et juste, autant essayer de tracer un signe égal entre immigration et insécurité, entre immigration et délinquance, évidemment c'est rendre au pays un très mauvais service et c'est à mon sens déstabiliser et rendre plus dangereuse encore la société française", a expliqué le président du MoDem.

"Essayer de faire croire que délinquance et insécurité soient directement liées et conséquences de l'immigration, c'est pour la société française poser des problèmes qui sont des problèmes insolubles", a ajoutéFrançois Bayrou"Il y a là des coups de barre dans un sens et des coups de barre dans l'autre qui ne ressemblent pas à ce qui est nécessaire dans un pays aussi fragile et aussi en difficulté que le nôtre", a conclu M. Bayrou.

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Bayrou et la sécurité

22 Juillet 2010, 17:39pm

Publié par MoDem-Colombes

Invité de France Inter, François Bayrou a montré, sur le thème de l'insécurité, ce que signifiait le centrisme : refuser l'angélisme de la gauche, et condamner la politique de la droite, accusée de brasser de l'air.

 

Et si, finalement, la sécurité était un débat porteur pour… François Bayrou ?
Ce matin sur France Inter, le chef du Modem semblait extrêmement à l’aise sur le sujet. Très critique vis-à-vis de la politique de Sarkozy et du gouvernement, mais sans verser dans l’angélisme d’une certaine gauche à côté de la plaque qui continue à dénoncer la « stigmatisation » et la « dérive sécuritaire » à l’heure où certains délinquants des cités n’hésitent plus à sortir leurs armes à feu, et à les utiliser.

 

La suite sur le site Marianne2.fr

 

Bref, ni à droite, ni à gauche, Bayrou maintient le cap. Du centre ou, mieux encore, de la République.

 

 

http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/septdix/index.php?id=93779

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Bayrou sur France Inter

21 Juillet 2010, 17:33pm

Publié par MoDem-Colombes

 

 

François Bayrou sera l'invité de la matinale de France Inter, jeudi 22 juillet à 08h15.

 

Retraites : François Bayrou ne votera pas une réforme qui reporte l'âge de départ à 67 ans

 

François Bayrou a réaffirmé hier mardi son refus au report de l'âge de la retraite sans décote de 65 à 67 ans, pour l'horizon 2018.

"Je ne voterai pas une réforme qui reporte à 67 ans l'âge de départ à la retraite", a-t-il déclaré à la sortie d'une réunion de la commission des Affaires sociales, qui examinait le projet de loi sur la réforme des retraites.

"Je me battrai jusqu'au bout pour que l'on maintienne à 65 ans le droit de partir à la retraite sans pénalisation, avec le nombre de trimestres que l'on a", a affirmé François Bayrou, ajoutant néanmoins que le passage progressif de 60 à 62 ans de l'âge légal minimal de départ à la retraite était "inéluctable".

François Bayrou a conclu en demandant que les débats en commission des Affaires sociales ne soient pas à huis clos mais retransmis, par exemple sur la chaîne parlementaire LCP.

 

Financement des partis politiques : il y a des "prétendus partis" qui "autorisent tous les trucages" et contournent la loi, pour François Bayrou

François Bayrou a accordé  vendredi dernier un entretien au quotidien "Le Parisien" concernant les micropartis qui captent les financements.

Le Parisien : Que reprochez-vous à ces petits "partis" ?

François Bayrou : Ce qui garantit une vie politique honnête et transparente, c'est que la loi soit respectée et qu'elle soit la même pour tous. Or ces prétendus "partis", dont on vient de découvrir l'existence, ne sont rien d'autres que des officines de financement, destinées à tourner la loi. J'ai été stupéfait d'apprendre qu'il en existe plusieurs centaines, alors que tout le monde sait bien que, de l'extrême-gauche à l'extrême-droite, il n'y a pas plus d'une douzaine, une vingtaine au maximum, de vraies formations politiques en France. Ces structures opaques autorisent tous les trucages et tous les dépassements.



Mais les partis financent bien des candidats individuels ?

Les vrais partis, parce qu'ils sont contrôlés et limités dans les versements, rendent impossibles, s'ils sont honnêtes, les financements illégaux. On savait qu'il existait déjà des partis d'outremer qui sont déjà en eux-mêmes des anomalies quand ils permettent de recycler des financements d'activités politiques dans l'Hexagone. Mais ce n'est pas inimaginable de voir ainsi se multiplier des organisations opaques et parallèles. C'est un manquement grave à la loi et à son esprit, ne serait-ce, comme on le voit dans l'affaire Bettencourt, parce qu'une seule personne peut multiplier les chèques à des structures qui sont en réalité gigognes. Et c'est une atteinte à l'égalité des citoyens devant la loi.

