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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

Un Samedi au Siège du MoDem ?

9 Janvier 2009, 01:53am

Publié par MoDem-Colombes



Demain, Samedi 10 janvier 2009, vous pouvez passer une journée au Siège du Mouvement Démocrate à Paris, 133 bis rue de l'Université, Paris 7e


(1) de 9h00 à 13h00

Séance de formation Europe pour les adhérents franciliens

Plusieurs modules sont proposés : les institutions de l'Union européenne, les grandes étapes de la construction européenne, les valeurs et les politiques de l'Union européenne.
Le nombre de places étant limité, inscription : http://lesmilitants.fr/europe/
 

(2) de 14h00 à 18h00

Le Mouvement Démocrate parisien et sa présidente, Marielle de Sarnez, nous invitent à une journée « Portes ouvertes » 

"Parce que la politique est le fait de tous les citoyens, il est important d’ouvrir nos portes afin que chacun puisse découvrir la vie de notre Mouvement et participer à ses débats.


Lors de cette journée, nous accueillerons Augustin Legrand, co-fondateur de l’association les Enfants de Don Quichotte, afin de l'entendre sur la question du logement et de l’exclusion."

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Bayrou a la cote !

8 Janvier 2009, 01:06am

Publié par MoDem-Colombes


Voici les nouvelles cotes d'avenir des personnalités du baromètre mensuel Sofres, réalisé du 2 au 5 janvier, pour le Figaro magazine,
.
Bernard Kouchner :  48% (-4 points par rapport à décembre) des personnes interrogées le voient jouer un rôle important "dans les mois et les années à venir". 
Bertrand Delanoë : 45% (+2)
Martine Aubry : 45% (-4)
Jean-Louis Borloo : 41% (=)
François Bayrou : 40% (+4)
Olivier Besancenot : 40% (-3), et
Dominique Strauss-Kahn : 40% (-1).

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Les voeux de François Bayrou

29 Décembre 2008, 23:59pm

Publié par MoDem-Colombes


"Il existe un autre chemin et nous allons le construire."
Extrait voeux de François Bayrou pour 2009
Voir la vidéo complète : http://www.dailymotion.com/video/k2mFIhkvXajm1YTdP9

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Le PS a rejeté toute alliance avec le MoDem ?

26 Décembre 2008, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes



L'année politique aura été marquée - entre autes - par le nouveau texte d’orientations politiques 2008-2011 du parti socialiste, qui rejette toute alliance avec le MoDem se fondant sur le fait que la formation de François Bayrou « prône aujourd’hui une politique économique et sociale qui se situe aux antipodes de nos orientations. »

N’y a-t-il pas erreur sur l’adversaire ? L'analyse du contexte actuel, issu d’un an et demi de politique de Nicolas Sarkozy, est étrangement absente de ce texte, sauf une mention relative à « la politique brutale et honteuse de Nicolas Sarkozy et Brice Hortefeux » en matière d’immigration.

Ainsi, le prochain candidat à la présidentielle de gauche qui fera 25% au premier tour pourra s'adresser aux verts, aux communistes, aux partis anti-capitalistes (qui ont à eux tous fait à peu près 10% aux dernières élections), mais pas au centre qui a fait plus de 18%...

"Nous refusons toute alliance avec le Modem", a donc écrit celle qui en a passé un à Lille en mars dernier pour les municipales.

Clin d'oeil : Benoît Hamon, porte-parole du PS et François Bayrou sont ici côte à côte pour ... la Liberté de la Presse.

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Week-end médias Marielle de Sarnez

19 Décembre 2008, 00:14am

Publié par MoDem-Colombes

Marielle de Sarnez sera l'invitée de l'émission:

-Dimanche+ présentée par Anne-Sophie Lapix, dimanche 21 décembre à 12h40 sur Canal+.

- " le grand RDV" sur Europe 1 dimanche 21 décembre à 10 heures

-Médiapolis présentée par Michel Field et Olivier Duhamel sur Europe 1, samedi 20 décembre à 10 heures

-"Parlement Hebdo" présentée par Emmanuel Kessler et Emilie Aubry sur Public Sénat samedi 20 décembre, à 8h15. L'émission sera rediffusée samedi 20 à 15h45 et dimanche 21 à 01h00.

