Une ligne politique ce n'est pas une multitude de mesures énumérées
François Bayrou a jugé le président de la République "compétent et connaissant ses dossiers", jeudi soir sur France 2, mais "la ligne politique manque toujours".
Le blog d'actualités du MoDem, de Colombes et du MoDem à Colombes ! Michel Môme et Christian Don, conseillers municipaux d'opposition.
François Bayrou a jugé le président de la République "compétent et connaissant ses dossiers", jeudi soir sur France 2, mais "la ligne politique manque toujours".
Le Maire a annoncé Jeudi que Bernard Destrem (PCF) démissionnera de ses fonctions de 5ème Maire-adjoint à compter du 1er avril 2013.
Il reste conseiller municipal.
Sa délégation aux Travaux, à la Voirie et aux Bâtiments est confiée à Aïssa Ben Braham, la délégation à la Démocratie Locale de ce dernier étant confiée à Madame Patricia Pacary, conseillère muncicipale déjà chargée des Centre de Vacances.
Selon son collègue du Groupe Communiste, Républicain, Parti de Gauche et Apparentés, Aïssa Ben Braham, il se met en retrait avant la fin de son mandat pour initier l'arrivée de nouvelles personnes au sein de la collectivité.
Il s'est caractérisé pendant ce dernier mandat par ses délibérations rapides dites "à la Bernard Destrem".
Bernard Destrem, 62 ans, est conseiller municipal depuis 1983.
Merci Bernard !
Le restaurant "La Cuisine de l'Avant Seine" ouvre le 28 mars
du mardi au vendredi, de 12h00 à 14h30
et les soirs de représentation, à partir de 19h00
1ère soirée Vendredi 29 mars pour La Belle et la Bête
Dans un espace repensé par le designer Etienne Bardelli dit Akroe, la cuisine traditionnelle est revisitée par ke jeune chef cusinier Grégory Vinatier
Réservation au 01 47 85 03 33
Il y a aussi un snack pour les petits creux et les plus pressés. Et dès les beaux jours, il y aura une terrasse sur le parvis ...
L'Avant Seine
Parvis des Droits de l'Homme
88, rue Saint Denis
92700 Colombes
Jeudi dernier, Rama Yade a finalement été relaxée par le tribunal de Nanterre où elle était jugée pour faux, usage de faux et inscription indue sur les listes électorales de Colombes
(Hauts-de-Seine). L’affaire était grave, puisque l’ancienne secrétaire d’Etat de Nicolas Sarkozy encourrait jusqu’à un an de prison pour le volet « faux », trois ans de prison, cinq ans
d’inéligibilité et 45.000 euros pour l’infraction au code électoral. La justice soupçonnait en effet la vice-présidente de l’UDI, 36 ans, d’avoir triché sur sa domiciliation pour pouvoir
conserver son inscription sur la liste électorale. D’abord en décembre 2009 lorsqu’elle a fourni l’adresse de sa permanence. Puis, deux ans plus tard quand, après avoir été radiée d’office de
cette liste, elle a tenté de se faire réinscrire en déclarant avoir emménagé dans un appartement de la ville.
Rama Yade avait alors fait l’objet d’un « signalement » au parquet de la part du maire PS de la ville, Philippe Sarre. Mais d’aucuns soupçonnaient aussi l’UMP des
Hauts-de-Seine de vouloir écarter la gêneuse.
Pour démontrer coûte que coûte que Rama Yade n’habitait pas à Colombes, le parquet a littéralement passé sa vie privée au peigne fin. La procureure adjointe de Nanterre, Marie-Christine
Daubigney, a demandé à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne (BRDP) de « borner » son téléphone portable du 1er octobre au 7 février 2012.
Autrement dit, de pister toutes ses allers et venues, notamment de nuit, en utilisant son mobile Bouygues Telecom comme mouchard. Mieux, deux policiers ont été spécialement affectés à cette
tâche : ils ont exploité des milliers de données, dresser un tableau de synthèse, jour par jour, minute par minute, de tous ses déplacements.
Et ce n’est pas tout : ils ont procédé à l’audition de sept témoins, pratiqué pas moins de neuf saisies de documents. Ils ont répertorié toutes les adresses de connexion à son blog, listé
ses numéros de téléphone, consulté la conservation des hypothèques pour dresser un inventaire complet de son patrimoine. La police a même débarqué chez la bailleuse de son local de campagne, chez
le propriétaire de son appartement et dans l’agence immobilière qui le lui a loué. D’autres auraient hurlé à « l’acharnement judiciaire » pour moins que
ça !
