Colombes "prudente"
Aujourd'hui , près de 70% des enseignants devraient être en grève dans les écoles primaires selon le principal syndicat du premier degré. La situation s'annonce compliquée pour les
parents dans de nombreuses villes qui ont choisi, en invoquant des raisons de sécurité, de ne pas appliquer le service minimum : Paris, Strasbourg, Toulouse, Lyon, Montpellier mais aussi
une trentaine de villes de l'académie de Versailles, une quarantaine en Seine-et-Marne.
Depuis cet été, la loi SAM impose aux mairies d’organiser l’accueil des élèves lorsque la proportion d’enseignants grévistes dépasse 25 % des effectifs.
Les mairies ne connaissent les chiffres précis de grévistes que 48 heures avant le jour J. Juste le temps de s’organiser, avec plus ou moins de bonne volonté.
En Ile-de-France, la situation n'est pas la même selon les villes. Certaines prévoient d'organiser un service minimum. Mais d'autres continuent d'être réfractaires au système.
Sans surprise, dans les Hauts-de-Seine, les qunize maires UMP appliqueront la loi, les quatre maires PC n'assureront pas le service minimum, le maire PS de Clichy-la-Garenne aussi.
Le Parisien a classé la Ville de Colombes (mais aussi Asnières, Clamart, Fontenay-aux-Roses) - toutes PS - dans la catégorie des prudents : Colombes « offre une alternative ». Les enfants seront gardés si leur école est fermée, si les deux parents travaillent et s’ils sont inscrits au centre de loisirs. « L’accueil de 700 gamins ne s’assure pas quarante-huit heures avant. Mais on fera en sorte qu’aucun enfant ne soit à la rue ».
A noter que le Maire de Colombes participera ce soir même à une rencontre au Centre 72 de la Communauté protestante de Bois-Colombes : Quel est encore le rôle d'un maire de banlieue?
Lire le témoignage de Charles Ham sur son blog
Depuis cet été, la loi SAM impose aux mairies d’organiser l’accueil des élèves lorsque la proportion d’enseignants grévistes dépasse 25 % des effectifs.
Les mairies ne connaissent les chiffres précis de grévistes que 48 heures avant le jour J. Juste le temps de s’organiser, avec plus ou moins de bonne volonté.
En Ile-de-France, la situation n'est pas la même selon les villes. Certaines prévoient d'organiser un service minimum. Mais d'autres continuent d'être réfractaires au système.
Sans surprise, dans les Hauts-de-Seine, les qunize maires UMP appliqueront la loi, les quatre maires PC n'assureront pas le service minimum, le maire PS de Clichy-la-Garenne aussi.
Le Parisien a classé la Ville de Colombes (mais aussi Asnières, Clamart, Fontenay-aux-Roses) - toutes PS - dans la catégorie des prudents : Colombes « offre une alternative ». Les enfants seront gardés si leur école est fermée, si les deux parents travaillent et s’ils sont inscrits au centre de loisirs. « L’accueil de 700 gamins ne s’assure pas quarante-huit heures avant. Mais on fera en sorte qu’aucun enfant ne soit à la rue ».
A noter que le Maire de Colombes participera ce soir même à une rencontre au Centre 72 de la Communauté protestante de Bois-Colombes : Quel est encore le rôle d'un maire de banlieue?
Lire le témoignage de Charles Ham sur son blog
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