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Le MoDem met le cap sur l'Europe

7 Décembre 2008, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

Le Mouvement Démocrate lancera sa campagne pour les élections européennes lors d'une "conférence nationale" le 8 février à Paris, avec l'ambition de faire "de nouveau aimer" l'Europe aux Français, a annoncé samedi son président François Bayrou, à l'issue du conseil national de ce samedi 6 décembre 2008. "Le peuple français a cru profondément" en l'Europe mais "aujourd'hui, il y a comme un éloignement", a estimé devant la presse François Bayrou. Pendant sa campagne, le MoDem s'efforcera d'"imposer les changements nécessaires pour que de nouveau, les Français croient à l'Europe, aiment, soutiennent, l'idéal européen", a-t-il ajouté. 

 


"Le MoDem est la seule formation politique à pouvoir avoir ce genre de réflexion, puisque toutes les autres sont coupées en deux, entre anti et pro-européens".

Les quelque 300 membres du conseil national (structure qui correspondait au bureau politique du temps de l'UDF) ont adopté un calendrier et une procédure pour la désignation des candidats, a précisé le leader centriste. Le parti, qui veut présenter des candidats dans les huit circonscriptions, lance ce samedi 6 décembre le recueil des candidatures, jusqu'au 31 décembre.

Les 13 et 20 janvier, le bureau exécutif examinera le rapport du groupe de travail sur la préparation des listes, placé sous la responsabilité du sénateur-maire d'Arras (Pas-de-Calais) Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président du MoDem, qui n'est pas lui-même candidat.

Les listes adoptées en bureau exécutif seront soumises au vote par internet des adhérents, du 24 au 28 janvier. Selon M. Bayrou, "plus de 40.000" sont actuellement à jour de cotisations, et "entre 60.000 et 70.000" devraient l'être d'ici la consultation.

Après validation des listes, les principaux candidats participeront à la conférence nationale du 8 février, "quatre mois jour pour jour" avant le scrutin, dans la salle parisienne de la Mutualité.

Depuis plusieurs semaines, 16 "groupes de projet" composés de 3.200 adhérents du MoDem et placés sous la responsabilité de la députée européenne Marielle de Sarnez planchent par ailleurs sur diverses thématiques.

 

Calendrier de préparation pour les élections européennes

Jean-Marie Vanlerenberghe, vice-président du Mouvement Démocrate est nommé président du groupe de travail chargé de préparer les élections européennes.

- 6 décembre 2008, appel à candidatures auprès des adhérents du Mouvement Démocrate

- 31 décembre 2008, clôture de l’appel à candidatures

- 13 et 20 janvier 2009, examen par le Bureau exécutif du rapport du groupe de travail sur le

profil des candidatures et les propositions de listes

- 24-28 janvier 2009, consultation des adhérents par Internet

- 3 février 2009, validation de la consultation par la commission électorale

- 8 février 2009, Conférence nationale à l’occasion de laquelle seront présentés les candidats

du Mouvement démocrate aux élections européennes.

Un Conseil national aura lieu avant la Conférence nationale pour accorder les investitures.

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Interview à la Tribune

6 Décembre 2008, 02:49am

Publié par MoDem-Colombes

Le président du Modem souligne les manques et les faiblesses du plan de relance de 26 milliards d'euros que vient d'annoncer le Chef de l'Etat. Il propose des remèdes différents face à la crise. Et donne un coup de griffe au Fonds souverain lancé par le gouvernement avec la Caisse des dépôts.

La Tribune - Quel jugement portez-vous sur le plan de relance qu’a présenté Nicolas Sarkozy le 4 décembre ?
 

François Bayrou - Dans la lutte contre la crise économique, la nouvelle la plus importante du 4 décembre, c’est la baisse massive des taux d’intérêt de la banque centrale européenne. La BCE se montre aujourd’hui active et réactive, après s’être montrée prudente quand il le fallait. Contre toute critique, elle s’est révélée beaucoup plus avisée que son homologue américaine qui, avec sa politique de taux effondrés et son insouciance quant aux risques bancaires, porte une lourde responsabilité dans la crise actuelle.


- Le plan Sarkozy ne vous semble pas à la hauteur ?

 

- Je ne pense pas que ce plan soit de nature à mettre un terme à la crise, ni même à créer un sursaut de croissance notable. Les moyens de la France sont extrêmement faibles par rapport à ce qu’il faudrait mobiliser pour rétablir la croissance et la confiance. Sans doute, le gouvernement fait-il ce qu’il peut, mais il peut si peu...


- Il s’agit tout de même de 26 milliards d’euros.

