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Le Blog du MoDem de Colombes

le projet de francois bayrou

2 - Commissions d'étude, débats et projet ; 3 - Mouvements départementaux ; 4 - Mouvement Internet ; 6 - Comité de conciliation et de contrôle

3 Mai 2008, 11:08am

Publié par MoDem-Colombes

2 - Commissions d’étude, débats et projet

a - Mise en place des commissions

- Les commissions d’étude sont mises en place sur décision du bureau exécutif. Un vice-président est en charge du fonctionnement des commissions.

b - consultations du mouvement

- sur décision du président, ou des deux tiers du bureau exécutif, ou du conseil national statuant à la majorité, une consultation des adhérents du mouvement peut être organisée. Cette consultation se fait sur présentation de contributions, signées par au moins cinq membres du bureau exécutif, ou vingt membres du conseil national, ou 300 adhérents issus d’au moins dix mouvement départementaux. Sur décision du conseil national, le vote est organisé, soit par correspondance, soit le même jour dans l’ensemble des départements.

c - élaboration du projet

- le projet du mouvement est adopté par le congrès, et dans l’intervalle des congrès, par la conférence nationale. Il est obligatoirement réexaminé par chaque congrès ordinaire. Le projet est préparé par un groupe de travail sous l’autorité du président du mouvement. Le responsable des commissions est obligatoirement membre de ce groupe de travail.

3 - Mouvements départementaux

a - composition des instances

- Option : (A) -

 -  Option :

1. Ne peuvent se présenter au deuxième tour que les deux candidats arrivés en tête au premier tour. Si l’un des candidats arrivés en tête ne se représente pas, le troisième est qualifié.  

2. Ne peuvent se présenter au deuxième tour que les candidats ayant obtenu au moins 12,5 % des suffrage exprimés au premier tour.

- Les vice-présidents dont le nombre est déterminé par le conseil départemental, et doit être au moins égal à quatre lors de la première élection.

- Option :

- sont élus au scrutin de liste, à la représentation proportionnelle à la plus forte moyenne.

- sont élus au scrutin uninominal majoritaire à deux tours.

(B) -

Le président du mouvement départemental est élu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours. Au premier tour, la majorité absolue des suffrages est requise.

  - 
la direction des mouvements départementaux est collégiale. Une « présidence » est élue à la tête des mouvements départementaux. Elle comprend (cinq) membres, désignés par les adhérents à l’issue d’un scrutin à la représentation proportionnelle, à la plus forte moyenne, sur listes complètes. Les membres de la présidence s’obligent à une action solidaire et prennent un engagement de solidarité à l’égard de la présidence dont ils sont membres. La présidence désigne en son sein un président et quatre vice-présidents. Les membres de la présidence répartissent en leur sein les fonctions d’animation, ou désignent en commun des délégués pour exercer ces missions. La présidence désigne un trésorier. Le président représente le mouvement départemental au sein du conseil national. S’il est membre du conseil national à un autre titre, la présidence désigne un autre représentant. Le délégué départemental assume les relations entre les instances nationales et le mouvement départemental. Il est garant du respect des statuts nationaux.

b - Contentieux :

le contentieux concernant les élections à la présidence du mouvement départemental est soumis à la commission nationale de conciliation et de contrôle selon les règles exposées à l’article 4.

c - Défaillance :

en cas de défaillance d’un mouvement départemental dans l’exercice de ses missions, la Commission de conciliation et de contrôle propose au bureau exécutif la suspension des instances. Dans ce cas une mission du bureau exécutif est désignée pour réaliser un audit du mouvement départemental, proposer toute mesure conservatoire utile, et convoquer une assemblée générale. La mise sous tutelle peut s’accompagner de la nomination d’un médiateur ou d’un administrateur provisoire.

d - Sections :

Le bureau du mouvement départemental décide de l’organisation territoriale de chaque mouvement.

e - unions régionales

Les mouvements départementaux s’organisent en unions régionales.

