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Le Blog du MoDem de Colombes
Le blog d'actualités du MoDem, de Colombes et du MoDem à Colombes ! Michel Môme et Christian Don, conseillers municipaux d'opposition.
Projet de loi constitutionnel
En votant le projet de loi modifiant la Constitution dans les mêmes
termes que les députés, les sénateurs ont donné le feu vert à la convocation du Congrès, lundi à Versailles. Mais leur vote laisse entier le suspense sur la possibilité d'atteindre la majorité
des 3/5 des parlementaires exigée pour l'adoption d'une loi constitutionnelle.
Au terme de leur deuxième lecture du texte, 162 sénateurs ont voté pour : 153 UMP sur 159, 7 radicaux sur 17 et 2 non-inscrits. 125 ont voté contre : 95 socialistes, 23 communistes, 2 radicaux, 3 non-inscrits (dont les 2 villiéristes Retailleau et Darniche) et 2 UMP (Lambert, Orne, Lardeux, Maine-et-Loire). Se sont abstenus : 30 centristes, 8 radicaux, 3 UMP (dont Charles Pasqua), 1 non-inscrit. Comme le constatent les sénateurs socialistes, il a manqué 11 voix au Sénat pour atteindre la majorité des 3/5.
Et à l'Assemblée ? Une petite dizaine de députés UMP, qualifiés de villepinistes, et le dissident Nicolas Dupont-Aignan restent décidés à voter « contre ». Bernard Debré, lui, s'est rallié aux « pour », comme l'avait fait, au Sénat, Josselin de Rohan. Au PS, seule défection attendue dans le camp des contre : Jack Lang. Comme les trois sénateurs MPF, les deux députés voteront contre, orphelins d'un référendum anti-turc. Des centristes feront-ils défection dans le camp sarkoziste ? C'est peu probable. En revanche, les trois députés MoDem voteront contre.
Au total, le camp des oui peut espérer au moins 535 votes et celui des non 360. La majorité des 3/5 est à 544. Mais tout dépendra des présents et des abstentionnistes. De l'humeur du jour aussi pour certains : ainsi, les six parlementaires de Moselle concernés par la carte militaire, prudemment repoussée au-delà du 21 juillet, sont appelés par l'un d'eux (ex-UMP), à voter contre. Bayrou et la gauche dénoncent les pressions de l'Élysée.
Un vote en faveur de la loi serait un succès, même à l'arraché, pour Nicolas Sarkozy. Un vote défavorable, sa première défaite stratégique.
(c)OuestFrance 18/07/08
En savoir plus sur le projet de loi constitutionnelle de modernisation des institutions de la
Ve République
Eurodéputés : les bons et mauvais élèves
C'est un couple qui porte un bonnet d'âne. Marine Le Pen et Philippe de Villiers sont
les deux eurodéputés français à avoir été les plus absents du Parlement européen durant les douze derniers mois. Sur les 64 séances plénières qui se sont tenues à Strasbourg et à Bruxelles
entre juillet 2007 et juin 2008, chacun en a loupé exactement 50%. Un chiffre tout rond, qui leur évite une lourde sanction: si un élu européen manque plus de la moitié des séances,
il se voit privé d'une partie de ses indemnités.
Le Vendéen est en retrait depuis son échec à la présidentielle de 2007: il était déjà, l'an passé, le moins assidu des 78 députés tricolores. La fille du leader du FN, lequel siège aussi à Strasbourg - Jean-Marie Le Pen est bien plus sérieux, puisqu'il totalise 77,78% de présence - a fait passer sa campagne pour la mairie d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) avant ses obligations européennes. Elle n'est pas la seule. Engagé, à Paris, dans la bataille face à Bertrand Delanoë, Jean-Marie Cavada a la quatrième plus mauvaise moyenne, avec seulement 57,81% d'assiduité. Autres mauvais élèves pour cause de municipales: le communiste Jacky Hénin, en lice à Calais, est 65e de ce classement (70,31% de présence); Jean-Luc Bennahmias, qui menait la liste pour le MoDem à Marseille, arrive à la 57e place (75%).
