Appel à voter Sarkozy

Le blog d'actualités du MoDem, de Colombes et du MoDem à Colombes ! Michel Môme et Christian Don, conseillers municipaux d'opposition.
Déménager synonyme de radier. De nombreux électeurs de Colombes — de 50 à 100 selon les sources — ont fait la triste expérience de cet « adage » dimanche dernier, lors du premier tour de l’élection présidentielle. Se présentant dans l’un des 44 bureaux que compte la commune, certains citoyens n’étaient pas inscrits sur les listes.
« Je n’avais pas de carte électorale, juste ma carte d’identité, mais j’ai toujours voté dans le bureau no 10 (NDLR : école Gustave-Bienvetu).Quand je me suis présentée, on m’a simplement répondu : Vous êtes radiée, raconte, en colère, Chantal, à Colombes depuis vingt-trois ans. La raison à cet incident : les électeurs qui ont déménagé, même au sein de la commune, n’ont pas signalé ce changement au service électoral de la mairie, entraînant leur radiation d’office.
« Comme dans toutes les villes, il y a eu des radiations dues à des déménagements, assure Philippe Sarre, le maire PS. Je comprends que cette situation soit gênante mais elle est causée par une méconnaissance du droit, même si l’on déménage à 300 m, il faut le signaler aux services. »
Sauf que l’opposition municipale ne l’entend pas de cette oreille. « La mairie doit faire une investigation pour savoir si les personnes résident bien dans la commune, le travail n’a pas été fait à fond, s’indigne Nicole Goueta, conseillère municipale UMP et ancienne maire. La seule justification est de dire nul n’est censé ignorer la loi, c’est un peu facile. Ce n’est quand même pas très compliqué de contacter le service des impôts pour voir qui en paie et qui n’en paie pas. » Une technique jugée incomplète par le maire. « A Colombes, au bout de trois retours de courrier, que ce soit les cartes électorales, les professions de foi des candidats, la commission doit prendre une décision, insiste Philippe Sarre. Nous envoyons également un courrier en recommandé pour prévenir les citoyens de leur future radiation, tout est fait dans les règles. »
Si, à la préfecture, on ne dénombre pas plus de réclamations que dans les autres communes, pour la plus célèbre radiée de Colombes, Rama Yade, le phénomène a pris trop d’ampleur pour rester sans suite. « Une quarantaine de personnes radiées au bureau Lazare-Carnot, une cinquantaine au bureau du tribunal d’instance (où Nicolas Sarkozy est arrivé en tête ou ex aequo avec le candidat PS lors du premier tour), ça commence à faire beaucoup, s’insurge la candidate pour le Parti radical aux prochaines législatives dans la circonscription. On veut se débarrasser d’électeurs gênants. » Un bras de fer enflammé qui laisse présager une campagne pour les élections législatives explosive.
« Je suis sympathisante UMP, mais qui dit que demain je ne changerai pas d’avis, scande Chantal. Ce n’est pas un problème de parti, mais voter est un droit et moi je souhaite en user. » Pour Philippe Sarre, la participation massive des électeurs dimanche dernier a également été un facteur pour se rendre compte de sa radiation. « Ma fille a voté en 2007, en 2008, elle n’a jamais reçu aucun courrier, elle n’a pas compris pourquoi elle ne pouvait pas voter », se désespère Paulo, ajoutant que sa fille avait déjà envoyé une lettre au tribunal d’instance pour tenter de se faire réinscrire.
(c) Le Parisien
Nicolas Sarkozy a rendu publique sa réponse à la lettre de François Bayrou - une lettre de 7 pages - ce vendredi 27 avril.
Sur la forme, le président-candidat multiplie les formules de séduction :"Comme vous, je reconnais les efforts des Français dans la crise. Comme vous, je ne leur dissimule rien de ce qu'il reste à faire." ou autre "je partage votre préoccupation" et "je partage votre analyse sur ce que vous appelez très justement la "crise de l'éducation".
Sur le fond, le président-candidat présente son bilan et son projet au seul prisme de ce qui pourrait plaire à l'électorat centriste. Et se défend des critiques souvent entendus pendant la campagne, comme les accusations de "populisme".