4 - Mouvement internet :

• La fédération internet du mouvement démocrate organise les modalités d’engagement et de débat des adhérents et des sympathisants qui en manifestent le désir. Cette fédération ne se substitue pas à la vie des mouvements départementaux. Elle n’a pas compétence pour distribuer des investitures. Les objectifs de cette organisation sont définis comme suit : informer et organiser les débats d’idée et d’actualité, permettre une meilleure démocratie interne, donner à chacun des membres qui s’y rattachent les informations et les arguments nécessaires à son engagement. Cette fédération est animée par un comité désigné par le bureau exécutif et renouvelé tous les semestres. Tout adhérent qui participe à la fédération internet est en même temps rattaché à un mouvement départemental ou territorial.

5 - Organisation des Jeunes démocrates :


texte à définir avec les responsables des jeunes.

6 - Comité de conciliation et de contrôle :

-  Le comité de conciliation et de contrôle est composé de neuf membres élus par le conseil national sur une liste arrêtée par le bureau exécutif. La liste peut être plus large que le nombre de postes à pourvoir. Dans ce cas, les neuf personnes ayant obtenu le plus de voix sont élues.

 

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Projet de Règlement intérieur national du MoDem : 1 - L'adhérent

3 Mai 2008, 10:30am

Publié par MoDem-Colombes

PROJET DE RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Projet mis en ligne le samedi 3 mai

(Le texte qui sera proposé au conseil national du 14 mai sera adopté par le bureau exécutif le 6 mai)

Réunion de travail sur le règlement intérieur du Mouvement Démocrate

Jeudi 8 mai, de 14h00 à 18h00, réunion de travail ouverte à tous les adhérents sur le règlement intérieur autour de François Bayrou, au siège du Mouvement Démocrate.


1 - L’adhérent

a - l’adhésion est ouverte à tout citoyen français et européen, ou à toute personne d’une autre nationalité résidant en France, âgé(e) de 16 ans révolus.

b - L’adhésion d’une personne ne relevant pas de ces catégories est autorisée après instruction par le bureau exécutif.

c - agrément :

-

l’adhésion est subordonnée à l’agrément du bureau exécutif. Si cet agrément est refusé par le bureau, la décision est susceptible d’appel devant le comité de conciliation et de contrôle. L’absence de réponse dans un délai de 21 jours vaut agrément.

d - rattachement :

-

le nouvel adhérent est rattaché au Mouvement départemental où est établi son domicile principal. Toute exception à ce principe doit être justifiée soit par l’inscription sur les listes électorales, soit par le siège de l’activité professionnelle. Les exceptions sont acceptées par une délégation compétente du bureau exécutif.

e - accueil :

-

tout adhérent reçoit lors de son adhésion une carte, un exemplaire des statuts, des chartes, du règlement intérieur national et du règlement intérieur de son mouvement départemental de rattachement. Il est informé des groupes de travail thématiques, locaux ou nationaux, du mouvement.

-

Son adhésion est transmise au Mouvement départemental de rattachement.

-

chaque mouvement départemental organise régulièrement des sessions d’accueil des nouveaux adhérents.

f - information :

-

tout adhérent a droit à l’information sur la vie du mouvement et sur ses positions. Cette information est disponible sur internet, ou sur demande, par lettre d’information écrite. Dans ce dernier cas, il est demandé un abonnement à prix coûtant.

g - formation :

-

une session d’accueil est organisée à l’intention des nouveaux adhérents. Un programme de formation est proposé à tous les adhérents, gratuitement sur internet, ou en sessions organisées et assumées par les adhérents eux-mêmes.

-

des dossiers de documentation et d’argumentaires sont mis à la disposition des adhérents sur internet, ou, sur demande, par documents papiers. Dans ce dernier cas, les frais d’acheminement sont à la charge des adhérents.

-

Les universités de rentrée sont organisées pour permettre des formations et des débats d’approfondissement.

h - Démission :

-

La démission est prononcée par écrit, soit auprès de la présidence départementale, soit auprès de la présidence nationale. Le destinataire doit en accuser réception et tenir informées les instances compétentes. Le démissionnaire dispose de deux semaines pour reprendre sa démission auprès du même destinataire.