Du côté des premiers de la classe, cinq députés n'ont manqué aucune séance: les UMP Christine de Veyrac et Margie Sudre, le Vert Gérard Onesta et les PS Martine Roure et Yannick Vaugrenard.
Mention bien également pour Catherine Trautmann, Marielle de Sarnez ou Harlem Désir. Les performances des 78 Français seront examinées à la loupe par tous les états-majors politiques: les
prochaines élections européennes ont lieu en juin 2009.
L'Express.fr 16/07/08
Consulter le classement complet des 78 Eurodéputés français
Flash RTL

La vidéo : http://direct.rtl.fr/
Bayrou dénonce le dénouement de l'affaire Tapie et les "marchandages" de Sarkozy dans le projet de réforme constitutionnelle.
Réunion Section MoDem
Réunion de préparation des élections départementales des Hauts-de-Seine pour la représentation de Colombes, ce soir, mercredi 16 juillet à 20h30 au local de la campagne municipale : 18 rue Rouget de Lisle.
Le 27 septembre vont se dérouler des élections départementales, essentielles pour notre Mouvement. Il s'agira en effet de désigner les instances de direction du MoDem des Hauts-de-Seine pour
trois ans.
Trois élections auront lieu en même temps :
. la Présidence Départementale, organe collégial de 7 membres, qui sera "l'exécutif"
· le Conseil Départemental (environ 180 membres), qui sera l'assemblée du Modem 92, chargée de représenter tous les adhérents dans le fonctionnement du Mouvement départemental
· la Conférence Nationale (environ 150 membres pour les Hauts de Seine) : collège de membres élus pour 3 ans au scrutin de liste, à raison d'un élu pour 20 adhérents. Son rôle est définir la
politique générale du Mouvement par les programmes qu'elle approuve et par les motions qu'elle vote. (Voir Statuts,art.8-1)
Ces trois élections auront lieu au scrutin de liste, avec répartition des restes à la plus forte moyenne.
La date limite du dépôt des listes est fixée au 31 août.
Il est essentiel que Colombes soit bien représentée dans ces instances.
En effet, c'est le département qui sera notre interlocuteur dans les échéances à venir, notamment pour tout ce qui concerne les investitures. Nous devons donc être présents, pour faire entendre
notre voix, et pouvoir transmettre efficacement l'information (dans les 2 sens!). Nous avons besoin de démocratie interne, dans le choix des candidats qui porteront nos couleurs aux élections à
venir.
C'est pourquoi il faut nous mobiliser pour être présents en nombre sur ces listes et voter le 27 septembre.
Une autre réunion de préparation aura lieu le mercredi 20 août à 20h30.
Ci-joint pour information le règlement intérieur du MoDem 92, qui a été adopté lors d'une réunion fleuve le samedi 28 juin. La plupart de nos amendements ont été adoptés ! ce qui
prouve que lorsque nous le voulons nous pouvons influencer le MoDem !! c'est dans cet esprit qu'il faut aborder les échéances électorales internes :
- dès aujourd'hui mettez vous à jour de cotisation / faites mettre à jour les personnes que vous connaissez : tout militant ayant adhéré en 2006 ou 2007 a jusqu'au jour du scrutin pour ce mettre
à jour et donc participer au vote !
- réservez votre date du 27 septembre
- participez activement à la campagne et à nos réunions préparatoires en particulier.
Textes de référence
Statuts du MoDem
Règlement intérieur provisoire MoDem national
Calendrier des élections internes du 27 septembre, établi par le Comité
de Conciliation et de Contrôle (CCC)
Modalités de déroulement des élections fixées par le CCC
Télécharger le
règlement électoral MoDem 92 ici.
Télécharger le règlement intérieur MoDem 92 ici.
Autres infos adhérents
Agenda Média

Jean-Luc Bennahmias sera sur le plateau de BFM TV pour un débat animé par la journaliste Ruth Elkrief le mercredi 16 juillet 2008 de 19h00 à 20h00.