Parmi les points de son programme que Nicolas Sarkozy met en avant pour séduire l'électorat de François Bayrou, citons par exemple :
le « produire en France », M. Sarkozy assure partager la préoccupation que la France demeure « une grande terre de production ». Le déclin de l'emploi industriel a été « enrayé », assure-t-il, mais « il faut maintenant aller plus loin ». Il évoque notamment le projet de « TVA antidélocalisations ».
un éventuel référendum pour l'adoption d'une règle d'or gravée dans la Constitution
un chiffrage qui se veut "extrêmement précis et rigoureux" « J'ai présenté un projet présidentiel appuyé sur un chiffrage extrêmement précis et rigoureux, il prévoit le retour à l'équilibre des finances publiques en 2016 ». « Je note que le candidat socialiste, pour sa part, ne propose aucune mesure de réduction des dépenses publiques. Au contraire, il les alourdit, décale à 2017 le retour à l'équilibre ».
une "stratégie du double effort"
un projet de loi sur la prévention des conflits d'intérêts au gouvernement et à l'Elysée "dans les premières semaines de la prochaine législature"
Sur cette question de la moralisation de la vie politique, Nicolas Sarkozy se dit désormais prêt à soumettre par référendum les propositions de François Bayrou. "une « importante modernisation » des institutions a été entreprise depuis 2007, avec une « exigence d'exemplarité ». « Cela ne nous dispense évidemment pas d'aller plus loin », "je veux interdire le cumul d'une fonction ministérielle avec un mandat exécutif local et réduire le nombre de parlementaires. « Je partage, par ailleurs, votre volonté d'introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives »
S'il met également en avant le fait d'être "un Européen convaincu" et l'importance qu'il accorde à l'éducation, Nicolas Sarkozy se dit en revanche en désaccord avec François Bayrou sur la présence, avec droit de vote, de trois représentants des salariés aux conseils d'administration des entreprises.
"Nous avons un mode de vie et une identité. Nous avons des valeurs", glisse aussi Nicolas Sarkozy, qui a fait l'objet de vives critiques du leader centriste l'accusant de valider le discours du FN.
Vous souhaitez que cette moralisation de la vie publique soit soumise au référendum. L'expérience prouve qu'aucours des années récentes, le Parlement a voté de nombreuses lois d'amélioration de l'éthique de notre vie politique.
Chacun sait par ailleurs qu'un référendum peut difficilement être organisé sur un trop grand nombre de mesures.
Toutefois, et sous cette réserve, s'il venait à y avoir un blocage sur ce sujet, je suis tout à fait disposé à saisir les Français par référendum des propositions que vous avez formulées.
http://www.lafranceforte.fr/sites/default/files/reponse_a_m__bayrou.pdf
Le candidat PS à l'Elysée François Hollande a indiqué vendredi à Bourges avoir répondu à la lettre que le centriste François Bayrou a adressé aux deux finalistes de la présidentielle avant de donner éventuellement une consigne de vote pour le deuxième tour. Il a cependant choisi de ne pas publier sa lettre et répond directement à François Bayrou.
Réponse publiée le lendemain : http://democrate.typepad.fr/files/BayrouReponseFH.pdf
Dans cette réponse, « je dis ma position sur les quatre points » évoqués par François Bayrou dans son courrier, a précisé M. Hollande lors d'une conférence de presse, en marge d'une visite au printemps de Bourges.
« Sur l'éducation, nous partageons des objectifs qui peuvent être communs : la nécessité de redonner à l'école de la République les ressources indispensables et une confiance », a affirmé le candidat socialiste.
« Sur le modèle social, il (M. Bayrou) a évoqué le Conseil national de la Résistance et dit que nous avions à le préserver tout en l'actualisant, je comprends cette démarche », a-t-il poursuivi.
« Sur le sérieux budgétaire, j'ai rappelé mes propositions : une loi de programmation », a indiqué M. Hollande. Il a précisé qu'il ne souhaitait pas contrairement à M. Bayrou, introduire « la règle d'or » d'équilibre budgétaire dans la Constitution.
« Enfin, sur la moralisation de la vie politique j'ai repris ce qu'il y a dans mes 60 propositions, a-t-il dit, notamment le non cumul des mandats, le statut pénal du chef de l'Etat qui serait revu, la condamnation de la corruption et des conflits d'intérêts et l'introduction d'une part de proportionnelle ».