En quoi ?

Parce que certains s'obligent à passer par un parti politique national et, pendant ce temps, d'autres se fabriquent leur propre pseudo-parti pour se financer eux-mêmes, sans activité réelle, ni expression publique, ni comptes publics déclarés. Tout cela est anormal et grave.

Nicolas Sarkozy souhaite une commission de réflexion sur les conflits d'intérêt. Y participerez-vous ?

J'ai suggéré l'idée de cette commission. Je souhaite qu'elle aille jusqu'au bout et qu'une loi soit proposée. Mais il faut tout mettre sur la table en matière de financements politiques pour qu'on entre, sans avoir peur de personne, dans l'assainissement de notre vie publique.

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Réforme des retraites "vitale"

14 Juillet 2010, 18:52pm

Publié par MoDem-Colombes

 

François Bayrou a réagi hier suite à la présentation du projet de réforme des retraites en Conseil des ministres.

"Il faut dire à la fois que la réforme des retraites est vitale et qu'elle doit changer sur des points fondamentaux en matière de justice et de financement", a-t-il affirmé, ajoutant que "la réforme est vitale parce que son échec ou son insuffisance conduirait la France à une situation très dégradée aux yeux de l'ensemble de ses partenaires et il faut donc se battre bec et ongle pour que cette réforme convainc les Français". "En même temps, il y a des insuffisances et des injustices que nous ne pouvons pas accepter", a-t-il encore ajouté.

"Autant le glissement progressif à 62 ans apparaîtra d'ici quelques années comme inéluctable et impossible à remettre en question, autant il est socialement injuste et condamnable de vouloir porter l'âge de la retraite à 67 ans pour les retraites incomplètes qui sont celles des populations les plus fragiles", a rappelé François Bayrou.


"De la même manière, la pénibilité ne peut pas être limitée aux personnes frappées de handicap", précise-t-il. "L'équilibre financier de cette réforme n'est pas assuré, loin de là, et le recours à des contributions nouvelles, notamment de revenus qui pour l'instant y échappent, sera forcément à l'ordre du jour".

"Il reste trois mois pour que cette réforme vitale trouve un équilibre acceptable en matière de justice et de crédibilité financière", a conclu François Bayrou.

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Bayrou sur Europe 1 Dimanche 11 Juillet à 10h

10 Juillet 2010, 10:20am

Publié par MoDem-Colombes

 

François Bayrou sera dimanche 11 juillet à 10h l'invité du Grand Rendez-vous d'Europe1/Aujourd'hui en France, interviewé par Jean Pierre Elkabbach et Patrick Cohen.

 

Pendant près d'une heure, il reviendra sur l'actualité des derniers jours et sur les perspectives pour la France et l'Europe. Dette, Retraites, Affaire Bettencourt, Réforme des collectivités locales ; François Bayrou fera un point d'ensemble avant la période estivale.

 

 

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Adhésion de l'Islande à l'UE

8 Juillet 2010, 15:15pm

Publié par MoDem-Colombes

 

 

Jouer carte sur table! 

 

Nous avons toutes les raisons de nous réjouir de l'ouverture des négociations d'adhésion de l'Islande à l'Union européenne. Pays à la longue tradition démocratique et déjà lié par de nombreux accords à l'UE, l'Islande semble être un cas facile. Pour autant, le processus d'élargissement de l'Union européenne a trop longtemps souffert de faux-semblants. Nous avons perdu un temps astronomique à divaguer sur d'obscurs conflits territoriaux (Croatie/Slovénie), à compter les points d'un duel éternel sur le nom de la Macédoine, après avoir bien mal négocié l'adhésion d'une moitié seulement de Chypre et accueilli avec trop d'empressement des Etats où la corruption reste encore un fléau.

 

Raison de plus pour mettre les points sur les "i" dès le début avec nos amis Islandais. C'est ce qu'a fait le Parlement européen en envoyant un message d'accueil chaleureux à l'Islande, tout en rappelant par un amendement que l'île ne pourra devenir membre de l'Union sans devenir un acteur constructif dans l'abandon de la chasse industrielle à la baleine (323 voix pour, 272 contre et 67 abstentions).

L'Islande, comme la Norvège et le Japon, continue de pêcher le mammifère marin en dépit du moratoire décrété depuis 24 ans par la commission baleinière internationale.