Hommages à Bronislaw Geremek
François Bayrou, proche de Bronislaw Geremek, a déclaré
dimanche que "la mort accidentelle de ce grand homme, cette figure unique est un arrachement pour tous les démocrates en Europe. Geremek, que nous appelions
Bronek, était un acteur de premier plan du combat de la Pologne contre le totalitarisme et de sa libération. Universitaire, grand historien, il avait été pendant toute cette période le plus
proche conseiller de Lech Walesa à la tête de Solidarnosc. Il avait mis toutes les ressources de son esprit, qui était grand, et de son caractère, qui était ferme, pour lutter pour un peuple
debout". Rappelant qu'il fut ministre des Affaires étrangères, François Bayrou a estimé que Bronislaw Geremek a "réalisé en diplomatie son amour de l'histoire". "Nous avions voulu en faire il y a
cinq ans le président du premier Parlement de l'Europe réunifiée. La bêtise du bipartisme droite-gauche a empêché cette candidature d'arriver à son terme même si elle a obtenu plus de 200 voix de
parlementaires européens", a-t-il regretté. "Bronek était un grand homme par l'esprit, le militantisme, la dimension des combats. Il était généreux, cultivé, drôle et admirable francophone",a
ajouté François Bayrou à propos de celui qui avait été présent à plusieurs manifestations du MoDem.
L'ADLE demande un hommage parlementaire pour Bronislaw Geremek
Les démocrates et libéraux européens au Parlement européen ont
proposé que la salle de réunion de la commission parlementaire des Affaires étrangères soit baptisée Bronislaw Geremek. Une lettre demandant ce changement de nom pour cette salle située juste en
face de l'hémicycle du Parlement à Bruxelles a été envoyée au Président du Parlement, Hans-Gert Pöttering. Bronislaw Geremek était un membre actif de la commission des Affaires étrangères.
"J'ai écris au Président du Parlement pour lui proposer un hommage permanent à Bronislaw Geremek en donnant son nom à une de nos principales salles de réunion. J'espère que ce projet sera
entériné lors de la rentrée parlementaire et je suis d'ores et déjà ravi d'apprendre que le président de cette commission parlementaire s'est rallié à cette idée," a ajouté le président de
l'ADLE, Graham Watson.
"Le nom de Bronislaw est au coeur de l'histoire de la réunification européenne. Par ce geste, nous rendrons un hommage éternel à sa vie et à son oeuvre dans
notre mémoire institutionnelle," a-t-il conclu.
"De Bronislaw Geremek, dont j'apprends aujourd'hui avec grande tristesse le décès accidentel, je garderai le souvenir d'un inlassable combattant des libertés et d'un
ardent partisan de la réunification européenne. Tant son rôle courageux dans la lutte pour l'indépendance de la Pologne que sa contribution majeure à la réussite de l'élargissement de
l'Union européenne en font un personnage marquant de l'histoire contemporaine. Ce grand humaniste manquera à la Pologne et à l'Europe". Marielle de Sarnez.
En savoir plus.
Des "alliances larges"
Dans un entretien au Figaro, le président du MoDem se livre à une virulente attaque contre le chef de l'État et déplore que les socialistes
«s'enferment».
LE FIGARO. - Quel jugement portez-vous sur la première année de la présidence Sarkozy ?
François
BAYROU. - Le déficit français qui était en mai 2007 de 40 milliards d'euros - c'était déjà trop - est en mai 2008, après exactement un an de pouvoir, de 50 milliards. C'est
très mauvais signe. Deuxièmement, jour après jour, on attaque tout ce qui charpentait solidement la société française, les fondations du modèle français. En une semaine, on a eu une série
d'attaques blessantes contre l'armée, non seulement des mots très durs et offensants, mais une enquête de contre-espionnage pour identifier des officiers généraux qui ont livré au Figaro une
analyse critique du livre blanc ! À ce compte, qu'aurait-on fait au colonel de Gaulle en 1938 ? Le lendemain même, l'annonce d'un plan sans précédent de prise de contrôle de
l'audiovisuel, l'arrêt des recettes publicitaires dirigées vers les chaînes privées et la décision de nommer le président de France Télévisions par le pouvoir. Enfin, le ricanement humiliant pour
les syndicats et les grévistes… Or l'armée, les syndicats, le service public, tout cela c'est la France, et c'est cela qu'on humilie. Dangereusement.