Alors que le président du MoDem veut passer par la voie du référendum, M. Hollande a rappelé sa préférence pour un texte devant la représentation nationale. « J'ai dit que ça devrait se faire dans un projet de loi qui serait présenté aux parlementaires et qu'en cas d'incapacité à le faire voter, à ce moment-là et seulement à ce moment-là, un recours au référendum pourrait être envisagé ». « Si nous pouvons le faire par la voie parlementaire ce sera plus rapide », a-t-il argué.
Le président du MoDem, arrivé cinquième au 1er tour avec 9,13% des voix, a adressé mercredi une lettre aux finalistes, François Hollande et Nicolas Sarkozy, avant toute consigne de vote, en précisant qu'il jugerait leur « attitude personnelle » autant que les programmes.
"Vous participez au second tour de l’élection
présidentielle. Il me paraît normal de vous rappeler ce qui a été essentiel pour les plus de trois millions d’électeurs qui m’ont apporté leur suffrage au premier tour.
Le premier élément crucial pour eux et pour moi aura été
la vérité sur la situation du pays, la prise en compte de la réalité des faits.
Je ne crois nullement que la crise financière soit
derrière nous. Je pense au contraire que la crise est devant nous, et qu’elle sera très dure. Je pense que les déficits, commerciaux et budgétaires, qui s’accumulent pour notre pays menacent à
court terme notre modèle social et que la multiplication des promesses non financées aggravera encore ce risque.
Et parce que nous allons vivre ces moments difficiles,
l’attitude personnelle des gouvernants comptera beaucoup. C’est une question de valeurs, personnelles autant que politiques. Depuis des années, c’est la violence des attitudes et des mots, la
guerre d’un camp contre l’autre, la complaisance à l’égard des extrêmes qui caractérisent notre pays. Le refus de la violence perpétuelle dans la vie politique, les valeurs de respect des
sensibilités différentes, la reconnaissance du pluralisme, la recherche de l’équilibre, sont la condition nécessaire à l’esprit d’unité nationale dont nous aurons besoin face à la
crise.
C’est ainsi, et seulement ainsi, par la vérité et l’unité
que la France pourra regarder en face les conditions de son redressement. Et d’abord de son redressement financier. Or la recherche de l’équilibre des finances publiques n’est obtenue dans vos
deux projets que par l’affichage d’une croissance impossible à court terme. Je vous demande instamment de réfléchir à ce péril et d’envisager des mesures crédibles pour l’écarter s’il est encore
temps.
Pour moi, la décision constitutionnelle, inscrite dans le
traité européen, de renoncer pour l’avenir aux facilités du déficit, du moins en période de croissance, la « règle d’or », doit s’imposer à tous les pays qui ont l’euro en partage. Non pas pour
faire plaisir aux « marchés », ou à « Bruxelles », mais parce que c’est le seul moyen d’éviter pour la France et les Français, particulièrement pour les plus fragiles, la catastrophe sociale qui
s’annonce.
La France s’est construite depuis la guerre autour du
modèle social né du Conseil National de la Résistance. Nous y tenons, non pas comme à une tradition, mais comme à notre principale aspiration nationale. Nous le regardons non pas comme notre
passé, mais comme notre avenir. Nous savons qu’il devra se réformer, mais dans la justice et la solidarité. Or c’est dans le concret de la vie de tous les jours que justice et solidarité risquent
d’être menacées.
La sauvegarde de notre modèle social et de services
publics impose de restaurer et de développer fortement notre appareil de production. La France est, Grande-Bretagne exceptée, le seul des grands pays européens qui connaisse l’effondrement de son
commerce extérieur. Ce n’est pas viable. Pourtant, nous avons d’immenses marges de progression, et donc de création d’emplois durables, de ressources pour les familles.
C’est là que va se gagner ou se perdre le combat de notre
avenir national, en particulier dans la recherche de stratégies nationales de production, filière par filière. Une évolution de la démocratie sociale dans l’entreprise est aussi un élément
crucial de ce redressement. La représentation des salariés, avec droit de vote, au conseil d’administration des grandes entreprises, sera un signe déterminant en ce sens.