-

Si la démission n’est pas prononcée par écrit, mais rendue publique oralement, l’instance départementale ou nationale compétente en prend acte par une communication écrite au démissionnaire. La démission peut être reprise dans le délai de deux semaines.

i - Radiation :

-

la radiation est prononcée soit en raison du non-renouvellement de l’adhésion, après la procédure de rappel conforme aux statuts, soit au terme de la procédure d’exclusion sur décision de la commission de conciliation et de contrôle après saisine et procédure contradictoire conformément à l’article ci-dessous.

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Les Français veulent de la profondeur, pas de l'apparence...

24 Avril 2008, 16:17pm

Publié par MoDem-Colombes

Dans l'édition du 24 avril du Parisien, François Bayrou répond aux questions de Martine Chevalet. Cette interview intervient alors qu'un sondage CSA le place favori pour occuper les fonctions de Premier ministre du gouvernement de Nicolas Sarkozy....

 C'est un paradoxe! 39% des Français (dont 45% des sympathisants de gauche) aimeraient voir François Bayrou à Matignon. Autant dire qu'ils souhaitent l'impossible. Car le centriste se pose en premier opposant au président. Et il est en retour honni par l'Elysée où se rédigent même des notes pour l'éliminer politiquement.

MC : Les Français vous verraient bien Premier ministre de Sarkozy. Cela vous surprend ?

FB : Ils sont terriblement soucieux de l'évolution du pays. Or, depuis le premier jour, j'ai annoncé vers quelle situation grave nous conduirait la multiplication des promesses intenables. A l'époque, ce n'était pas compris, car tout le monde revait au "tout devient possible" que Nicolas  Sarkozy avait choisi pour slogan. Aujourd'hui, on commence à voir la gravité des choses. Les français se demandent "qui nous avait dit la vérité?".

MC : Vous incarneriez le retour au principe de réalité ?

FB : La question principale en démocratie, c'est la confiance. Et il n'y a confiance que si l'on dit la vérité.

MC : Vous leur diriez, vous, que les caisses sont vides ?

BF : Pire que vides. La dette la plus implacable de notre histoire. On a déjà eu des dettes par le passé, mais on avait la dévaluation pour effacer l'ardoise. Ce n'est plus le cas. Désormais, la totalité du remboursement de la dette est pompée sur le travail des Français. Et on continue à creuser! Notre déficit s'est aggravé de dix milliards depuis l'élection de Sarkozy!

MC : Ce sondage ne vous fait-il pas réfléchir à votre stratégie d'indépendance absolue?

FB : C'est parce que je suis indépendant que les Français me donnent des signes de confiance.

MC : Mais meme des sympathisants Modem plébiscitent votre entrée à Matignon...

FB : Je comprends qu'ils rêvent de voir un jour leurs idées au pouvoir... Mais, tant que les institutions n'auront pas changé, c'est le président qui commande. Et on ne peut gouverner valablement que si l'on est accord avec lui.

MC : Que peut dire Sarkozy ce soir pour arrêter sa chute dans les sondages ?

FB : Le problème est, à l'origine, dans sa campagne, et aussi en lui, dans ses goûts et ses choix. Or, la France est la France : un peuple de citoyens qui veulent de la profondeur, pas de l'apparence. Un homme peut-il changer en profondeur? Franchement, je n'y crois guère.

MC : Vous réunissez samedi, le candidats aux municipales et les élus du MoDem. Qu'allez-vous leur dire?

FB : Que nous avons de l'or entre les mains parce que les Français vont chercher la confiance. Qu'il faut simplement aller de l'avant.

Propos recueillis par Martine Chevalet.

Le sondage

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Bayrou Premier ministre, les Français sont pour

24 Avril 2008, 14:21pm

Publié par MoDem-Colombes

Parmi une short-list de huit personnalités politiques, François Bayrou est le favori pour occuper les fonctions de Premier ministre du gouvernement de Nicolas Sarkozy, selon un sondage CSA publié par Le Parisien de  jeudi. Ils sont 39% a souhaiter cette nomination, contre 58% ne le souhaitent pas.
 
