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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

François Bayrou au Grand Rendez-Vous

25 Octobre 2009, 23:59pm

Publié par MoDem-Colombes



"T
ous ceux qui pensent que l’alternance est un devoir ont quelque chose à faire ensemble."

A cinq mois des élections régionales, François Bayrou a renouvelé son "offre publique de dialogue" dimanche, lors du Grand rendez-vous Europe 1 – Le Parisien – Aujourd’hui en France. 

"Il y a des gens bien sous toutes les étiquettes."

"Il est tout à fait possible d’imaginer des regroupements au deuxième tour dans un certain nombre de régions". Faisant référence à l’Allemagne, où les Verts se sont alliés à la droite lors d’un scrutin régional, François Bayrou a jugé qu’on devait "pouvoir faire des majorités régionales dans les régions, locales dans les collectivités locales : elles n’ont pas toutes besoin d’être les mêmes."

"J'ai fait à partir de la rentrée une offre publique de dialogue sans exclusive à qui que ce soit, et cette offre publique est non seulement d'actualité mais selon moi une urgence."

"Il y  une panne presque générale de tout ce qui fait la France : l’agriculture, l’industrie, l’école, le monde de la santé, ou banlieues.

"Il y a urgence à bâtir l'alternance pour qu'en 2012 les choses changent, autrement ce régime durera 10 ans et s'il dure 10 ans (2007-2017), je vous le dis avec certitude et gravité, 
si ce régime dure dix ans, il y aura des conséquences irréversibles sur la société française."

"La France a droit à avoir des dirigeants qui respectent les principes républicains du pays"

Il y aura des conséquences sur la manière dont le pouvoir est exercé en France, la prise de contrôle de très grands centres de décisions par des petits groupes... un petit groupe, qui comme vous le voyez avance ses pions dans toutes les situations de responsabilités que ce soit (au niveau) bancaire, financier, médiatique, politique, collectivités locales etc..."


"L'attitude que j'ai c'est celle de rendre possible en France la création d'une majorité d'alternance" avec "des forces républicaines (qui) peuvent être de gauche, socialistes en particulier, (qui) peuvent être démocrates et du centre, j'espère qu'il y aura un jour une partie de la droite républicaine qui dira "ce qui se passe n'est plus acceptable"

Au sujet de la reconduite forcée de trois Afghans
vers Kaboul, ce n'est pas la tradition de la France d’expulser vers un pays une guerre des pauvres gens qui cherchent à le fuir. Il y a quelque chose d’extrêmement brutal à ne pas tenir compte de la situation d’un pays ou nous faisons la guerre. La politique à l’égard des sans-papiers n'est vraiment pas adaptée et pas juste. Je suis pour une politique raisonnée de régularisation des gens qui ont trouvé leur place dans la société française, qui travaillent, qui paient des impôts.

L’affaire de l’Epad
a fait beaucoup de dégâts à l’image de la France. Il y a des choses que le peuple français n’accepte pas. Pour la première fois depuis ces deux dernières années, quand la France dit non, le pouvoir recule. Ceci est un tournant.

La nomination à EDF d'Henri Proglio, président d'une entreprise privée (Veolia) qui conservera ses responsabilités à la tête d'une entreprise privée est une chose que dans les principes on ne doit pas accepter.  C'est à inscrire dans les anomalies, dans les choses qu'on ne devrait pas accepter.  Ce n'est pas possible qu'il y ait à la tête de la plus grande entreprise publique française quelqu'un qui ait en même temps la préoccupation d'une entreprise privée, et si on ne se rend pas compte que ceci contredit aux principes qui sont les nôtres il me semble à ce moment là qu'on fait preuve de courte vue.

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Des listes MoDem autonomes partout au 1er tour des Régionales

24 Octobre 2009, 22:22pm

Publié par MoDem-Colombes

Les instances du MoDem ont acté ce samedi le principe de listes autonomes au premier tour pour les élections régionales de mars prochain

Le Conseil national du Mouvement Démocrate s'est réuni samedi 24 octobre 2009 de 9h30 à 14h.

 

Il a adopté les résolutions suivantes :

Résolution n°1 adoptée à l’unanimité

Une liste investie par le Mouvement Démocrate sera présente dans toutes les régions pour les élections régionales de 2010.

Résolution n°2 adoptée à l’unanimité

Le principe de la création d’un « fonds de solidarité pour l’engagement » est arrêté.