 

- Quand j’analyse le plan, je ne vois que 4 milliards d’euros d’investissements publics véritablement nouveaux. Et encore les liaisons ferroviaires à grande vitesse ont-elles été déjà annoncées plusieurs fois… Quatre milliards, c’est à peine 0,25% du PIB français. On est loin du seuil critique d’une action publique. Cela ne suffira donc pas à faire repartir une machine économique profondément encalminée. Et il ne faudra pas longtemps pour qu’on s’en aperçoive.


- Outre les investissements, il y a également les remboursements des créances détenues sur l’Etat. Cela va soulager la trésorerie des entreprises.

 

- C’est une bonne orientation, même si on ne fait qu’anticiper sur des obligations prévues et se conformer aux règles de bonne gestion. Car le vrai scandale, c’est d’avoir laissé se créer une telle dette ! Les entreprises, dont les factures traînaient inconsidérément, pour qui les remboursements tardaient, ont servi à faciliter la trésorerie de l’Etat. Et ce, depuis des années, avec la même majorité qu’aujourd’hui…


- Le plan Sarkozy prévoit aussi de simplifier l’accès des PME aux marchés publics, en supprimant les appels d’offres pour toute commande de moins de cinq millions d’euros. Voilà une mesure en faveur des entreprises.

 

- Autant je souhaite la simplification des procédures publiques, autant je me méfie de l’arbitraire. Je vois venir une situation où les règles de prudence en matière de marchés publics vont être mises à mal. Il y a un niveau de marchés où il n’est pas raisonnable d’accepter le gré à gré. Il m’étonnerait bien que le Conseil Constitutionnel n’ait rien à redire. C’est la lutte contre la corruption ordinaire et la défense de l’argent public qui sont en jeu.


- Parmi les mesures annoncées, il y en a une qui rejoint l’une de vos propositions de 2007, la suppression des charges pour les embauches dans les très petites entreprises.

 

- - Ma proposition était très différente, il s’agissait d’exonérer de charges deux emplois nouveaux, pour cinq ans, et quelle que soit la taille de l’entreprise et la nature des postes. Dans la mesure Sarkozy, l’exonération ne vaut que pour 2009, seulement pour les entreprises de moins de 10 salariés, et seulement pour les salaires les plus modestes. Autant dire que l’on crée une nouvelle trappe à bas salaires. Et cela sera sans effet, car l’exonération ne vaut que pour 2009, et cet horizon trop court va les dissuader d’utiliser ce dispositif. De même je n’ai pas l’impression que la prime à la casse pour les véhicules anciens soit à la hauteur de la crise. Je crains que les inquiétudes des Français soient trop importantes pour être levées par mille euros de subvention. J’aurais préféré qu’on soutienne la recherche et le développement pour accélérer la mutation industrielle du secteur automobile vers les véhicules propres.


Le « fonds souverain » à la française, créé il y a quelques semaines, va justement contribuer à soutenir la filière automobile française.

 

- Je n’ai jamais compris de quoi il s’agissait. Ce fonds est, paraît-il, doté de vingt milliards d’euros, dont 14 d’actifs de la Caisse des Dépôts déjà mobilisés… Autant dire qu’avant d’habiller Pierre, il va falloir déshabiller Paul. Quant à sa finalité, on nous explique qu’il s’agit de protéger des prédateurs les entreprises françaises. Je comprends qu’on va faire grimper le cours de bourse d’entreprises choisies par le pouvoir. Est-ce véritablement le rôle de l’Etat, est-ce la fonction de l’argent public ? J’aurais voulu un vrai fonds souverain, qui intervienne à l’extérieur de nos frontières, pour prendre des participations dans des entreprises au savoir-faire stratégique, avec lesquelles les coopérations seraient profitables à la France.


- Que peut-on faire dans une crise comme celle que nous vivons ? Vous-même, pendant la campagne, n’avez cessé de mettre en garde les électeurs contre la croissance de la dette française.

 

- Si nous n’avons pas les marges suffisantes aujourd’hui, c’est justement parce que nous avons gaspillé nos marges de manoeuvre, comme je le redoutais à l’époque. Regardez les Etats-Unis : malgré la folie de la guerre en Irak, leur dette nette est bien moins élevée que la nôtre, hors engagements de retraite, car ils ont accumulé les excédents lorsque la croissance était forte. Ce que nous n’avons pas fait. Le gouvernement actuel ne peut donc que constater son impuissance. Il a lui-même gaspillé le peu de ressources que nous avions, avec son « paquet fiscal » de 2007. C’était une cartouche tirée en l’air.