Reste maintenant à convaincre les 300000 Islandais, secoués par la crise, qu'ils ont tout à gagner à nous rejoindre dans le projet européen.

 

Jean -Luc Bennahmias et Marielle de Sarnez

 

Le processus d’élargissement de l’Union européenne doit se poursuivre avec la conclusion des négociations d’adhésion menées avec la Croatie, la poursuite de celles menées avec la Turquie et l’examen de trois demandes d’adhésion présentées respectivement par l’Albanie, l’Islande et le Monténégro.

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Woerth "un peu tragique"

7 Juillet 2010, 12:47pm

Publié par MoDem-Colombes

 

 

Invité de RTL ce matin, François Bayrou a trouvé qu'il y avait dans l'interview d'Eric Woerth sur TF1 d'hier soir "quelque chose d'impressionnant et d'un peu tragique", en cela qu'il avait vu "un homme blessé" se défendant avec "une tête d'honnête homme" mais qui ne semblait pas voir "ce que tous les Français sentent" : "il est impossible d'être ministre du Budget et d'avoir dans le même temps des liens familiaux avec la première contribuable française", en référence à ses liens présumés avec Liliane Bettencourt, héritière de L’Oréal.

Toutefois, le président du Modem a assuré qu'il ne demandait pas la tête du ministre et qu'il se refusait à se "ranger au nombre de ceux qui crient "démission, démission !" ". Pour lui, le problème dépasse l'homme et c'est avant tout "un problème d'institutions" qui est mis en avant par cette polémique. "Le problème est le mélange actuel entre intérêt public et intérêt privé", a-t-il soutenu, ajoutant qu'il y avait "une place excessive de l'argent dans le système actuel de valeurs de la France".

A l'Assemblée nationale où majorité et opposition se sont violemment affrontées mardi après-midi, "on avait l'impression (...) d'un cloaque qui était en train de s'ouvrir", a déploré M. Bayrou.

 

"On avait une crise économique, une crise financière, une crise sociale, une crise morale, on a maintenant une crise politique", a-t-il encore martelé, invitant le président de la République à prendre la parole rapidement. "S'exprimer est indispensable, il y a urgence, mais cela ne suffira pas", a-t-il toutefois prévenu.

 

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Université de rentrée du MoDem

6 Juillet 2010, 12:45pm

Publié par MoDem-Colombes

 

La prochaine Université de rentrée du MoDem va se dérouler du 24 au 26 septembre 2010 sur la presqu'île de Giens dans le Var.

 

Cette année priorité sera donnée, lors de cette Université, à la formation interne, conformément à l'objectif d'émergence d'une nouvelle génération de cadres et de responsables pour notre mouvement.

 

http://ur2010.mouvementdemocrate.fr/

 

 le bulletin d'inscription


Le nombre de places d'hébergement sur le site est limité !  Des billets de train à tarif avantageux sont disponibles sur le site internet de la SNCF.

 

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez nous appeler au 01 53 59 20 65, nous écrire à l'adresse ur2010@lesdemocrates.fr ou consultez les informations pratiques.

 

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Position du Mouvement Démocrate sur la réforme des retraites (2)

28 Juin 2010, 15:12pm

Publié par MoDem-Colombes

 

Résolution du Conseil National du Mouvement Démocrate
Adoptée le 26 juin 2010

Position du Mouvement Démocrate sur la réforme des retraites (1)

 

6- La proposition liant la reconnaissance de la pénibilité à une invalidité constatée de 20 % donnant lieu de surcroît au versement d’une rente pour maladie professionnelle ou accident de travail n’est pas recevable. Pour nous, la pénibilité doit être prise en compte, à l’image des accidents du travail, par une caisse autonome, alimentée par les entreprises au prorata des risques qu’elles font encourir à leurs salariés ce qui entraînera une évolution vers des parcours professionnels diversifiés et les incitera à augmenter la prévention.

 
7- La volonté de déplacer de 65 à 67 ans l’âge du départ à la retraite sans pénalisation pour les carrières incomplètes est inacceptable ! 62 ans oui, 67 ans non ! Ce sont les salariés les plus fragiles, les femmes qui ont commencé ou recommencé à travailler après avoir élevé des enfants, les petits salaires qui ont « galéré » qui se trouvent ici en cause. Cette décision repose d’ailleurs sur un artifice comptable : quand elles font valoir leurs droits à la retraite un très grand nombre de ces personnes ne travaillent plus ; elles sont au chômage, en fin de droits, aux minima sociaux ou sans ressources. Ce sont donc les caisses chômage ou les budgets sociaux qui doivent assumer la charge de leurs ressources.