Résolution n°3 adoptée à l’unanimité moins une voix contre et deux abstentions

95% des dons fléchés seront reversés aux Mouvements départementaux. 25% des cotisations seront reversées aux Mouvements départementaux, sous réserve de clauses différentes contenues dans les contrats d’objectifs conclus entre le Mouvement Démocrate et chaque Mouvement départemental.

Résolution n°5 adoptée à l’unanimité moins une abstention

Le Conseil national désigne en son sein une Commission pour statuer sur les appels formés dans un délai de 15 jours contre les sanctions disciplinaires. Les appels ne sont pas suspensifs.

La Commission des appels est composée de cinq (5) membres et deux (2) suppléants, élus par le Conseil National pour trois ans sur proposition du Bureau Exécutif.

La Commission statue à la majorité simple de ses membres sous réserve que la moitié des membres soit présente. La Commission des appels se prononce contradictoirement sur le fondement d’un rapport établi par le Comité de conciliation et de contrôle et des observations écrites produites par les parties.

La Commission des appels rend une décision motivée qui est notifiée à l'intéressé.


Même si elle a été décidée par une majorité des membres du conseil national, l'autonomie n'est pas la bonne solution aux yeux de Corinne Lepage, vice-présidente du MoDem, qui n'a pas pris part à la réunion de samedi.

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François Bayrou sur RMC/BFMTV : Un abus de pouvoir énorme

14 Octobre 2009, 09:00am

Publié par MoDem-Colombes



François Bayrou, Président du Mouvement Démocrate, est l'invité de Jean-Jacques Bourdin, ce mercredi 14 octobre de 8h35 à 8h55, à la radio sur RMC et à la télévision sur BFM TV.

http://www.bfmtv.fr/

Le président du MoDem François Bayrou a qualifié mercredi d'«abus de pouvoir énorme» la candidature de Jean Sarkozy à la tête de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (Epad), assurant que «c'est l'Etat et le pouvoir qui ont tout organisé».

«On est devant un abus de pouvoir qui est tellement énorme, qui est une telle provocation pour les Français», s'est exclamé M. Bayrou sur RMC.

 

L'argument consistant à dire que la candidature de Jean Sarkozy est légitime, car il a été élu conseiller général des Hauts-de-Seine est «une vaste blague», selon lui.

«Si on disait le fils de Poutine est élu dans le 4e canton de Moscou, celui qui comporte tous les fonctionnaires du Kremlin, vous considéreriez sans doute que ce n'est pas tout à fait par ses mérites qu'il a été élu, mais par la protection qui s'est étendue sur lui. C'est exactement la même chose» pour Jean Sarkozy, a argumenté le député des Pyrénées-Atlantiques. «Le canton où ce garçon a été élu est un canton absolument protégé pour l'UMP».

«Ce n'est donc pas l'élection, c'est le choix du parti de son père de le présenter qui a été le fait générateur» de cette candidature, selon M. Bayrou.

«C'est l'Etat et le pouvoir qui ont tout organisé», qui ont «fait démissionner» l'un des représentants des Hauts-de-Seine au conseil d'administration de l'Etablissement public pour laisser la place au fils du président de la République, a-t-il accusé.

«Pour tous les Français, c'est une offense à l'idée de justice» et «nous sommes la risée du monde entier», a déploré l'ex-candidat à la présidentielle.

Selon lui, «en faisant cela, Nicolas Sarkozy ne rend pas service à son fils» ni à «lui-même». Mais «le pire du pire, c'est que personne n'ose aller lui dire». «Tout le département des Hauts-de-Seine et tout le parti majoritaire se couchent devant une décision qui est une décision déraisonnable», a-t-il déploré, dénonçant un «déchaînement de courtisanerie».

http://www.leparisien.fr/politique/un-abus-de-pouvoir-enorme-selon-bayrou-14-10-2009-674298.php

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Cela rappelle l'Empire romain

11 Octobre 2009, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes



Barack Obama méritait-il le prix Nobel de la paix ?

Cette récompense arrive tôt, très tôt. Disons qu'elle salue des intentions et un changement de cap plutôt que des résultats effectifs. En ce sens, c'est un grand défi que les Nobel lancent à Obama. Il faut qu'il obtienne des résultats. Mais au moins a-t-il en peu de mois changé l'image des Etats-Unis dans le monde, et donc un peu aussi l'équilibre du monde. Ce peut être un grand tournant.