La crise de l’éducation en France est un enjeu du même
ordre. La situation de l’école, notamment à l’école primaire et au collège, ne peut être acceptée. Des centaines de milliers d’enfants voient leur avenir barré faute de se voir garantir les
acquis nécessaires, maîtrise de l’écrit, du chiffre, de la langue. Faute de consacrer à ces fondamentaux le temps scolaire indispensable, les inégalités sociales se perpétuent et s’aggravent dans
cet échec. Ce combat national oblige à un nouveau contrat entre l’école et la nation, qui touchera à la question des pratiques, de l’organisation, du développement de l'alternance et de
l’apprentissage, aussi bien que des moyens.
La moralisation de la vie publique, le changement des
pratiques du monde politique représentent une attente des citoyens dont vous ne pouvez ignorer la gravité. L’interdiction du cumul des mandats pour les députés, la diminution du nombre des
parlementaires, le renforcement de la parité hommes femmes, le changement de loi électorale pour assurer la représentation des grands courants d’opinion, en tout cas de ceux qui atteignent 5 %
des suffrages, à l’Assemblée nationale, au sens le plus large la garantie du pluralisme, la consécration de l’indépendance de la justice, le renforcement de l’indépendance des médias,
l’assainissement du financement de la vie politique, la lutte contre la corruption et la prise illégale d’intérêts, tout cela est urgent. Les deux partis que vous représentez ont souvent pris des
engagements, mais jamais ils ne sont allés plus loin. Je crois que cette moralisation est vitale pour que la confiance revienne entre citoyens et élus. Seule la voie référendaire permettra de les
imposer à un monde politique qui n’a guère envie de voir changer les règles d’un jeu qui lui convient.
L’Europe a été durement attaquée pendant cette campagne.
On lui a fait porter tour à tour la responsabilité de l’immigration et celle de l’absence de croissance. Je veux vous dire que pour nous, il est impossible d’envisager notre avenir national sans
projet européen. L’Europe n’est pas seulement notre horizon : le jour où elle existera vraiment, elle sera notre seule arme politique et économique efficace dans la tourmente mondiale. L’Europe
souffre aujourd’hui d’absence de gouvernance, de transparence et de lisibilité. Ce n’est pas avec moins d’Europe que la France s’en sortira ! C’est avec une Europe plus forte, plus solidaire,
plus lisible, donc plus communautaire. Dans cette perspective, les renforcements de la zone euro, comme de l'espace Schengen, sont une étape prioritaire.
Des millions de Français partagent ces valeurs et ces
préoccupations. Ils seront, je n’en doute pas, attentifs aux orientations qui seront les vôtres sur ces questions durant la campagne du deuxième tour.
Je vous prie de croire à l’assurance de mes sentiments
cordiaux."
François Bayrou a obtenu 9,49% des suffrages à Colombes et nous remercions les 3224 Colombiennes et Colombiens qui lui ont apporté leurs suffrages et leur confiance.
Dans les Hauts-de-Seine, François Bayrou obtient 78 397 voix et atteint la troisième place.
Ce résultat est évidemment au-dessous de nos attentes ; il n'est pas à la hauteur de la qualité de la candidature et du programme de François Bayrou.
Mais, le mal français est là et il s'aggrave et le seul chemin disponible pour en sortir, ce sera un jour ou l'autre celui que nous avons proposé
aux Français : une politique nouvelle, courageuse, qui aille pour une fois au fond des choses, soutenue par une union nationale pour remettre le pays sur ses rails.
Nous ne sommes pas découragés ; au contraire, notre volonté de proposer une
autre manière de faire de la politique, une autre manière de répondre aux problèmes concrets de la vie des gens, se trouve renforcée. Nous croyons toujours en nos valeurs et ceux qui les
incarnent le mieux sont au Mouvement Démocrate.
Mais il suffit de regarder ce paysage éclaté, le trouble du pays, les difficultés économiques et financières pour comprendre que ce qu'il faut pour
l'avenir, ce qu'il faut construire d'urgence, c'est une force d'équilibre au centre, qui résiste aux extrêmes et aux démagogies.
C'est cette force que nous devons construire avec tous les démocrates et les républicains, et nous devons aussi construire les institutions nouvelles qui empêcheront l'explosion qui menace
notre pays.