8- Manque dans la proposition du gouvernement une orientation de justice très attendue des Français : l’égalité devant la retraite. L’unification des régimes de retraite doit lever les injustices si profondément ressenties par nos compatriotes : régimes spéciaux ; fonctionnaires par rapport aux salariés du privé ; travailleurs indépendants ; parlementaires ; retraites « chapeau ». Ces avantages plus ou moins secrets ou discrets font régner un sentiment de profonde injustice. Seule une unification, prenant en compte les droits acquis dans le passé mais donnant à tous les mêmes règles pour  l’avenir permettra de corriger les injustices et mettre fin aux privilèges. Nous croyons que la transparence généralisée, l’individualisation des droits, la connaissance de ces droits à tout moment de la carrière, le libre choix de la retraite à partir d’un âge légal, la simplification des régimes entraînant des gains de gestion, « retraite par points », ou par compte individualisé, doivent être l’horizon proche de nos systèmes de retraite.

 

9- Enfin, l’équilibre financier à court terme des régimes de retraite n’est pour nous ni acquis ni même approché par les timides décisions annoncées. Cet équilibre financier demeure pour nous une très lourde préoccupation. En particulier « l’augmentation » de 1 % (de 40 à 41 % !) de la tranche la plus élevée de l’impôt sur le revenu nous paraît purement cosmétique. On ne résoudra pas le problème par des expédients comme ceux qui sont envisagés, épuisant en quelques années le Fonds de réserve des retraites qui devait être réservé aux générations d’après-guerre. Les efforts qui doivent être demandés, doivent l’être de manière durable et juste, proportionnée aux moyens réels de chacun et mettre à contribution des revenus, en particulier financiers, aujourd’hui en grande partie exonérés.

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Position du Mouvement Démocrate sur la réforme des retraites (1)

27 Juin 2010, 15:12pm

Publié par MoDem-Colombes

 

Résolution du Conseil National du Mouvement Démocrate
Adoptée le 26 juin 2010

1- La réforme des retraites est vitale et ne saurait être différée. Il s’agit de la première des trois réformes que nous devons concevoir pour la France, retraites, santé et dépendance, finances publiques.  Soutenir devant les Français cette démarche réformiste, c’est un acte de courage nécessaire. Si la France ne réussissait pas à conclure  cette réforme, à la rendre humainement acceptable par tous,  ou si la réforme était insuffisante, alors le pays se trouverait en danger.

 
2- Avant tout, la réforme des retraites doit s’accompagner d’une conquête de la production et donc d’une reconquête du travail tant en nombre d’emplois qu’en qualité du travail. L’absence d’une réflexion et d’une politique compréhensibles par les Français sur une stratégie industrielle, agricole, agro-alimentaire, des services, ou touristique, de notre pays se fait cruellement sentir. Si l’activité productrice de la nation est trop faible pour créer de l’emploi, pour les jeunes autant que pour les seniors, alors toutes les réformes échoueront.

 
3- Cependant, pour sauver les retraites par répartition, la réforme ne peut éviter de répondre au défi démographique. C’est le rapport déséquilibré entre le nombre des actifs et le nombre des pensionnés qui crée l’urgence. Le nombre des actifs ne cesse de baisser, notamment, c’est vrai, en raison de l’actuelle crise économique. Le nombre des pensionnés ne cesse d’augmenter, sous l’influence de la longévité, du dispositif « carrières longues » et de l’arrivée à l’âge de la retraite des générations de l’après-guerre.


4- Nous considérons qu’il est raisonnable de faire glisser progressivement l’âge légal à partir duquel on peut faire valoir ses droits à la retraite de 60 à 62 ans. Si on choisissait de ne jouer que sur l’augmentation de la durée de cotisation, on créerait une situation dans laquelle tous les Français qui ont fait des études, tous ceux qui ont eu des carrières incomplètes seraient condamnés à ne pouvoir partir à la retraite que dans la zone des 70 ans ! Pour tous ceux qui seraient contraints de partir à la retraite avant cet âge, ce serait des retraites réduites, des pensions insuffisantes.

5- Trois conditions de justice doivent être satisfaites pour que la réforme soit acceptable par les Français. La première, c’est l’ouverture d’une retraite plus précoce pour les salariés entrés dans la vie professionnelle très tôt. Sous réserve d’expertise, la proposition de maintenir l’âge de 60 ans pour les carrières longues (entrée dans la vie professionnelle avant 18 ans) nous paraît raisonnable.


Position du Mouvement Démocrate sur la réforme des retraites (2)

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