L'affaire Mitterrand est-elle close ?
Qui peut savoir ? Lorsque M. Mitterrand a été nommé, ceux qui le nommaient savaient quels étaient ses écrits. Et certains sont violents, à la limite de l'insupportable, comme le genre de vie qu'ils décrivent. Pour moi, je crois et j'espère qu'un homme qui constate l'insupportable de sa vie peut changer. Mais sa fonction de ministre peut être rendue plus problématique...

Nicolas Sarkozy avait fait sa campagne contre Mai 68, faut-il faire l'inventaire de 1968 ?
Je n'ai jamais participé à la vindicte contre 68. Mai 68, ce n'est pas la cause de tous les maux, c'est la conséquence de mouvements très profonds de la société française, qui viennent de très loin. Dans l'héritage de 68, il y a des choses positives du point de vue des libertés, de la prise en main par chacun de son propre destin, d'un sentiment communautaire, et il y a des choses négatives, voire extrêmement négatives, la plus grave étant la dérive qu'on a tolérée et encouragée vis-à-vis de l'enfance et de l'adolescence. Une société qui expose les enfants est une société barbare. Sur ce point, il y aura un jour nécessairement interrogation.

L'ouverture participe-t-elle du brouillage idéologique ?
L'ouverture à la mode Sarkozy, ce n'est pas le dépassement des frontières que j'appelle de mes voeux, c'est la société de communication, du spectacle. On prend non pas des idées, des consciences, mais des figures médiatiques, pour abuser l'opinion publique. Mon idée de l'ouverture est exactement le contraire : la situation de la France est tellement grave qu'il sera impératif de traiter la crise sous forme d'une union nationale. Dans l'infinie dégradation qu'il connaît, depuis l'éducation jusqu'à la justice, ce pays exigera qu'on sorte de l'affrontement des camps et du simplisme pour choisir une voie nouvelle et reconstruire - car il s'agira bien de reconstruire - un pays équilibré.

Pourquoi un tel catastrophisme ?
Voyez ce qui vient de se passer en quelques jours. Dans la même semaine, le gouvernement propose de subventionner les élèves pour qu'ils viennent en classe. Il livre le pactole du marché des jeux sur Internet à des intérêts privés, bookmakers et autres, au mépris des principes que la France respectait depuis 150 ans : le jeu, parce qu'il est dangereux, est organisé par l'Etat. Il annonce que le déficit de l'Etat atteint 50 % de la dépense publique ! Et le fils du président de la République se voit installé (à 23 ans et sans aucune compétence particulière) à la tête de l'établissement public d'aménagement du quartier de La Défense, un des intervenants les plus puissants dans l'aménagement au niveau européen. Tous les piliers solides sur lesquels notre pays s'était construit, en termes de principes, de décence, de raison, chancellent et s'effritent. Cela rappelle l'Empire romain.

Quel est le principal défi de l'après-crise ?
La dette : chaque heure de la journée, quand on fait une dépense publique de 1 000 euros, il faut en emprunter 500 ! Ce déficit a augmenté de 350 % en deux ans ! Et contrairement à ce qu'on dit, les choses ne vont pas s'arranger. Comme Jean Peyrelevade l'a montré, la charge de la dette est devenue telle qu'il ne peut y avoir de rétablissement à politique constante. Pendant des années et des années, tout le travail des Français sera ponctionné pour rembourser, notamment à l'étranger, cette charge qui a été constituée à leur insu. Ce déficit, désormais, fait boule de neige : il semble hors de tout contrôle. Notamment si les taux d'intérêt augmentent. Pour inverser la tendance, il faudra un immense effort national, Etat, collectivités, citoyens. Cela ne se fera pas sans un changement profond, majeur, dans la politique du pays.

Faut-il poursuivre la réduction du nombre de fonctionnaires ?
On peut le faire, si cela n'est pas décidé à l'aveugle et si on sait réorganiser l'Etat. Mais il est illusoire de croire qu'on trouvera là les économies suffisantes.

Faut-il taxer les indemnités liées aux accidents du travail ?
Non, on ne peut pas les considérer comme un salaire normal. C'est la compensation par l'assurance d'un dommage subi. Et il y a souvent des pertes de revenus supplémentaires liées à cet arrêt de travail.