77,24% de participation ; 44 / 44 bureaux
Inscrits : 44.741
Abstentions : 10 181 (22,76%)
Votants : 34 560 (77,24%)
Blancs ou Nuls : 526 (1,18%)
Exprimés : 34 034
5 bonnes raisons de choisir le "candidat de la vérité".
François Bayrou rassemblera des hommes et des femmes, de gauche et de droite, du centre et des écologistes, dans un gouvernement de d'unité nationale. Il dira la vérité aux Français et refusera tant les promesses intenables du candidat socialiste, que la politique incohérente, injuste et finalement destructrice du président sortant.
Il mettra fin à la confiscation de la République par les deux partis au pouvoir depuis 30 ans. Il garantira un État impartial d'où les clans, les puissances de l'argent seront enfin bannis.
Il a vu juste depuis des années sur la situation du pays. Gauche et Droite ont creusé, années après années, la dette et ont laissé partir des pans entiers de notre industrie et de notre production. Elles ont mené la France au bord de l'abîme, condamnant les Français au chômage et à la baisse du pouvoir d'achat.
4) Il est honnête et courageux
A la tête de l'Etat, il fera les réformes nécessaires pour redresser l'économie du pays et garantir nos systèmes de retraite et de santé. Responsable, il ne laissera pas aux générations futures de dettes sociale, financière, et environnementale.
François Bayrou a une vision claire de ce que seront les priorités essentielles pour le pays: relancer la production en France afin de garantir l'emploi et la prospérité ; refaire de notre éducation la meilleure du monde pour offrir à nos enfants toutes les chances de réussir dans la vie ; et reconstruire une démocratie digne de ce nom en garantissant l'indépendance de la justice et des médias
La France est plurielle comme elle l’a d’ailleurs toujours été. Cessons de dresser les Français les uns contre les autres, de bâtir un mur de haine entre les nationaux et les étrangers que nous accueillons. De même, pour que notre contrat social prenne tout son sens, l’urgence est au combat contre toutes les discriminations, contre toutes les intolérances.
• Créer un ministère de l’Egalité, qui s’occupera de toutes les égalités nécessaires en France et de la lutte contre les discriminations.
• Généraliser les bourses au mérite pour mieux reconnaitre les réussites issues
de l’immigration.
Développer les enquêtes sur la diversité pour mieux évaluer
l’efficacité de la politique de lutte contre les discriminations.
• Insérer dans la loi sur les Nouvelles Régulations Economiques (NRE) des indicateurs précis sur le genre, l’âge, le handicap et l’origine et contraindre les entreprises de plus de 500 salariés comme les administrations à faire des progrès chiffrés sur ces critères.
• Créer un contrat de vie partagée, sans connotation de vie de couple, qui permettrait de sécuriser et d'encourager à la vie commune.
• Reconnaitre le droit de vote aux élections municipales aux étrangers qui résident en situation régulière en France depuis au moins 10 ans.
• Mener une politique de rigueur à l’encontre des étrangers qui entrent sur le territoire de manière illégale, mais régulariser les étrangers sans papiers, sous condition de travail, d’insertion, de logement et de maîtrise de la langue.
• Renforcer l'obligation de parité dans le cadre du référendum de moralisation de la vie publique pour que l'on sorte enfin de cette anomalie qui met la France à la 61ème place parmi les pays du monde pour la place des femmes dans la vie publique.
• Garantir l’égalité salariale entre hommes et femmes en pénalisant financièrement les entreprises peu vertueuses et combattre la multiplication des contrats à durée déterminée à temps partiel qui frappent particulièrement les femmes, dans le cadre de la mise en place du contrat de travail unique.
• Faire voter une loi-cadre sur la violence conjugale, afin d’améliorer la prévention et l’accompagnement des femmes qui en sont victimes.
• Reconnaître le lien parental avec le deuxième parent pour préserver les droits de l’enfant adopté par un célibataire homosexuel. Pour les couples désirant un engagement, reconnaître l’égalité de droits sous forme d’une union reçue en mairie et inscrite à l’état-civil.
Le second tour Sarkozy-Hollande n'est pas écrit. Le 22 avril, évitez le very bad trip et votez Bayrou !