Le président du MoDem devance de deux points le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner (37% contre 59%) et la ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie (34% contre 61%). Suivent l'ancien Premier ministre et maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé (33%  pour, 64% contre), Jean-Louis Borloo (31% pour, 61% contre) et Dominique de Villepin (29%). La plus grosse surprise de ce sondage vient peut-être du mauvais score de Xavier Bertrand, qui ne réunit que 24% d'opinions favorables, arrivant avant dernier, juste devant Rachida Dati (20%), qui ferme le ban.
 
François Bayrou commente ce sondage dans les colonnes du Parisien, en estimant que les Français veulent "de la profondeur, pas de l'apparence". "Aujourd'hui, on commence à voir la gravité des choses. Les Français se demandent : qui nous avait dit la vérité ?", estime-t-il. "C'est parce que je suis indépendant que les Français me donnent des signes de confiance", conclut-il.
 
Le sondage CSA a été réalisé les 16 et 17 avril auprès d'un échantillon de 1006 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
 
D'après agence

Le sondage
 

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Un an de présidence

23 Avril 2008, 14:05pm

Publié par MoDem-Colombes

 

Première année de Nicolas Sarkozy au pouvoir :

« La désillusion est à la mesure des illusions. Nicolas Sarkozy a fait la campagne présidentielle avec une vieille recette que Charles Pasqua avait formulée de la manière la plus explicite qui soit : «  Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent ». Qu'importaient les promesses, on verrait bien après une fois qu'on y serait. C'est comme ça que depuis 20 ans on creuse le trou qui fait le drame du pays. Cela va appeler une heure de vérité un jour, on est obligé de faire face à des échéances auxquelles on ne pourra pas faire face ».

"La situation est inquiétante sur tous les fronts (...) La France et son Etat dépensent tous les jours 20% de ce qui rentre dans les caisses".

 Le "paquet fiscal" adopté dès l'été par la droite "a poussé la France dans une direction catastrophique".

 « Nicolas Sarkozy a fait croire pendant la campagne électorale que régler le problème de la dette et des déficits serait facile et donc pris les Français "pour des gogos". "On est dans un pays à qui on a fait croire il y a exactement un an (...) que c'était facile, qu'il suffirait de dépenser de l'argent et que cet argent injecté dans l'économie, tout allait repartir et que du coup les déficits disparaîtraient". "Tout est possible, disait-on. Aujourd'hui, on a la preuve que c'était une stratégie qui racontait des histoires, que c'était malheureusement prendre les citoyens pour des gogos".


Dette et déficits publics :

 Un an après l'accession de Nicolas Sarkozy à la présidence, la dette demeure "au-dessus de la tête du pays comme une épée de Damoclès"

M. Sarkozy "a fait la campagne présidentielle avec une vieille recette (...) qu'importaient les promesses, on verrait bien après une fois qu'on y serait"

"Pour essayer de rétablir un équilibre désespérément compromis, on va prendre sur le travail de chacun pour essayer de boucher le trou perpétuellement aggravé. Cette situation-là, on l'a niée pendant la campagne présidentielle et elle se trouve (...) comme une épée de Damoclès au-dessus de la tête du pays".

« Il suffirait que les agences de notation financière internationale dégradent un peu la note de la France pour qu'on se retrouve dans une situation explosive".

"La situation de la dette n'est pas autre chose que le résultat de la surenchère entre l'UMP et le PS.  Le PS, emploie le terme de rigueur comme si c'était un mot effrayant et injurieux, et que ce qu'il faudrait c'est se remettre à dépenser de l'argent et le donner à tout le monde".