La réforme des collectivités va-t-elle dans le bon sens ?
L'idée principale, rapprochement des départements et des régions, je la défends depuis longtemps. Je suis donc disposé à la soutenir et à la voter, à une condition impérative : qu'il y ait une loi électorale juste, représentant équitablement les grandes sensibilités du pays, comme le fait la loi électorale allemande.

Comprenez-vous les réticences des élus ?
C'est normal, les élus ont envie de conserver leurs prérogatives. Mais le système actuel ne va pas. Il n'est plus possible de conserver deux institutions (départements et régions) avec des élus qui s'ignorent pour faire à peu près la même chose. Moi, je veux changer les choses. Le conservatisme n'est pas une solution.

Partagez-vous la colère d'Alain Juppé sur la réforme de la taxe professionnelle ?
Oui. Les collectivités ont reçu des assurances formelles et l'on découvre que ces assurances ne seront pas respectées. En vérité, quand un impôt est accepté, il faut y toucher avec prudence. Les intérêts qui pèsent sur la décision du gouvernement sont puissants. Mais les milliards qui seront rendus aux industriels les plus puissants, il faudra les prendre à de plus fragiles. Ce sont autant de décisions dont on n'a pas pesé les conséquences.

Après votre échec aux européennes, vous avez formulé une offre de dialogue publique à l'opposition. Avec qui allez-vous discuter ? Ma démarche repose sur cette conviction : face à la dégradation du pays, au dévoiement de son projet national, il faut changer nos institutions, reconstruire complètement la pensée et cette révolution ne peut pas se faire camp contre camp, démagogie contre démagogie. Il faut donc que ceux qui cherchent l'alternance acceptent de se parler, de confronter leur point de vue, sans renoncer à rien de ce qu'ils sont, à leur histoire, à leurs idées. Cette idée avance, je le crois, et j'espère qu'elle se concrétisera dans les semaines qui viennent. J'essaie d'être l'accoucheur d'un espoir crédible pour le pays.

La percée des Verts ne contrarie-t-elle pas votre appel ?
Pourquoi donc ? Je les crois aussi attachés à sortir de l'impasse dans laquelle se trouve la France. Sur le fond j'ai une différence avec eux : l'environnement est un problème pour l'humanité mais je ne crois pas que les problèmes de la société française se résument à l'environnement. Les banlieues, les inégalités sociales, l'école, la santé, la situation des jeunes totalement abandonnés, celle des finances publiques ne se résument pas au problème de l'environnement.

Corinne Lepage et Jean-Luc Bennhamias vous poussent à un accord national avec les Verts. Y êtes-vous favorable ?
Le choix que j'ai fait depuis longtemps, c'est celui du rassemblement. Etre soi-même, et en même temps faire tomber les murs, dépasser les frontières. Avec les écologistes dans certaines régions ? J'y suis ouvert. Mais cela ne nous dispensera pas de construire nos propres forces.


Le Monde 
11/10/09

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France 3 ce soir à 22h40

10 Octobre 2009, 23:00pm

Publié par MoDem-Colombes



Marielle de Sarnez sera l'invitée de Samuel Etienne dans l'émission "7 à voir" sur France 3, dimanche 11 octobre, après le "Soir 3", à partir de 22h40.

Nom : DE SARNEZ

Prénom : MARIELLE

Née le 27 mars 1951 à Paris

Vice-présidente du MoDem

Députée européenne ADLE (Alliance des Démocrates et Libéraux pour l’Europe)

Itinéraire : la barre au centre, toute ! Avec Giscard, Simone Weil, Barre, Gaudin, Bayrou, Balladur, et encore… Bayrou !

Pour se changer les idées : l’Île d’Yeu, le jeu d’échecs, Stefan Zweig et Mozart

Dans la peau de Marielle de Sarnez
par Serge Cimino, Xavier Roman, Olivier Tieth, James Vidal, Eric Marie, Rosales Multon, Daniel Fuet

Numéro 2 du MoDem, Marielle de Sarnez, fidèle entre les fidèles de François Bayrou… Lorsque tout le monde a lâché son chef pour rejoindre Nicolas Sarkozy après la Présidentielle de 2007, elle est restée à son poste, pour vivre jusqu’au bout l’expérience orange… Celle du MoDem, au cœur de toutes les stratégies électorales. Au Parti Socialiste surtout, partagé entre « pro » et « anti » alliance. Les régionales seront un nouveau test pour Marielle de Sarnez et François Bayrou, juste avant d’entamer le sprint vers 2012, ambition déjà affichée de l’homme de Pau.

http://programmes.france3.fr/7-a-voir/

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Rendez-vous avec les élus MoDem du Conseil Régional IdF

10 Octobre 2009, 10:43am

Publié par MoDem-Colombes

Les élus régionaux du MoDem souhaitent partager l’expérience du mandat qui s’achèvera en mars 2010 et nous dresser bilan de l’action du Conseil régional et de celle des élus MoDem au sein de l’assemblée.