On avait déjà connu ce genre de procédés au Parquet de Nanterre à propos de l’affaire Bettencourt dans laquelle Philippe Courroye et son adjointe, la même Marie-Christine Daubigney, avaient
réclamé les « fadettes » des journalistes. Coïncidence : cette dernière avait été mise en examen, le 7 février 2012, pour "collecte illicite de données personnelles" et
"complicité et recel de violation du secret des correspondances" – dont elle a fait appel auprès de la chambre de l’instruction.
Vous avez dit « affaire politique » ? Toujours est-il que, conjointement avec la seule partie civile de cette affaire – un ex-élu proche de Bruno Mégret - le parquet a demandé la condamnation de Rama Yade. En vain. Le tribunal a en effet établi que Rama Yade avait vendu son appartement à Paris pour acheter un logement à Garches, mais qu’elle a bien loué, dès décembre 2011, un appartement à Colombes. Un domicile qu’elle n’a pu occuper qu’à partir du 8 février 2012 à cause d’un dégât des eaux. Les factures des 24 colis Ikea en font foi ! Une histoire à lire dans « Marianne », dès ce samedi.
Source : http://www.marianne.net/Rama-Yade-espionnee-et-relaxee_a227724.html
Taux de
succès au Bac : 99%
Classement département : 12ème lycée (sur 51)
Classement national : 200ème lycée
Taux de succès au Bac : 81%
Classement département : 8ème lycée (sur 34)
Classement national : 892ème lycée
Taux de
succès au Bac : 62%
Classement département : 33ème lycée (sur 34)
Classement national : 1868ème lycée
Taux de
succès au Bac :73%
Classement département : 46ème lycée (sur 51)
Classement national : 2173ème lycée
Source :
http://sportetsociete.org/2013/03/26/le-handball-francais-naura-pas-son-arena-a-colombes/
Tout était pourtant bien planifié.
A l’horizon 2015, le club de rugby du Racing Métro, implanté dans le mythique Stade Yves-du-Manoir de Colombes, devait partir pour l’Arena 92 à Nanterre. Deux ans plus tard, le handball devait inaugurer en lieu et place du stade, son Centre Technique National ainsi que divers espaces spécialement dédiés et surtout, une Arena de 8 000 places.
Ces nouveaux équipements, d’un coût estimé entre 510 et 520 millions d’euros, devaient être aménagés sur un espace de 25 hectares, et servir de vitrine à l’organisation du Mondial 2017 masculin.
Mais selon le quotidien « L’Équipe », daté de ce mardi, l’aventure du handball français pourrait tourner court.
En effet, les désaccords politiques entre le Conseil Général (UMP) et la Ville de Colombes (PS) auraient définitivement mis un terme au beau projet.
Comme le souligne le quotidien sportif, « le stade des bonnes intentions n’a pas été dépassé. On ne connaît toujours pas le maître d’œuvre, pas plus qu’un calendrier concernant les travaux, alors que la livraison d’une première tranche (le Centre Technique National, la Maison du handball) était prévue au 1er septembre 2016« .
Le désespoir de Joël Delplanque, Président de la Fédération Française de Handball (FFHB) est compréhensible – il se prononcera d’ici le 13 avril – face au blocage actuel. Néanmoins, il disposerait d’un plan B, à savoir la sollicitation de locaux dans Paris intra-muros, et pourquoi pas, à la Halle Carpentier.
Comme le précise le journaliste Laurent Moisset, « les élus de la capitale ont mis à l’étude la création d’une nouvelle salle ».
Affaire à suivre donc !
Autre article sur le sujet : http://handnews.fr/2013/colombes/
Le bureau départemental de l’UMP s’est réuni hier à Levallois pour investir les candidats dans les villes de moins de 30 000 habitants.
Ils se sont retrouvés à l’heure du déjeuner, hier à Levallois-Perret. But du rendez-vous pour ces maires, parlementaires et délégués de circonscription constituant le bureau départemental de l’UMP : les investitures pour les élections municipales de mars 2014, dans les villes aux populations les plus modestes des Hauts-de-Seine
« Nous avons bien entendu réinvesti tous les maires sortants des villes de moins de 30000 habitants. Ils souhaitent tous se représenter », relève Jean-Jacques Guillet, président départemental de l’UMP. Les instances départementales ont donc renouvelé leur confiance à Yves Revillon, à Bois-Colombes, Jean-Jacques Guillet, à Chaville, Philippe Juvin, à La Garenne-Colombes, Philippe Pemezec, au Plessis-Robinson, Eric Berdoati, à Saint-Cloud, François Kosciusko-Morizet, à Sèvres, et Jacques Gautier, à Garches.
L’UMP 92 n’a investi personne dans les villes détenues par un maire divers droite ou centriste — Vanves, Sceaux, Bourg-la-Reine, Vaucresson.