- Alors, que faire aujourd’hui ?
 

- De l’investissement public massif, dans les infrastructures et la recherche. Pour financer cet effort, j’aurais voulu que nous levions un grand emprunt européen, de 3% du pib, soit environ 400 milliards d’euros. Un emprunt garanti sinon par les 27 de l’Union, du moins par les états de l’Eurogroupe,. Chaque état pourrait tirer ou non sur sa quote-part, en fonction de l’état de son économie. La solidarité se manifesterait par la mutualisation, la garantie que tous les États de la zone apporteraient en commun à l’initiative. Avec cet ordre de grandeur, nous aurions une chance de faire reculer la crise.


- On voit bien que l’Allemagne est rétive, devant l’idée d’une relance européenne. Angela Merkel ne semble pas partager les préoccupations communes.

 

- C’est l’éloignement entre la France et l’Allemagne qui pose problème. Et j’attribue ce malaise d’abord à la volonté française de tirer la couverture à soi, à une attitude qui met systématiquement l’autre en accusation. Cela dit, je crois que l’Allemagne en viendra à soutenir son économie. Si la crise est conforme à ce que tout le monde craint, tout le monde va être obligé de relancer massivement.


- Vous êtes donc critique sur toute la ligne ?

 

- Je ne reproche pas à Nicolas Sarkozy son comportement dans la crise. J’ai voté le plan de sauvetage des banques, en n’oubliant pas la contribution intellectuelle du Premier ministre britannique, Gordon Brown, à ce plan. Bien sûr, on « survend », on en fait trop. Mais derrière le rideau de la crise, on est en train de prendre des mesures qui portent atteinte au projet de société républicain français.


- C’est-à-dire ?

 

- J’en vois au moins trois dans l’actualité récente. Le travail du dimanche, la retraite à 70 ans et la main mise du pouvoir sur l’audiovisuel public. Trois décisions qui portent atteinte au projet de société français. Et, si nous n’y prenons pas garde, elles seront irréversibles. Le devoir de ceux qui partagent ce diagnostic, c’est de réfléchir aux conditions d’une alternance possible, le moment venu.


- Allez-vous pouvoir préparer cette alternance avec Martine Aubry, qui vient d’être désignée Premier secrétaire du Parti socialiste ?

 

- Ce qui l’a emporté au PS, c’est la fermeture. C’est une posture, bien sûr, mais elle est éclairante. Le PS choisit de s’enfermer, comme si le temps était au sectarisme. Je crois qu’il se trompe mais c’est son affaire… Ma vision est très différente. Comme je crois que l’essentiel est en cause, je suis sûr que pour obtenir l’alternance, il faudra rassembler. Vous savez, les Français qui n’aiment pas ce qu’on est en train de faire de la France ne viennent pas que de la gauche. Il y en a au centre, beaucoup. Il y en a aussi parmi les républicains de droite. Pour gagner, il faudra les rassembler autour de valeurs fondatrices, et d’abord il faudra les respecter. Tous.


Propos recueillis par François Lenglet
(c) La Tribune 06/10/08

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Pour l'indépendance et le pluralisme des médias

5 Décembre 2008, 23:39pm

Publié par MoDem-Colombes

L'appel de Marianne pour l'indépendance et le pluralisme des médias

Bientôt, le président de la République pourra nommer et révoquer les présidents de France télévisions et de Radio France. Internautes, réagissez ! Rejoignez les premiers signataires de l'appel de Marianne pour l'indépendance et le pluralisme des médias.
 
Au nom des principes de la démocratie et des valeurs républicaines, les soussignés demandent au Parlement de renoncer à la loi qui permettrait au président de la République de nommer et de révoquer les présidents de France Télévisions et de Radio France.

Ils rappellent que la télévision et la radio publiques n’appartiennent pas au pouvoir politique, quel qu’il soit, mais à tous les citoyens.

Ils réitèrent leur engagement à défendre l’indépendance de la presse et le pluralisme de l’information.

Martine Aubry (première secrétaire du Parti socialiste), Ségolène Royal (présidente de la région Poitou-Charentes), François Bayrou (député, président du MoDem), François Léotard (ancien ministre de la Culture et de la Communication), Jean-Pierre Chevènement (sénateur), Nicolas Dupont-Aignan (député), Jack Lang (député), Noël Mamère (député), Jean-Luc Mélenchon (sénateur), Marielle de Sarnez (députée européenne).