La troisième réunion  qui  traitera de « Culture sports tourisme - formation professionnelle »  aura le lieu le : 

  

Mardi 13 octobre

De 20 heures 30  à 22 heures

Accueil : 20 heures

Ancienne mairie

1er étage

68, rue de Houdan

Sceaux   

  

Les élus interviendront mais aussi un expert sur le sujet afin de vous apporter la meilleure compréhension des grands enjeux de l’Ile-de-France.

  

Un débat concernant le futur et permettant d’exprimer les préoccupations et les idées des participants  nourrira le futur programme.

  

Merci par avance de noter les trois  autres rendez-vous  et de diffuser l’information auprès des adhérents :

·         Le jeudi 15 octobre, Bagneux : « Logement –solidarité » qui  traitera de « Logement - solidarité » : de 20 h30 à 22h au Foyer  Coudon, 18 rue Salvador Allende, à Bagneux  

·         Le lundi 19 octobre, lieu à préciser : « Recherche innovation »

·         Le jeudi 22 octobre, lieu à préciser : « Développement durable et discrimination »


Réunions avec les élus MoDem du Conseil Régional IdF

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Le Nouveau Centre se rapproche du MoDem ?

9 Octobre 2009, 22:11pm

Publié par MoDem-Colombes



C’est une première en France. Le Nouveau Centre se rapproche du MoDem pour soutenir le même candidat lors d’une élection en lâchant ainsi l’UMP.

Le premier tour de la législative partielle dans la 12e circonscription des Yvelines aura lieu le dimanche 11 octobre. Richard Bertrand, adjoint au Maire de Poissy, sera le candidat du Mouvement Démocrate.

Le mardi 6 octobre, Christophe Bellengé, délégué Nouveau Centre de la circonscription, a annoncé qu'il "lâchait" le candidat UMP David Douillet au profit du "seul candidat centriste" Richard Bertrand. Dans un communiqué, il déclare : "Sans concertation avec les instances locales, l'UMP parisienne nous a imposé un candidat parachuté, en la personne de M. David Douillet".

"Par respect de la démocratie et du libre choix de nos concitoyens, en dépit des accords avec l'UMP, j'ai décidé d'apporter mon soutien au seul candidat centriste qui se présente à vos suffrages : Richard Bertrand" qui est un "élu de terrain dont la proximité avec nos administrés n'est plus à démontrer", a-t-il ajouté.

Christophe Bellengé "invite donc les électeurs de la 12e circonscription des Yvelines à voter pour lui dès le premier tour".

Richard Bertrand qui porte les couleurs du Mouvement démocrate, est le candidat de la proximité. Dans ses actions d’élu local, il a toujours privilégié le dialogue et l’ouverture, loin des calculs de partis qui ne sont pas l’intérêt général et l’intérêt de nos concitoyens.

"Je suis convaincu qu’il fera un bon député, tout à la fois à l’écoute des préoccupations quotidiennes et vigilant sur la politique du pouvoir qui ébranle nos valeurs communes." François Bayrou 

http://www.richardbertrand2009.fr/

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Donner de l'argent aux élèves en difficulté pour qu'ils aillent en classe ?

5 Octobre 2009, 13:14pm

Publié par MoDem-Colombes

JDD : Donner de l’argent pour que les élèves aillent en classe, c’est une solution ?

François Bayrou : C’est une histoire de dingue. Une dérive inacceptable, un incroyable déplacement des valeurs de nature à troubler encore un peu plus les repères des enfants. A l’école, l’argent ne devrait pas avoir droit de cité. L’école pour les familles est le ieu où ce qui compte n’est pas l’argent mais le savoir, le respect et l’autorité. Au fond, on en arrive à considérer que l’assiduité à l’école n’est pas une chance offerte à l’enfant, mais une attitude à récompenser. On ne peut pas fausser l’esprit des élèves à ce point. Dès l’instant où un tel principe est accepté, on peut craindre qu’il ne soit généralisé. Les enfants diront: "je ne viens pas parce que tu ne me donnes pas de thune!"