Pourquoi avoir voté contre la loi de modernisation économique ?
Pour les cadres, augmenter de dix-sept jours supplémentaires la norme de temps de travail, alors que le stress, la pression sont de plus en plus lourds, je suis sûr qu'ils le ressentent comme un
choc et une déloyauté. En même temps, le manquement à la parole de l'État envers les partenaires sociaux est grave pour l'avenir. Je dis non.
Nicolas Sarkozy préside l'UE. Approuvez-vous ses priorités ?
Nicolas Sarkozy a dit samedi «Je suis président de la République et président de l'Europe». C'est un abus de langage et un enfantillage. A-t-on jamais entendu, dans les six mois précédents, Janez
Janša, premier ministre de Slovénie, se présenter comme président de l'Europe ? Ce n'est pas Nicolas Sarkozy qui préside l'Union pour six mois, c'est la France qui a la responsabilité
d'animer les institutions européennes. Les quatre «priorités», environnement, immigration, PAC et armement, méritent d'être soutenues, bien sûr. Mais la question principale, à mes yeux, c'est
l'éloignement, la fracture, entre les peuples européens et les institutions, les peuples et les dirigeants.
Que devrait donc faire Nicolas Sarkozy ?
Répondre en termes simples et compréhensibles aux questions qui éloignent les peuples d'Europe de la gestion de l'Union. J'ai été frappé du référendum irlandais. Il y avait deux phrases qui
revenaient tout le temps : la première, c'était «on n'y comprend rien»… Et c'est vrai que le traité prétendument simplifié est cent fois plus compliqué que le texte Giscard ! Et la
seconde phrase, c'était «un petit pays comme nous, on va se faire bouffer…». Tous les peuples, y compris le nôtre, ont cette crainte de perdre leur identité et la maîtrise de leur destin. Or
l'Europe, c'est le contraire, c'est fait pour protéger nos identités et notre destin.
Les Vingt-Sept ont donné lundi à Cannes leur feu vert au plan français sur l'immigration. N'est-ce pas une première victoire de la présidence
française ?
Je vous le dirai quand nous aurons les textes définitifs, s'ils arrivent, à l'automne. En attendant, en France, le rapport Mazeaud porte un jugement incroyablement dur sur les politiques de
quotas, qui n'ont réussi dans aucun pays dans le monde. Je suis pour une politique de prise en compte des immigrés qui s'intègrent, notamment par le travail.
L'UMP entend maintenir un référendum avant l'adhésion de la Turquie. Y êtes-vous toujours opposé ?
Vous savez les réserves que je n'ai cessé d'exprimer sur l'adhésion de la Turquie. Mais on ne peut pas, on ne doit pas, demander à un peuple de rejeter un autre peuple. Imaginez l'offense et donc
les risques…
Que pensez-vous du projet d'Union pour la Méditerranée ?
Je ne sais pas ce que c'est ! Quarante-quatre pays devraient y être associés. Quand on voit les difficultés de l'Europe à 27, imaginez à 44 ! Pour l'instant, cela m'apparaît largement
comme de la communication…
Êtes-vous choqué par la présence de Bachar el-Assad le 14 Juillet ?
Il y a trois semaines à peine, à Beyrouth, on assurait aux Libanais : «Les coupables des assassinats seront punis»… Et le 14 Juillet, à Paris, on va apporter au dirigeant syrien la
reconnaissance internationale et son plein retour dans le jeu des nations ! Et cela sans qu'il y ait eu l'expression du moindre regret ou du moindre changement de ligne.
Approuvez-vous le fait que le président parle devant l'UMP ?
On ne devrait pas accepter cela. Le président de la République cesse d'être le président de tous les Français dès l'instant qu'il s'affiche comme chef de parti. Au lieu d'être l'homme de la
nation, il se fait le porte-parole d'un clan. Il n'est plus la figure du rassemblement et de la réconciliation. Il devient une figure d'affrontement et de fracture. C'est la fonction elle-même
qui est ainsi mise en cause.
Tout cela pourrait-il vous conduire à faire alliance avec le PS ?