Par ailleurs, le cas de Fontenay-aux-Roses, ville de 23000 habitants conduite par l’ex-premier secrétaire départemental du PS, Pascal Buchet, condamné l’année dernière pour harcèlement moral après le suicide de sa directrice de la communication, n’a pas été tranché. Si l’UMP considère qu’il y a dans cette ville une vraie opportunité, deux candidats potentiels continuent de faire débat.
Pour les villes de plus de 30000 habitants, « c’est la commission nationale d’investiture qui tranchera, sans doute fin mai-début juin », précise Jean-Jacques Guillet.
Les responsables départementaux de l’UMP ont néanmoins évoqué ces villes sur lesquelles ils n’ont pas de responsabilité directe, mais à propos desquelles ils ne manqueront pas de laisser filtrer quelques avis. Ainsi, à Colombes, l’ex-maire et actuelle conseillère générale Nicole Goueta, 74 ans, dispute l’investiture à un ancien proche, Lionel Rainfray.
A Asnières, l’UMP imagine investir l’ancien député-maire Manuel Aeschlimann, mais charge à lui de sceller un accord intelligent de second tour pour s’entendre avec Josiane Fischer, actuelle première adjointe (UDI) de Sébastien Pietrasanta, député-maire socialiste
Une rencontre-débat avec François Bayrou, autour de son livre De la vérité en politique (éditions Plon) se tiendra :
Mardi 26 mars, de 19h à 20h,
au siège du Mouvement Démocrate,
133 bis rue de l'Université, 75007 Paris.
Cet événement sera suivi d'une séance de dédicaces.
Un libraire sera également sur place, si vous souhaitez acquérir le livre.
Le texte de la Préface du nouveau livre de François Bayrou.
François Bayrou a déclaré aujourd'hui ne pas être d'accord "avec la politique suivie aujourd'hui" et avoir pour ambition de "défendre devant le pays" le seul chemin qu'il croit "possible pour qu'il s'en sorte", dans un entretien au site Atlantico.
"J'ai souvent refusé d'entrer au gouvernement car je n'étais pas d'accord avec la politique suivie et je ne suis pas d'accord avec la politique suivie aujourd'hui", a expliqué, lundi, le leader centriste au site Atlantico, qui l'interrogeait sur son avenir politique personnel.
"Je ne me pose pas la question de ma responsabilité en termes d'élections. On verra le jour venu. Mon destin personnel n'est pas la question. Ce qui m'intéresse, et pas seulement moi, c'est le pays, c'est son destin en tant que nation, en tant que société, en tant que peuple et en tant que familles", explique-t-il.
François Bayrou juge positif le "climat moins violent"
L'ancien candidat à la présidence de la République affirme avoir pour seule ambition de "défendre devant le pays le chemin" qu'il pense être "le seul possible pour qu'il s'en sorte".
"Le jour où le peuple français aura choisi la voie courageuse de son redressement, je serai heureux et prêt à aider à la place que je pourrais occuper", précise-t-il.
François Bayrou ,qui a voté Hollande au second tour de la présidentielle de 2012, juge positifs le "climat moins violent" de la société française depuis cette élection, "la manière dont a été décidée et conduite l'intervention au Mali" ou encore "les négociations syndicats/ patronat".
Mais il regrette en revanche que la politique "de l'offre et la compétitivité" annoncée par François Hollande ait été "mal ou trop peu" réalisée.
"J'aurais concentré tous les moyens du pays autour de la question du produire en France"
"Le crédit d'impôt compétitivité, que je considère comme une usine à gaz, ne servira pas l'emploi, le jour de carence des fonctionnaires est un mauvais signal. Toutes les réflexions autour de la fiscalité à des taux confiscatoires sont de mauvais signaux", fait-il valoir, en s'interrogeant sur l'orientation que François Hollande donnera à sa politique dans les semaines qui viennent.
S'il avait été au pouvoir, François Bayrou explique que, pour sa part, il aurait "immédiatement fait la moralisation de la vie publique, imposé le pluralisme dans la représentation et incarné une présidence non partisane, non clanique avec des nominations non soupçonnables du point de vue de la compétence et de l'objectivité".
"J'aurais concentré tous les moyens du pays autour de la question du produire en France, simplifié l'organisation de l'Etat et essayé d'être le président de toutes les sensibilités du pays, pas seulement de ceux qui politiquement me soutiennent", ajoute-t-il
François Bayrou : « S’attaquer à un juge, c’est mettre en cause la séparation des pouvoirs »
Pour le président du Mouvement démocrate, l’indépendance des magistrats est « l’une des clefs de voûte de la démocratie ».