Sans papiers en grève :

François Bayrou s'est déclaré favorable à "une procédure de régularisation au cas par cas". "Il ne faut pas que ce soit une perpétuelle persécution",


Système de quotas de seniors en entreprise :

"Plus on met de contraintes sur les entreprises, moins ça marche". Partageant l'idée que "c'est un des points faibles" de la France, François Bayrou s'est dit davantage favorable  à "des mesures incitatives" qui viendraient en aide aux entreprises qui emploient des seniors, "en diminuant les charges des salariés plus âgés"


Chine :

Les excuses formulées par Nicolas Sarkozy aux autorités chinoises après les manifestations pro-tibétaines en France ne sont pas la bonne méthode avec Pékin. "Je pense que la Chine n'aime pas perdre la face et ne respecte pas ceux qui acceptent de la perdre". "Je ne pense pas qu'il faille choisir en face de la Chine la voie des regrets et des excuses en fonction de ce que les Français ont dit à propos du Tibet au moment du passage de la flamme olympique"


Stratégie du MoDem depuis un an :

Jean-Jacques Bourdin : Où sont passés les 6,8 millions de français qui ont voté pour vous ?

François Bayrou : Ils sont toujours là, ils me croisent dans la rue et ils me demandent de ne rien lâcher. Je le leur ai promis et je tiendrais ma promesse.

JJB : Quelles erreurs avez-vous commises depuis un an ?

FB : Je n'ai pas commis d'erreur, j'ai fait des choix. Si j'avais voulu le confort du pouvoir ou de l'opposition, j'aurai accepté de faire allégeance à l'un ou à l'autre des deux partis principaux. Il se trouve que tout me montre, tout me conduit à penser que dans la situation du pays aujourd'hui, il ne faut pas se rendre à ces deux choix qui dominent, il faut au contraire en proposer un troisième.

JJB : Mais votre parole n'a aujourd'hui pas beaucoup de poids ?

FB : Vous m'invitez, c'est qu'elle a un peu de poids. 

JJB : Je vous invite parce que je défends le pluralisme...

FB : C'est très bien, et c'est normal et naturel. En réalité vous ne m'invitez pas pour de bons sentiments mais parce que vos auditeurs ont envie de m'entendre. Ceci montre qu'il y a dans le pays une attente très importante. Comment faire pour échapper à cette tenaille qui fait que si l'on ne choisit pas l'un on est obligé de choisir l'autre si les deux se trompent.

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Bayrou sur RMC Info & BFM TV ce mardi à 8H35

21 Avril 2008, 17:58pm

Publié par MoDem-Colombes

Mardi 22 Avril 2008, François BAYROU sera l'invité de Jean-Jacques BOURDIN sur RMC Info et BFM TV en direct, de 8h35 à 9h00.

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Rencontre du 26 avril 2008 à la Maison de la Chimie

18 Avril 2008, 09:25am

Publié par MoDem-Colombes

François Bayrou
Président du Mouvement Démocrate

Jacqueline Gourault
Présidente de la fédération des élus démocrates

sont heureux de vous convier
à la rencontre des élus et candidats du Mouvement Démocrate

qui se tiendra

samedi 26 avril de 9h30 à 14h

à la Maison de la chimie
28, rue Saint Dominique - 75007 PARIS

RSVP par mail à evenements@lesdemocrates.fr ou par téléphone au 01 53 59 20 18 ou 20 21

Téléchargez ici l'invitation

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UDF: Bayrou met ses opposants en échec

17 Avril 2008, 00:51am

Publié par MoDem-Colombes

AP | 16.04.2008 | 22:13

François Bayrou a mis en échec mercredi soir les partisans d'une renaissance de l'UDF lors d'une réunion du bureau de l'ancienne formation centriste.

"Nous avons décidé (...) que le Mouvement démocrate allait continuer à se développer", a déclaré le président du MoDem à l'issue de cette réunion de trois heures. "Il n'y aura pas de retour  à l'UDF historique", a-t-il ajouté en se réjouissant de ce "premier élément de clarification". 

Selon M. Bayrou, cette décision a été votée à une large majorité de 19 voix contre six.

Une majorité encore plus large s'est dégagée sur la question de l'attribution du financement public. Celui-ci "ira au MoDem", a assuré M. Bayrou. Une convention va "édicter les règles entre les deux entités", a ajouté le président du MoDem. Elle portera notamment sur l'entretien du siège, a-t-il expliqué sans plus de précision.

Les partisans de la renaissance de l'UDF ont reconnu avoir été mis en minorité lors de cette discussion "franche". Le bureau n'a "majoritairement" pas souhaité que l'UDF retrouve une expression politique, a convenu le sénateur Jean Arthuis.