Pour proposer au pays un destin autre que celui vers lequel on l'amène, il faudra des alliances larges. Les socialistes sont aujourd'hui devant de grandes difficultés de ligne et aussi de
leadership. Donc, pour l'instant, ils s'enferment. Mais un jour, ils seront bien obligés d'ouvrir les yeux. Je pense aussi aux gaullistes. Ils vont vivre le choc du retour de la France dans le
commandement intégré de l'Otan et le renoncement de ce qui faisait, symboliquement, l'originalité de la France dans le monde. Un jour, tous ceux-là se ressaisiront. Ce n'est plus pour moi affaire
de partis ou de courants. C'est la France qui est bouleversée dans sa vocation historique, et je connais notre pays : dans ses profondeurs, il ne l'acceptera pas. En tout cas, c'est mon
engagement.
N'y a-t-il pas des réformes qui trouvent grâce à vos yeux ?
Bien sûr que si ! La décision sur le contrat de travail, l'intéressement, même les heures supplémentaires, tout ce que j'ai défendu hier, je l'approuve aujourd'hui.
Jean Arthuis a réuni vingt et un parlementaires centristes. Qu'est-ce que cela vous inspire ?
Quand on vit des moments historiques, et je crois que c'est le cas, il y a toujours des gens pour grenouiller, manœuvrer avec l'espoir de se retrouver dans les petits papiers du pouvoir. Et aller
chercher comme égérie Christine Boutin, il fallait le trouver ! Ils se disent «centristes». Pour moi, je ne crois au centre que s'il est indépendant, courageux, rebelle, visionnaire. Toute
autre attitude conduit à l'inexistence et au dérisoire.
Que pensez-vous des déclarations de Ségolène Royal qui fait un lien entre le cambriolage de son appartement et sa dénonciation du «clan
Sarkozy» ?
Franchement, je n'en pense rien…
(c) Propos recueillis par Rodolphe Geisler - Le Figaro
Report de la date limite de vote
Sur proposition de Gilles Artigues, Médiateur des adhérents, le Conseil national, dans sa réunion du 9 juillet 2008, a décidé à l'unanimité de repousser au jeudi 17 juillet minuit (cachet de la poste faisant foi) la date limite de vote pour la consultation des adhérents.
Nous vous rappelons que le courrier que vous avez dû recevoir doit comprendre :
- une lettre de François Bayrou,
- un bulletin d'adhésion ou de ré-adhésion (si vous n'êtes pas à jour de cotisation 2008),
- le texte de la contribution de François Bayrou,
- les modalités de vote avec votre carte d'électeur nominative,
- un bulletin de vote,
- une petite enveloppe bleue,
- un formulaire d'inscription pour l'Université de rentrée 2008.
Si toutefois, il vous manque :
- le texte de la contribution : télécharchez le texte en CLIQUANT ICI
- votre carte d'électeur : remplacez-la par la photocopie de votre carte d'adhérent ou d'une pièce d'identité
- le bulletin de vote : téléchargez le fichier en CLIQUANT ICI et découpez le bulletin de vote
- l'enveloppe bleue : prenez une petite enveloppe
- le bulletin de réadhésion : téléchargez le bulletin en CLIQUANT ICI ou adhérez en ligne en CLIQUANT ICI
- le formulaire d'inscription pour l'Université de rentrée : inscrivez-vous en ligne en CLIQUANT ICI
N'oubliez pas de voter, votre participation est essentielle !
L'équipe du Mouvement Démocrate
PPDA, Une, Dernière !

Madame, Monsieur, Bonsoir !
Le journaliste aura donné les nouvelles du monde aux foyers français (près de 8 millions de personnes) du 16 février 1976 jusqu'à ce soir, 10 juillet 2008, presque sans interruption (4500 journaux - jusqu'en 1983 sur Antenne 2, sur TF1 depuis le 31 août 1987), 32 ans de bons et loyaux services accordés à la télévision française.
PPDA, né le 20 Septembre 1947, a commencé sa carrière en 1970 comme critique cinématographique à la publication "L'Economie" et présentateur des journaux du matin à France-Inter.
Son fauteuil sera occupé par Laurence Ferrari, le 25 août.
Très bonne soirée à tous ...
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