Annick Coupé (porte-parole du syndicat SUD), Jean-Claude Mailly (secrétaire général de Force ouvrière), Bernard Van Craeynest (président de la CFE-CGC), Jacques Voisin (président de la CFTC), Anousheh Karvar (secrétaire nationale de la CFDT).

Hervé Bourges (ex-PDG de TF1, de France Télévisions et du Conseil supérieur de l’audiovisuel), Michèle Cotta (ex-présidente de la Haute Autorité audiovisuel), Jean-Claude Guillebaud (écrivain, journaliste), Laurent Joffrin (président de Libération), Jean-François Kahn (écrivain, journaliste, cofondateur de Marianne), Edwy Plenel (directeur de Médiapart), Philippe Val (directeur de Charlie Hebdo), Bernard Stiegler (philosophe).


Vous aussi, signez l'appel de Marianne pour le pluralisme des médias, cliquez ici.

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Et un Bayrou matin et soir...

2 Décembre 2008, 00:00am

Publié par MoDem-Colombes

Aujourd'hui mardi 2 décembre

Le Président du Mouvement Démocrate François Bayrou est l'invité de Jean-Michel Apathie, à 7h50 sur RTL.

Il sera l'invité du Grand Journal de Michel Denisot, à 19h10 sur Canal + (en clair).

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Bon anniversaire au MoDem !

1 Décembre 2008, 00:01am

Publié par MoDem-Colombes

Aujourd'hui le MoDem a officiellement un an d'existence ! 

Le 1er décembre 2007, après quatre heures et six minutes de débats ininterrompus, le Congrès fondateur adoptait les statuts à l'unanimité moins 2 voix contre et 2 abstentions.

 

Retour sur une année palpitante.

 

François Bayrou avait annoncé la création d’un nouveau parti démocrate le 24 avril 2007. Le conseil national de l’UDF a voté le 10 mai 2007 le principe de la création du Mouvement démocrate (MoDem).  Un meeting de lancement du MoDem a eu lieu le 24 mai 2007 au Zénith de Paris.  La première université d'été (Forum des démocrates) s'est déroulée du 13 au 16 septembre 2007 à Seignosse.


• 1-2 décembre : Congrès fondateur de Villepinte. François Bayrou est élu président du MoDem. Les statuts, la charte éthique et la charte des valeurs sont adoptés.

 

• 19 janvier : Élection, dans les régions, des membres du Conseil national (collège des adhérents) et en Mai, après les municipales, suite de l’élection des membres du Conseil national (collège des élus).

 

• 14 mai : Premier conseil national. Le règlement intérieur national est adopté.

 

• 8 juin : Convention sur l'Europe et second Conseil national. La nomination de six vice-présidents est approuvée. Gilles Artigues est élu Médiateur des adhérents. Le Comité de contrôle et de conciliation est élu provisoirement (il sera définitivement élu le 6 décembre, après examen de l’ensemble des candidatures).

• 20 juin - 17 Juillet : Consultation des adhérents sur une contribution de François Bayrou. Celle-ci recueille l’approbation de 99 % des 15 458 suffrages exprimés.

 

• 9 juillet : Troisième Conseil national. Ce dernier délègue au Bureau exécutif les investitures aux sénatoriales.

• 5-7 septembre : Université de rentrée (deuxième université d’été) et quatrième Conseil national à Cap Esterel.

 

• 27 septembre : Première élection des Mouvements départementaux ("MoDep") et des membres de la  Conférence nationale.

• 4 et 5 octobre : Week-end national de travail des commissions.

• 26 octobre : Première Conférence nationale (précédée du cinquième Conseil national), à la Maison de la Mutualité à Paris. Le règlement intérieur est définitivement adopté. Deux amendements sont apportés aux statuts (l’un y inscrit le principe de présidence collégiale des "MoDep" introduit par le règlement intérieur ; l’autre prévoit que des précisions de fonctionnement, comme sur la répartition des sièges au Conseil national, puissent y être annexées).

Le prochain Conseil national (6ème) se tiendra le samedi 6 décembre 2008 de 9h30 à 13h00 au siège du Mouvement Démocrate Ordre du jour : Élection du Comité de contrôle et de conciliation.

 

Longue vie au Mouvement Démocrate ! 

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