La minorité va continuer à "s'exprimer", a ajouté le sénateur de la Mayenne, partisan d'"un centre indépendant et suffisamment fort pour nouer des alliances claires".

François Bayrou avait convoqué ce bureau, chargé de veiller au respect des intérêts matériels et moraux de l'UDF, mise en sommeil le 30 novembre dernier à la veille du congrès fondateur du MoDem, pour vider la querelle l'opposant aux partisans de la renaissance de l'UDF.

Ces derniers ont lancé une pétition après l'échec du MoDem aux municipales pour faire revivre l'UDF. M. Bayrou, qui a dénoncé une manoeuvre téléguidée par l'Elysée pour l'éliminer, a annoncé lundi qu'il allait demander, avant l'été, aux quelque 60.000 adhérents de son parti de confirmer par un vote sa "ligne d'indépendance" par rapport à l'UMP et au PS. "Tous ceux qui veulent utiliser des interrogations pour faire une crise repartiront gros Jean comme devant", a-t-il prévenu mercredi soir. AP

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François Bayrou annonce une consultation des adhérents du MoDem sur la stratégie d'indépendance

14 Avril 2008, 16:27pm

Publié par MoDem-Colombes

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Déclaration importante de François Bayrou aujourd'hui à 16h00

14 Avril 2008, 09:28am

Publié par MoDem-Colombes

Le président du Mouvement démocrate (MoDem), François Bayrou, tiendra une conférence de presse lundi à 16H00 au siège parisien du parti pour y faire "une déclaration importante", a-t-on appris dimanche auprès du MoDem.

Ce point de presse intervient alors que le leader centriste est la cible d'attaques venant aussi bien de ses ex-compagnons de route que de la majorité présidentielle.

A la demande de plusieurs élus, déçus du MoDem et voulant "faire revivre" l'UDF, une réunion du bureau de l'UDF est prévue mercredi soir.

Ce bureau (26 membres) a été constitué pour veiller sur les intérêts "juridiques, matériels et moraux" de l'UDF, qui s'est officiellement transformée en MoDem lors d'un congrès en décembre 2007.

Des sénateurs déçus de sa stratégie se sont d'ores et déjà rapprochés du Nouveau Centre (ex-UDF ralliés à Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle), pour un "travail en commun" au niveau parlementaire.

Leur chef de file, Michel Mercier, trésorier du MoDem, a même accepté de participer à un "comité de liaison" de la majorité piloté par le chef de l'Etat en personne, lancé mercredi dernier lors d'une réunion à l'Elysée.

Par ailleurs, la publication jeudi dernier par le journal Le Monde d'une "note de synthèse" sur M. Bayrou, rédigée par l'un des conseillers de Nicolas Sarkozy, a suscité un grand émoi en interne, à en juger par les blogs des adhérents internautes. Cette note est attribuée à un conseiller du président, Dominique Paillé, par ailleurs porte-parole de l'UMP, qui a démenti en être l'auteur.

Elle énumère tous les récents développements qui pourraient contribuer à fragiliser M. Bayrou, comme le départ du Modem du sénateur Jean Arthuis, et la prise de distance du chef de file des sénateurs centristes, Michel Mercier. "Depuis le lendemain des élections municipales, Michel Mercier a fait savoir à François Bayrou et Marielle de Sarnez (ndlr: députée européenne et bras droit de Bayrou) qu'il ne les suivrait plus dans des opérations suicides et sectaires", selon cette note citée par Le Monde.

"Il est possible dans les semaines qui viennent que les UDF centristes historiques récupèrent même matériellement le siège du parti et tous les actifs qui y sont, lesquels appartiennent toujours formellement à l'UDF. Nous nous retrouverions alors avec un parti centriste supplémentaire (l'ancienne UDF) entre le Nouveau Centre et le MoDem", conclut la note. La semaine dernière, M. Bayrou avait indiqué qu'il entendait "lever toute ambiguïté" sur l'existence d'un centre indépendant lors de la réunion du bureau de l'UDF.

(c) AFP

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