Mais en Angleterre, où, depuis 2008, des adolescents de 16 à 18 ans sont payés entre 11 et 33 euros par semaine pour aller en cours, ce type de mesures semble marcher…

C’est exactement la société dont je ne veux pas. Là-bas, l’école est payante et très chère. L’idée qu’il faudrait entrer dans un système de "marchandisation" de l’école est mauvaise. Payer pour aller à l’école ou se faire payer pour aller à l’école, c’est la même chose. Il faut se battre pour arracher l’école au monde de l’argent. Mais l’absentéisme a touché, l’an dernier, 438 000 élèves en France. Comment leur donner envie de suivre les cours ? C’est effectivement un chiffre inacceptable. Mais pour les ramener à l’école, il faut de l’autorité et des établissements différents. Quand j’étais ministre de l’Education nationale, j’avais créé des collèges "hors les murs" qui proposaient une formation moins académique et plus d’apprentissage. On y responsabilisait les adolescents, mais sûrement pas par le porte-monnaie.

N’est-ce pas déjà trop tard ?

Je me bats pour que la société ne soit pas asservie à l’argent, spécialement à l ’école. Nous sommes entrés dans un modèle de société où l’argent est considéré comme maître et seigneur. C’est comme si, au sein d’une famille, un parent disait à son enfant: "je te donnerai de l’argent si tu acceptes de venir manger à table ou de prendre une douche". Ils sont devenus fous !

N’est-ce pas la conséquence des précédentes politique d’éducation ?

Ce n’est pas vrai. Il y a quinze ans, l’école n’était pas dans cet état. Quand j’étais ministre de l’Education, 15% des enseignants disaient vouloir changer de métier ; aujourd’hui, ils sont 65 %. Je ne dis pas que c’était grâce à moi, mais les choses se sont vraiment dégradées. Je ne jette la pierre à personne, c’est difficile de diriger l’Education nationale.

Nicolas Sarkozy entend "mener une guerre sans merci contre les décrocheurs…"

Il faut livrer la bataille contre l’abandon des jeunes du système scolaire mais je ne suis pas sûr qu’il faille utiliser des termes aussi violents. Depuis des années, on passe son temps à tenir des discours va-t-en-guerre et en même temps tout s’aggrave dans les prisons, les banlieues, l’école.

Cela vous étonne-t-il que Martin Hirsch, haut-commissaire à la Jeunesse, cautionne ces mesures ?

De ce gouvernement-là, rien ne m’étonne. Avec eux, la France est entrée dans le cercle des pays qui considèrent que l’argent est la valeur prédominante. J’imaginais que Martin Hirsch ne serait pas partie prenante de ce système. Cela prouve que c’est tout le gouvernement qui va dans ce sens.

Est-ce pour vous une mesure symbolique du sarkozysme ?

Je ne vois pas par quel chemin un responsable de la République française peut en arriver à ce genre de réflexion. Ce sont des raisonnements courants dans la société britannique ou américaine, mais le principe est inacceptable en France. Tous les jours, l’école est contaminée par l’argent : ainsi les leçons particulières se généralisent, elles sont même déductibles des impôts, et rares sont les étudiants qui, aujourd’hui, réussissent le concours de médecine sans avoir recours à des "écuries d’entraînement". Il y a un moment où notre pays doit choisir son cap.

http://www.lejdd.fr/Societe/Education/Actualite/Bayrou-Ils-sont-devenus-fous-139334/

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Au fil de l'actu vue du MoDem

29 Septembre 2009, 20:58pm

Publié par MoDem-Colombes

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Infos média : F. Bayrou

23 Septembre 2009, 14:52pm

Publié par MoDem-Colombes



François Bayrou sera l'invité de :

- l'émission questions d'info sur LCP-AN, en partenariat avec France Info et l'AFP, ce soir mercredi 23 septembre à 21h30 ;

- Jean-Michel Apathie sur RTL, jeudi 24 septembre à 07h50 ;

- l'émission "Face aux Chrétiens", jeudi 24 septembre à 17h sur RCF, et à 18h30 sur radio Notre-Dame. Retrouvez la synthèse de l'émission dans la Croix, vendredi 25 septembre.

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